Le Sacre Royales Sous Les Carolingiens

celle des mérovingiens et des carolingiens à l’époque franc puis celle des capétien à partir de 987; Le statut du roi à évolut au cours des siècles sous les mérovingiens il n’y a pas de véritable réflexion sur le phénomène politique. Le royaume des francs est la propriété du roi, chef de guerre auquel chaque sujet prête un serment solennel. Le royaume appartient au patrimoine du roi. Une évolution se produit sous la royauté carolingienne avec l’institution du sacre qui transforme la royauté en ministre

l’empire romain. Mais il n’y a pas vraiment de rupture.. C) les codifications : héritage juridique de l’empire roamin Rome a pratiqué juridiquement la loi. Cette production législative est assez désordonnée. Les anucrits etaient presentés sous forme de rouleaux. Il y a ensuite une révilution technologique : nouvelle facon de conserver l’écrit : c’est le livre : le code L’empereur Théodose va promulguer un code officiel rassemnlant l’essentuek de la législation, c’est les code théodosien 

livre en sautant les chapitres intermédiaires). C'est extrêmement pratique pour les juristes : aller directement au texte pertinent dont on a besoin. Dès la fin du IIIème siècle : initiatives privées de codification pour rassembler les codes existants sous une même couverture. En 438, l'empereur Théodose va promulguer un code rassemblant l'essentiel de la législation disponible → code officiel : modestement appelé « Code Théodosien » . Livre qui condense la législation. L'idéal d'avoir rassemblé l'essentiel

Jean-Marie Carbasse Contexte historique Epoque royale : L’époque royale c’est l’époque des premiers rois, de Jules César (assassiné en 44) et de Romulus. En 509 il y a une révolution aristocratique qui a expulsé le dernier roi de Rome, à partir de là il n’y a plus de rois mais il y aura la république romaine, jusqu’à l’époque d’Octave en 27 avant JC. C’est la fin de la république. Il y a trois grands régimes politiques * Une époque royale * Une époque dite de la république * Et une

Dissertation : « La dévolution de la Couronne » A l’aube du XIVe siècle, la dévolution de la Couronne, institution abstraite, obéit déjà à certaines règles mises en place sous les premiers Capétiens. La dévolution est l’attribution d’une charge ou d’un droit à une personne qui est appelée à exercer cette fonction ou à recueillir cette succession à son rang en vertu d’un ordre préétabli. La Couronne symbolise depuis le XIIe siècle la distinction entre le roi et le royaume et annonce le concept

La Renaissance culturelle carolingienne Une place essentielle à l’écrit Le renouveau, qui prend toute son ampleur sous Charlemagne, débute avec la réforme religieuse entreprise par Pépin III le Bref, entraînant la fondation d’abbayes qui deviendront des foyers culturels importants. La réorganisation des institutions engagée par Charlemagne donne une place essentielle à l’écrit : l’empereur gouverne en émettant des capitulaires, diffusés dans tout le pays par ses envoyés (les missi dominici) qui

c’est le caractère obligatoire, et donc il est nécessaire parfois de l’assortir de sanction. Pour pouvoir s’imposer la règle juridique doit être légitime, donc reconnue. La légitimé de l’auteur de la règle de droit varie d’une époque à l’autre (sous l’ancien régime le législateur légitime c’était le Roi (qui la tirer lui-même du fait qu’il était souverain de droit divin), survient la révolution, et à ce moment la les règles de droit émane d’une autorité légitime qui émane d’élue de la nation,

titre par délégation impériale. Il est le chef de l’église. Le Roi convoque les conciles (assemblée d’évêques) Le 1er concile de en 511 à Orléans. Dimension militaire importante dans le royaume de Clovis. À la mort de Clovis, 1er partage du pouvoir royale entre ses fils. Le partage signifie une division en 4 délégations pour attribuer ses pouvoirs à ses fils pour le contrôle des régions. Un autre partage va avoir lieu en 561. À partir de ce moment les choses tournent au désavantage de ces rois. Guerre

Le droit mésopotamien Le droit participe de son milieu d’origine. De très nombreux facteurs contribuent à le façonner. Certaines civilisations ont organisé leur ordre social sans distinguer le droit d’autres modèles de conduites, notamment de la religion ou de la morale. Droit de la Mésopotamie = exemple de droit non-autonome, profondément marqué par la religion. Cela se voit sur son plus célèbre monument législatif : le Code d’Hammourabi. Hammourabi était le roi de Babylone autour de

AUTORITÉ ROYALE ET FÉODALITÉ (XÈME – XIIÈME SIÈCLES) Trois structures a priori antagonistes vont s'opposer chacune à leur manière à l'autorité seigneuriale, c'est à dire au système féodal et à ses relations féodo-vassaliques. La royauté, l'Église ensuite, les villes enfin. L'objectif du roi est de s'appuyer sur le modèle féodal afin d'instaurer un pouvoir de type souverain s'appliquant à l'ensemble de la population. Pour l'Église, il s'agit d'assurer sa vocation universaliste en s'opposant à l'éclatement