Le Sacrifice De Soi Est La Condition De La Vertu

LE PLAISIR : INTRODUCTION Lorsqu'on pose la question du plaisir, la question de la vertu n'est jamais loin. « Qu'est-ce qu'une vie bonne ? », Philèbe. La question de la nature du plaisir apparaît comme condition de sa valeur morale. I / La nature du plaisir La définition commune du plaisir est simple mais peu profonde. Le TLF le définit comme : « un état affectif agréable, durable, que procure la satisfaction d'un besoin, d'un désir ou l'accomplissement d'une activité gratifiante ». L'état

Devoir de Français Au sein du groupement de texte comportant La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette, Les Liaisons dangereuses de Pierre Choderlos de Laclos, La Fortune des Rougon d'Emile Zola, La Condition humaine d'André Malraux , L'Innommable de Samuel Beckett et Naissance d'un pont de Maylis de Kerangal nous nous demanderons si les personnages de ces œuvres ont une grandeur héroïque ou non ? Afin de résoudre cette interrogation nous verrons dans un premier temps qu'ils détiennent en

c.à.d. guerres, pauvreté, chômage, famine, esclavage, mortalité infantile, et toutes ces choses plus joyeuses les unes que les autres. Puis-je être heureux sans être libre ? L’homme en communauté doit faire des sacrifices personnels pour le bien collectif. Il y ait forcé. Or tout sacrifice exclut l’idée de bonheur. De plus il ne semble pas exister d’altérité sans compromis, le bonheur semble donc fuir la collectivité. Et, si tout le monde veut le bonheur, il serait paradoxal de trouver une société

quelle est la place du plaisir ? C'est ce que nous tâcherons d'analyser. Pour atteindre une morale haute, on pourrait considérer d'abord qu'il faudrait en effet renoncer au bonheur pour être morale, sans se poser la question du bonheur comme condition de la vie humaine. Le bonheur doit s'immoler à la morale, aux devoirs. Il ne faut pas chercher à être. Cette idée est valorisée par Kant. Kant souhaite que le plus sage soit le plus heureux. Ce qui compte pour Kant c'est d'être moral et raisonnable

morales : La théorie de l’expérience morale ........................................... 6 L’idéal utilitariste, bonheur et vertu ...................................................................................... 7 Idéal utilitariste et altruisme ...................................................................................................... 8 La valeur d’un sacrifice......................................................................................................... 8 Origine de l’altruisme

sujet : Dans quelles conditions tuer se justifie-t-il ? Pour parvenir à une fin qui demeure somme toute incertaine, peut on mettre en oeuvre tous les moyens ? A ce propos, Camus laisse s'affronter différentes réponses à ces questions par l'intermédiaire de ces personnages confiant au lecteur le soin de choisir le système de valeurs qu'il affectionne particulièrement. Pour l'un la fin justifie les moyens tandis que pour l'autre l'acte de tuer est considérer comme un sacrifice qui ne doit pas entrâver

XVII° siècle / Pensée Jaunistes Texte a visée argumentative -Pascal critique le divertissement qui conduit l’homme a se détourner de Dieu et a courir après une illusion du bonheur en se étournant de sa condition misérable et mortelle. I. La critique appuyée du divertissement et de la condition humaine • Registre oratoire -> convaincre ( raison ) • Genre épidictique -> blame des défauts et vices de l’hommes - Sens étymologique de « divertir » -> se détourner de.. • Vision pessimiste

raison : Le bien, la vertu, le devoir, la liberté, la justice· Loi morale = fait de la raison· Bonheur = proportionnel à la vertu, récompense, justice Morale du désintéressement Vertu = condition du bonheur mais bonheur pas contenu dans vertuIl faut agir vertueusement pr agir vertueusement Souverain bien Bien le + haut = vertu en ê-m = conséquence vertu (car Idée de Justice)Bien complet = Justice c prop bhVouloir et Espérer : condition du désintéressement /!\ idéaux dc impossible MAIS vertu = intention,

réforme discrète  n’est retenue que la participation des AC aux manifestations combattantes  AC vus comme militaristes. S’exprime dans les commémorations : on ne fête pas la victoire sans rappeler la mort. Volonté des AC de reconnaissance du sacrifice des individus ≠ envers l’armée en tant que corps. 14 Juillet 1919 : veillée funèbre et défilé de mutilés avant le défilé militaire. Donnent un sens civique aux célébrations : 1922, 11 Novembre fête nationale sous la pression des AC. Véritable

exemple venir en aide à autrui dans la détresse) est exigé de soi sous la menace de sanction juridique ou psychologique (mépris des autres). L’autre consiste à faire son devoir alors même que l’on n’a aucun intérêt à le faire, car cela exigerait le sacrifice de son bonheur et ou confort, voire de sa vie (ex : risquer sa vie pour sauver quelqu’un qui se noie ou renoncer à faire carrière et à gagner de l’argent, pour consacrer sa vie à des activités humanitaires éprouvantes et peu reconnues) ; cette deuxième