Le Satyre De Victor Hugo

Victor HUGO (France) (1802-1885) Né à Besançon, le 26 février 1802, il fut élevé à Paris, loin de son père, Léopold-Sigisbert qui, issu d'une lignée de cultivateurs et d'artisans lorrains, était officier dans l’armée napoléonienne où il allait s'élever par degrés au grade de général. La gloire militaire, avec ses accents d'épopée sous l'Empire, marqua son enfance. Sa mère, d'origine vendéenne et d'esprit voltairien, unissait à un déisme émancipé des convictions royalistes. La « blonde enfance»

il représenterait le mal absolu sous sa forme la plus pure, ou du moins, serait son incarnation sous les traits d'un monstre très souvent hideux se rapportant aux créatures mystiques et imaginaires bien connues de tous, comme les Dragons, et les Satyres. Son physique, son nom, sa nature, sont donc très différents selon les croyances populaires de tous horizons. Cependant une chose est sûre, ce personnage connu de tous, auquel on associe instinctivement les actes et les pensées les plus noires qui

marmaille, Bourgeois, canaille, Abondent partout. Ah ! quelle cohue ! Ma tête est perdue, Moulue et fendue ; Où donc me cacher ? Jamais mon oreille N'eut frayeur pareille... Tout Paris s'éveille... Allons nous coucher. Paris bloqué Victor HUGO   (1802-1885) Ô ville, tu feras agenouiller l'histoire. Saigner est ta beauté, mourir est ta victoire. Mais non, tu ne meurs pas. Ton sang coule, mais ceux Qui voyaient César rire en tes bras paresseux, S'étonnent : tu franchis la flamme expiatoire

tragédie s'oppose à la comédie grâce son sujet noble, grave et son dénouement malheureux. Étymologiquement, le mot «tragédie» signifie «chant du bouc» (du grec tragos, le bouc, et oïdè, le chant), mais le sens n'est pas clair (animal sacrifié ? Satyre associé au culte de Dionysos?). La tragédie met en scène un personnage aux prises avec son destin qui le dépasse et s’accomplit inéluctablement sans qu’aucune action humaine ne puisse l’arrêter (c’est ce qu’on appelle la fatalité). La tragédie est

apprécié cet œuvre par son côté comique et extravaguant. J'ai trouvé le langage raffiné, mais beaucoup plus fluide et abordable que dans d'autres pièces classiques traitant d'amour et de séduction comme celles de Molière par exemple. Ruy Blas, Victor Hugo. · Biographie :Né a Besançon, il est le fils d'un commandant de l'armée de Napoléon, qui deviendra général et comte d'Empire. Durant sa jeunesse, il vit à Paris et à Naples.Excellent élève du lycée Louis-le-Grand entre treize

Victor HUGO (1802-1885) 1er janvier A André Chénier A celle qui est restée en France A celle qui est voilée A ceux qu'on foule aux pieds A ceux qui sont petits A des âmes envolées A des oiseaux envolés A dona Rosita Rosa A Granville, en 1836 A Jeanne A l'Arc de triomphe A l'enfant malade pendant le siège A la belle impérieuse A la fenêtre, pendant la nuit A la France A la mère de l'enfant mort A M. Froment Meurice A ma fille A ma fille Adèle A Madame D. G. de G. A mademoiselle Louise B. A Mlle Fanny

fabuleux( non-naturel) qui met en scène des êtres sous une formes symbolique qui vont représenter des éléments de la nature, des conditions humaines( ex : la colère, la famine,…) 3ème influence : Les connaissances littéraires de l’Antiquité. Ex : la satyre ( le fait de critiquer une partie de la société), l’épopée, la comédie, la tragédie, l’épître,… 4ème influence : Les connaissances philosophiques : On redécouvre les grands philosophes. La philosophie c’est une démarche intellectuelle qui s’interroge

quelques mots sur l’extérieur de la boîte. Les créatures citées sont empreintes à la mythologie antique « harpies, satyres » ou viennent de l’imagination de l’auteur « boucs volants » « canes bâtées » elles ont toutes un point commun, elle sont constituées de plusieurs parties et sont donc des créatures hybrides, les Harpies par exemple sont des femmes à corps de rapace, les satyres sont des hommes avec des pâtes de bouc, les lièvres cornus sont une figure oxymorique car il rassemble la couardise

_______________________________________________________________________________________ _______________________________________________________________________________________ _______________________________________________________________________________________ Un satyre (Orphée, p.28) : ___________________________________________________________________ Chiron (Orphée, p. 29), centaure : _____________________________________________________________ Boutès (Orphée, p. 36) : _____________________________________________________________________

portraits de dix malades mentaux. Il réalise ainsi de grandes œuvres telles que «  le Radeau de la Méduse », « Cheval arabe gris-blanc » et bien d’autre encore mais aussi lithographies ou des sculptures telles que « cheval écorché » ou « nymphe et satyre », elles sont rares mais remarquables ainsi que des centaines de dessins. Il meurt le 26 janvier 1824, après une longue agonie due officiellement à une chute de cheval, il est enterré au cimetière du père-Lachaise à Paris. Son tombeau a été fait par