Le Sacre Royales Sous Les Carolingiens

à l’autorité royale et punit d’une composition, d’une indemnité pécuniaire. En second lieu, le roi avait aussi la faculté de suggérer à la famille d’une victime de recourir à la composition. Le roi avait donc une faible influence en matière de justice. D’autre part, les anciens peuples germaniques choisissaient leur roi mais le roi devait avoir deux qualités. Le roi devait être issu d’une famille noble d’origine divine, il devait donc appartenir à la noblesse de race royale. Cette noblesse

Le sacre de Charlemagne Le 25 novembre de l’an 800, Charlemagne fut couronné empereur par le pape Léon III au sein de la basilique Saint Pierre, à Rome. les protagonistes: Charlemagne (742-814, roi des Francs dès 768), fils de Pépin le Bref (premier carolingien). Léon 3 (750-816, pape dès 795) fut attaqué en 799 et trouva refuge auprès de Charlemagne. -raison politique: l'hégémonie franque est dans la continuation de l'Empire romain -raison religieuse: défense de la chrétienté + vision des

LE POUVOIR ROYAL FACE A LA FEODALITE Clovis, en 481, fonde le royaume des francs et donne ainsi naissance la dynastie des Mérovingiens. Durant deux siècles et demi se succèdent sur le trône des rois au pouvoir faible. C’est alors qu’en 751, Pépin Le Bref qui est maire du palais, intente un coup de force afin d’accéder au pouvoir. Il est soutenu par l’aristocratie ainsi que par l’Eglise. La dynastie Carolingiennes débute ainsi. Sous cette dynastie, on tire une très grande importance

Le sacre Dans une culture imprégnée de divin, où la religion catholique tient une place très importante le sacre apparait comme le moyen le plus judicieux pour légitimer le pouvoir des rois. Le sacre est une cérémonie religieuse par laquelle un roi obtient un caractère sacré voir divin, le distinguant ainsi des autres laïcs. C’est une cérémonie distincte du couronnement où il s’agit de remettre une couronne à un roi, prince ou seigneur. Le sacre trouve ses origines dans l’antiquité, où le

proconsul sur place. Les trois autres (« les 3 Gaules ») : Pour gérer les troupes, Rome désigne un « légat », sous l’autorité de l’empereur, et qui s’occupe surtout des taches militaires. Chacune de ces 4 provinces ont un gouverneur. Lyon devient un centre administratif, culturel et économique. B- L’administration des provinces gauloises Chaque administration est autonome, sous l’autorité du gouverneur, aidé par le procurateur. Le Conseil des trois Gaules représente les peuples gaulois

certaine durée, stabilité, qlq chose qui demeure. 4 parties autour de la royauté du Veme au XVIIIeme siecle on est en royauté, mais ce ne sont pas les mêmes au fil des années. Nous allons voir 4 parties : 1° les royautés franques (mérovingienne et carolingienne) du Veme au IX eme siecle. 2° partie : la royauté féodale du Xeme au XIIeme siecle : début de la dynastie capétienne 3° partie : La royauté souverainne du XIIIeme au XVeme s 4° partie monarchie absolue du XVIeme au XVIIIeme s : monarchie des

| |– 5 – | |L’ordre carolingien et son rayonnement | A retenir : conséquences de l’expansion du royaume des Francs : • Evangélisation systématique

l'empire romain d'occident. Les gaulois comme tous les autres habitants de l'empire, ont reçu la citoyenneté romaine parce que ce sont des habitants libres et ils vont très facilement adopter la langue latine. Cette citoyenneté est acquise par les gaulois sous le règne de l'empereur Caracalla. C'est l'empereur qui va accorder la citoyenneté romaine à tous les habitants libres de l'empire de façon officielle. Cet édit date de l'année 212. Le droit qui s'applique en Gaulle c'est le droit romain qui s'est divulgué

POUVOIRS EGLISE ET SOCIETE Sous la direction de Marie-Céline ISAÏA Atlande INTRODUCTION Il est nécessaire de s’interroger sur les fondements juridiques du pouvoir. ( Le pape GELASE à la fin du Vème siècle avait proposé une distinction entre deux formes de pouvoirs : - L’ AUCTORITAS = pouvoir d’essence spirituelle. Ce terme latin désigne le POUVOIR SUPRÊME, source du droit et de la légitimité politique. Selon Gélase, l’exercice de l’auctoritas revient au

Texte n°2 : Coronatio Philippi I. (Récit du sacre de Philippe Ier par Gervais de Reims)   Traduit par « sacre » de Philippe Ier. Or, coronatio, en latin, signifie couronnement. On va le voir, il s’agit bien de deux choses différentes. Selon toute vraisemblance, le titre n’est pas original. S’il l’est, il peut orienter votre commentaire dans un sens qui serait préjudiciable à une analyse plus fine de ce texte.   L’auteur : Gervais du Château-du-Loir, archevêque de Reims. Membre duconseil de régence