Le Réalisme Dans Bel Ami

de mettre en évidence le rapport nouveau entre l'Homme et l'Histoire. II - Du Romantisme au Réalisme La production romanesque de la première moitié du XIXème constitue pour Zola aussi bien un repoussoir q'un modèle. Zola s'oppose ainsi à l'idéalisme des romantiques mais admire cependant les qualités d'observation de Balzac (ainsi que sa volonté à représenter les types sociaux) et le réalisme lucide de Flaubert. 1) Le Romantisme ou la tentation de fuir le réel. C'est dans le contexte

Pour les articles homonymes, voir Réalisme. Le réalisme est un mouvement artistique moderne apparu en Europe dans la seconde moitié du XIXe siècle, notamment en Italie et en Allemagne. Celui-ci naquit du besoin de réagir contre le sentimentalisme romantique et contre « la sottise, le poncif et le bon sens ». Il cherche à peindre la réalité telle qu'elle est, sans artifice et sans idéalisation, choisissant ses sujets dans les classes moyennes ou populaires, et abordant des thèmes comme le travail

racontait une histoire. Cela donne aussi une impression de réalisme. Pour rajouter du réalisme, il y a de très longues descriptions. Par exemple de la ligne 3 à la ligne 9, l’auteur fait une longue description mouvement par mouvement de ce que ait le héro du roman : « Vous vous introduisez » (ligne 3), « vous la soulevez » (ligne 6) « vous sentez » (ligne 6). Ces énumérations d’actions montre le souci du détail de l’auteur et la réelle envie de réalisme que souhaite faire passer l’auteur. Puis, l’auteur

narrateur s’épanche à propos de M. Tongoy, son meilleur ami, qui lui fait office de guide de réflexions sur la littérature, et pour qui il entretient un profond respect. Tout au long de son intervention, Tongoy lui dicte ses paroles “La conférence qu’il m’a dicté est aussi étrangère aux conventions de toute conférence…”. Ainsi, ce ne sont plus les mots du narrateur qui sont exprimés, mais bien les mots de Tongoy à travers celui-ci. Son ami semble prendre possession de l’esprit du narrateur. A plus

XIXème siècle: quatre extraits de romans, Bel Ami de Maupassant, Madame Bovary de Flaubert ainsi L'Assommoir et Germinal de Zola. Les trois auteurs appartiennent aux mouvements réaliste et naturaliste, et placent leurs personnages, dans des conditions de vie quotidienne, dans ces extraits, il y a description de quatre scènes de repas. Comment ces quatre scènes sont présentées de manière réaliste? Nous allons donc voir ce qui rattache ces extraits au réalisme, grâce à des procédés précis. Ces quatre

Diderot est l'inventeur des " méthodes d'observation et d'expérimentation appliquées à la littérature ". Plus proches, Stendhal et Balzac sont les initiateurs du réalisme dans le roman avec Flaubert. Quant aux précurseurs immédiats, ce sont deux romanciers aujourd'hui peu connus, Champfleury & Duranty, qui ont défendu la notion de " réalisme ". Le tournant de 1865 : c'est la date de la préface du roman des frères Goncourt, Germinie Lacerteux. Ils y affirment que le roman doit analyser le monde moderne

de sa carrière, Guy de Maupassant va être guidé par Gustave Flaubertqui le mènera à rencontrer Zola, Tourgueniev et divers autres écrivains qui appartiennent aux écoles naturalistes et réalistes. Le mouvement littéraire de Maupassant est donc le réalisme et le naturalisme. Ses œuvres marquent les lecteurs par le pessimisme qui s’en dégage et par la maîtrise artistique. Pendant cettepériode, il rédige de nombreux vers et courtes pièces. Guy commence peu à peu à écrire des articles pour des journaux

autres, sans considération quelconque. Bel-Ami en est l’exemple par excellence. Georges Duroy, provincial arrivé à Paris sans le sous, met en œuvre tous les moyens qu’il peut afin d’atteindre le sommet de l’échelle sociale. Il utilisera notamment, les femmes, sans scrupules quelconques, jusqu’à épouser la fille d’un riche banquier uniquement par intérêt. Ainsi, on peut voir qu’au XIXème, le roman a une vision sociale, dont le mouvement littéraire du Réalisme est le moteur. A partir du XXème,

qui sera la personne de confiance de Chimène, une sorte de « raisonneur » de la pièce. Dès les premières pages du texte, on apprend que Rodrigue, « un simple cavalier », est aimé de deux femmes : de Chimène et de l’Infante (qui croit que dans les belles âmes / le seul mérite a droit de produire des flammes). En effet, la fille du roi lutte contre ses sentiments et essaie d’encourager l’amour de Chimène et de Rodrigue pour guérir le sien (Si Chimène a jamais Rodrigue pour mari, / Mon espérance est

lire a été découvert par hasard « dans une armoire pratiquée dans l’enfoncement d’un mur » (21-22) : cette forme de récit dans le récit, cette mise en abîme provoque chez le lecteur un effet d’intimité avec l’auteur et crée une forte impression de réalisme. Quant au texte de Diderot, l’effet recherché est un effet de flou : les questions du début font planer des tas de questions aux lecteurs, on se demande même si le narrateur sait ou il va dans son récit. Le dernier roman lui laisse tramer quelque