Le Salut Autobiographie

par mon orgueil et mon ennui. Georges Sand, le 12 mai 1834 à Alfred de Musset. Georges Sand (1804-1876) est une romancière et femme de lettre française. Elle a écrit des romans, des nouvelles, des contes, des pièces de théâtre, une autobiographie, des critiques littéraires et des textes politiques. Elle fait scandale par sa vie amoureuse agitée, notamment avec Alfred de Musset, mais aussi parce qu’elle a choisi un prénom d’homme et s’habille de manière masculine. Au moment ou

nous ramènent à trois thèmes qui s’entrelacent : folie, amour et poésie. Ce poème présente une forte coloration autobiographique au point d’y percevoir une biographie rêvée et une vie mise en perspective. La première allée, comme pour toute autobiographie, utilise l’axe du temps : passé, présent et futur. Le passé est prédominant, le présent est celui de l’énonciation (avec une valeur gnomique toutefois : le « je suis » est tout autant le présent de l’écriture que l’affirmation d’un moi pérenne)

ici-bas pour nous révéler à quel point le fanatisme de l’Église et le refus du progrès sont dangereux pour l’homme. Pour le « Mondain », qui espère tout de ce monde-ci, de ses richesses, la recherche du bonheur terrestre l’emporte sur l’attente du salut éternel, que nous promettent les hommes d’Église, si nous restons dans notre ignorance originelle. Dissertation Introduction « Aimer la littérature », c’est à la fois aimer lire une œuvre et aimer l’élaborer, y trouver son épanouissement. Les écrivains

retrouve épuisé (comme la nature à la fin de l'été) et désespéré, après la crise. L'"éternel soleil" est le symbole du bonheur, bonheur terrestre et profane, que le damné a perdu. Par opposition, la "clarté divine" est cette promesse chrétienne du Salut à laquelle il se raccroche. Ce bonheur-là ne peut être atteint qu'après la mort, "loin des gens qui meurent sur les saisons", c'est-à-dire loin des mortels dont l'existence est soumise au temps.      L'adhésion au dogme chrétien indiqué par ces formules

1- Petite biographie de l'auteur: George Orwell est né le 25 juin 1903 en Inde et est mort le 21 janvier 1950 à Londres. Il appartient à une famille bourgeoise anglaise. Il se rend en Angleterre avec sa mère et sa soeur. Il présente une autobiographie qui parle de cet "épouvantable cauchemar" qu'étaient ses années en internat à l'école de Saint- Cyprien. C'est un élève brillant et travailleur. George passe du statut d'élève modeste à celui d'un élève plus que médiocre de 1917 à 1921. Pendant

paradoxe : la narratrice s’exprime et affirme fonder toute sa vie sur la dissimulation nécessaire à toute femme selon elle, alors qu’elle livre une confession à cœur ouvert, et par là-même se met en danger. Dans ce passage, la Marquise propose une autobiographie lucide et libertine qui éclaire son comportement car elle explique son présent en décrivant son passé. Problématiques possibles : Comment une lettre qui prône l’efficacité de la dissimulation absolue peut elle se présenter sous la forme

devient prêtre (430) meurt peu avant que la ville de Rome soit assiégée (meurt lors de la fin d’un monde) (476) chute de Rome => ++ IMPORTANT POUR LA FIGURE DU MOI OCCIDENTAL - il écrit à la fin de sa vie « Les confessions » (autobiographie et déclaration de foi) fin 4e siècle • il raconte comment il voler des poires uniquement pour faire le mal • année de débauche / il adorait aimer (sorte de vide - besoin de combler un vide) • // péché originel / homme = être de manque terrible

vie, au soleil, ce sont là mes adieux : Moi, je meurs ; et mon âme, au moment qu’elle expire, S’exhale comme un son triste et mélodieux. Méditations poétiques ( XXIII ; 1820), Lamartine « L’Automne » Salut, bois couronnés d’un reste de verdure ! Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! Salut, derniers beaux jours ! le deuil de la nature Convient à la douleur et plaît à mes regards. 2 › Travail en classe Mettez en regard le texte du poète romantique Lamartine et celui de Francis Ponge. Par

au soleil, ce sont là mes adieux : Moi, je meurs ; et mon âme, au moment qu’elle expire, S’exhale comme un son triste et mélodieux. Méditations poétiques ( XXIII ; 1820), Lamartine « L’Automne » Salut, bois couronnés d’un reste de verdure ! Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! Salut, derniers beaux jours ! le deuil de la nature Convient à la douleur et plaît à mes regards. 2 › Travail en classe Mettez en regard le texte du poète romantique Lamartine et celui de Francis Ponge

essence, une œuvre déconcentrée. " Un tel roman s'édifie aux antipodes des ambitions balzaciennes, car la " concurrence de l'état civil " n'est pas du tout son fait. Œuvre d'un romancier " introverti ", Les Faux-Monnayeurs (1925) n'étaient qu'une " autobiographie du possible ", la projection des inquiétudes et des obsessions de l'auteur. Grand livre manqué, sans doute, mais passionnant pour tous ceux qui s'intéressent aux problèmes du roman, car on y assiste à la confrontation de l'esprit critique et de