Le Rouge Et Le Noir Reflet De La Réalité

(Etats-Unis) 1) PRESENTATION DE L’ŒUVRE : Vassily Kandinsky , né à Moscou en 1866 et mort en France en 1944, est un peintre français d’origine russe, est le fondateur de l’art abstrait (non figuratif : c’est à dire où il n’y a pas de représentation d’une réalité). Auteur de la première œuvre non figurative, donc abstraite, de l’histoire de l’art moderne, une aquarelle peinte en 1910. Mais on soupçonne Kandinsky d’avoir antidaté le tableau peut-être afin d’être considéré comme le créateur de l’art abstrait 

INTRODUCTION Depuis la fin des années cinquante, une nouvelle tradition fit son apparition dans l'art occidental. Il fut rapidement baptisé Pop Art. Cette appellation désigne l'art de la culture de masse et n'est en réalité associé a aucune forme artistique. C'est le critique britannique Lawrence Alloway qui inventa le terme «  Pop ». en donnant cette appellation à ce nouveau mouvement, il faisait allusion aux nouvelles formes d'expression créées par un grand nombre d'individus d'un bout à l'autre

américaines 1. fonctionnent plutôt sur la logique du "dire": - présence d’une "voix off" qui énonce un discours démonstratif et laudatif, - saturation sonore, - nombreuses animations (titre, noms des acteurs), - plans nombreux et rapides… - fondus au noir (clignement des yeux > persistance rétinienne) elles constituent un tout, un petit film en soi. Les bandes annonces françaises 2. La bande-annonce française = échantillon patchwork : - une succession d’extraits, - le début et la fin ne sont pas

Commentaire composé                              Le Rouge et le Noir, Stendhal En cinq ans, Julien, un provincial, du roman d’apprentissage de Stendhal, Le Rouge et le Noir, publié en 1830, a réussi à assouvir son désir de réussite sociale dans la société aristocratique Parisienne en devenant le lieutenant de hussards, en acquérant le nom de chevalier Julien de La Vernaye et en  conquérant Mlle. Mathilde de la Mole. Il se trouve au sommet de la gloire. Mais c’est au moment

psychologique (comment mettre en scène l’intimité des personnages ?) Début 17ème paraît Don Quichotte de Cervantès (à lire, en extraits au moins), qui tourne en dérision les valeurs héroïques, en retraçant les mésaventures d’un chevalier idéaliste dans la réalité quotidienne, que souligne le bon sens trivial du valet Sancho Pança. En France, Honoré d’Urfé publie l’Astrée, histoire des amours d’un berger et d’une bergère aux sentiments élevés dans un monde idéal ( lire des extraits); c’est un roman précieux

sont assez flous à définir, il n'y a pas de règle précise ; tous les romans ne se ressemblent pas et adoptent différents préceptes pour se mettre en place. Stendhal à écrit dans Le rouge et le noir en 1830 «  le roman est un miroir que l'on promène le long d'un chemin ». ce qui reviendrait à dire qu'il reflète la réalité ; un roman est écrit grâce aux expériences d'une vie. Cependant il affirme aussi que « toute œuvre est un beau mensonge » ce qui vient en contradiction avec la première idée. Alors

retrouvons l'image de la peinture dans les deux textes. Ainsi, dans celui de Proust, le narrateur-personnage assimile le paysage qu'il regarde à une peinture, le champ lexical de la couleur ( « noir », « rose », « peintre », « teint », « pastel », « aviva », « incarnat » , « bleu », « nacre opaline », « rouge », « écarlate », « versatile », « tableau ») appuie sur cette idée : le narrateur regarde une scène, un tableau en perpétuel changement de teinte, comme si un peintre venait apporter une touche

organisation des pages très inventive au niveau de la pliure du livre. Quand Babar s’habille, on sait dans quel ordre regarder les images puisque l’on sait dans quel ordre l’on met ses vêtements… Une scène où Babar se prend en photo la photo est en noir et blanc (couleur de la respectabilité) On assiste à l’entrée de l’éléphant dans la société de consommation (Babar qui doit choisir entre les jouets ou les vêtements est un parallèle avec le dilemme de rester enfant et les responsabilités d’adulte)

essentiels | la méditation sur l’Hommeet sur soi le dialogue incessant du maître et de l’élève l’instruction du Prince et des Puissants sur leurs devoirs. | l’exaltation du sentiment amoureux la fuite du temps et la mélan-colie la beauté féminine, reflet de lasplendeur de l’univers l’immortalité de la poésie | l’illusion et l’instabilité, les métamorphoses du monde et des êtres les déguisements, lesmasques et les miroirs, lesjeux sur l’identitéles incertitudes du bonheurtoujours menacé | la peinture

l’abondance des adjectifs qualificatifs souvent présentés sous forme d’énumérations : c’est le cas des l 44 à 45 où l’on a droit à une cascade d’adjectifs ! On note aussi un souci d’exhaustivité comme si le narrateur voulait tout nous montrer de la réalité qu’il dépeint : il y a bien le désir de reproduire la totalité du réel en nous en dressant une sorte d’inventaire complet. C’est ce que révèlent les énumérations notamment celle qui figure des l 35 à 44 : on constate ici une accumulation assez hétéroclite