Le Réalisme

failles ? I. Le personnage de roman, un être sans faille : la notion de héros Le romancier présente des personnages hors du commun, forts et en situation de succès. II. Le personnage de roman nécessairement faillible : l’anti-héros Le souci du réalisme conduit les auteurs à présenter des personnages authentiques. Le roman d’apprentissage montre des personnages en quête d’identité, à la recherche d’un idéal inaccessible. III. L’intensité dramatique naît de la faiblesse des personnages Faire naître

personnage) « C'était la première fois qu'elle se voyait.. » le narrateur se met à la place de Catherine pour mieux montrer l'effroi de celle ci devant une situation qu'elle ne comprend pas. Ces trois point de vue se conjuguent dans une volonté de réalisme pour dénoncer les souffrances de la servante. II)Le portrait d'une servante : Un portrait physique : vêtements : « de grosses galoches de bois », « un grand tablier bleu » un physique désavantageux : « une petite

servilement dans le pêle-mêle de leur succession. J'en conclus que les Réalistes de talent devraient s'appeler plutôt des illusionnistes ». Pour Maupassant, faire vrai ne veut pas dire tout raconter le réel => veut dire donner l'illusion du réel. B- Le réalisme donne l'illusion du vrai Pierre et Jean : Maupassant construit son oeuvre et ne reproduit pas la vie réelle avec exactitude => choisit un moment de crise pour débuter son roman : le jour de l'annonce de l'héritage. • Schéma narratif assez visible

la nature au-dehors et le bleu du ciel. La lumière provient de la fenêtre et projette l’ombre de la pomme sur le mur de droite. Ce tableau crée un effet de surprise et pose une énigme. En effet, si le décor de la pièce est peint avec beaucoup de réalisme, la présence de cette pomme surdimensionnée perturbe le regard du spectateur et semble incompréhensible. De même, le rapport entre le titre et la représentation picturale est déroutant. Le titre La chambre d’écoute évoque davantage l’univers de

permettre au jeune homme de survivre. Mais Raphaël la rattrape et meurt. Mouvement littéraire : Balzac est un des précurseurs du réalisme, ses œuvres de La Comédie Humaine font partie des textes fondateurs de ce mouvement. Appartenant à l’époque du romantique, Balzac cherche à s’en distinguer par une volonté d’analyser le réel plutôt que de le transcender. Le réalisme est un mouvement qui peint la réalité, explore la vie quotidienne sous toutes ses formes et analyse la société. Balzac applique très

extrait de Madame Bovary de Gustave Flaubert. Gustave Flaubert est un écrivain français né en 1821 à Rouen et mort en 1880 au hameau de Croisset. Il a marqué la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme et son regard lucide envers les individus et la société. Il est connu par la force de son style d’écriture qu’on peut voir dans de nombreux romans. Le texte étudié provient de l’œuvre madame Bovary que Flaubert écrit vers le début de sa carrière

femmes, on constate qu’un certain nombre d’entre elles, principalement celles portant une coiffe de paysanne, ne sont pas particulièrement intéressées par la scène : elles tournent le dos au prêtre et à la fosse. Ces détails participent à l’image de réalisme que ce tableau nous présente ainsi qu’à la représentation crue et sans retenue de la mort.

PLAN : Partie I : A) Présentation de Daewoo de François Bon. Partie II : A) Définition du roman. 1) Sous genre du roman : réalisme et naturalisme. B) Définition du documentaire. C) Roman ou documentaire : gros plan sur l’interview. PartieIII :CONCLUSION

simple Répétition introduite : Jupin -> la fable met en scène un narrateur B- Une peinture réaliste, pittoresque * Le cadre : un étang * Les animaux : grenouille, grue * Mouvement : rythme sautillant (rimes croisées, plates et embrassées) * Réalisme dans l’approche prudente du soliveau par les grenouilles  * La cruauté de la grue : évoquée par des actions précipitées C- Le registre comique * La fable instruit et divertit en même temps * Fantaisie dans les coassements interprétés comme une

civilisation : « dressage ». Mettre la l’accent sur la matérialité c’est le contraire du spiritualisme. Le matérialisme c’est la pensée marxiste, l’étude de l’histoire et des relations humaines à travers les processus de production. Le réalisme c’est la confirmation de l’ordre du préjugé, ce qu’on connait déjà. Breton pense que dans le roman il faut que tout soit nécessaire, que rien ne soit choisit au hasard. Il condamne non seulement le roman réaliste mais aussi tout le roman. C’est