Le Roman Aide Le Lecteur à S échapper De Sa Propre Vie

structure/la composition de l'oeuvre TOME I La présentation de l'héroïne Le roman commence par une présentation de la cour du roi Henri II comme lieu de magnificence et de galanterie. Une galerie de portraits suit. La maîtresse du roi, Diane de Poitiers, est présentée avant l'épouse du roi, Catherine de Médicis, comme peut le laisser imaginer une cour préoccupée de galanterie. Ce sont des portraits historiques (tous les personnages du roman ont existé, hors Mme de Chartres et Mlle de Chartres, future princesse

nécessaire en tant que lecteur de nous détacher de ce que nous savons de l'auteur avant de débuter la lecture de l'une de ses œuvres. En effet, il ne faut pas chercher dans le texte des réponses à ses propres questions mais plutôt chercher les questions que le texte en lui-même nous pose. Le texte littéraire est un lieu d'échange entre l'auteur et son lecteur. Marguerite Yourcenar à travers une citation de son ouvrage Les Yeux ouverts cherche à faire entendre ce rôle du lecteur et la manière dont il

autobiographiques ou romans ayant le parfum du réel, ces histoires abordent sans détour et parfois sans| |recul littéraire des thèmes forts, tels la violence familiale, l'inceste, la maladie, la délinquance...  | |Si elles séduisent, c'est parce qu'elles mettent en scène une parole individuelle qui ose et qui dénonce, une parole qui | |interpelle le lecteur et l'informe sur des problèmes d'aujourd'hui, un " je ", réel ou fictif, qui témoigne de ce qu'il a vécu. | |Les livres

nombreux changements apportés à la société française, la deuxième moitié du XIXe siècle fut bouleversée, entre autres, par l’avènement du Second Empire. En effet, ce régime favorisera une véritable révolution industrielle au cœur de la France grâce à la mécanisation. De toute évidence, le progrès industriel devait avoir des répercussions notables sur l’ensemble du pays. L’appât du gain faisant son œuvre, la société française se métamorphose en société de consommation à l’image de la société moderne

lettrés : ouverture d'esprit, remède aux maux les plus terribles, accès à la connaissance, exercice du libre arbître. Autant de qualités qui peuvent rendre un livre magique et indispensable. Dans les Carnets du Vieil Ecrivain, Jean Guéhenno écrit : "un livre est un outil de liberté". Il entend par là que "c'est un temps qu'on se donne pour ne plus vivre par influence, par contagion, mais pour reconnaître, choisir son propre chemin et devenir soi-même." Mais le livre est-il uniquement un outil de

Diderot déclare au sujet du roman que c’est un « tissu d’évènements chimérique et frivole ». Longtemps en effet, ce genre un peu particulier a été considéré comme immoral, flattant l’imagination des femmes, offrant une image idéalisée de la réalité, et donc dangereux. Pourtant, si la littérature romanesque a perduré depuis le Moyen Age jusqu’à nos jours, c’est que surement, quelque part, le roman trouve une justification suffisante. Le romancier et critique Milan Kundera définit donc

Stendhal à Grenoble, il est le fils d’un avocat au parlement, et perd sa mère alors qu’il n’a que sept ans. Il trouve un emploi comme fonctionnaire au Ministère de la Guerre, puis s’engage à dix-sept ans dans l’armée de Napoléon. Il renonce deux ans plus tard à la vie militaire et rentre à Paris, son rêve est de devenir un grand auteur. Il devient en 1805 l’amant d’une actrice (Mélanie Guilbert) et la suit à Marseille, et atteint grâce à son cousin le poste de fonctionnaire Impérial à Milan.

 I )  L’œuvre à pour titre « L'Alchimiste » et à été écrite par Paulo Coelho.  La première publication à eu lieu en 1988 et 1994 pour la traduction française.  Le genre du livre est un roman d'aventures et d'amour. II ) Biographie :  Paulo Coelho est né en 1947 à Rio de Janeiro dans une famille de classe moyenne. Son père, Pedro, était ingénieur et sa mère, Lygia, femme au foyer. Il fit sa scolarité à l’école jésuite de San Ignacio, à Rio, et se forgea rapidement une âme rebelle sous le carcan

Un autre roman pourrait « arranger » les choses autrement et se montrer tout aussi crédible. Par ailleurs, la représentation du peuple palestinien entraîne une forme de commisération que d’aucuns pourront juger « paternaliste », comme si, en définitive, les Palestiniens étaient, de par la douleur qui leur échoit, plongés dans un état d’aveuglement dont il faut les guérir. Mais la « solution » proposée par le roman, même si elle n’est pas, comme j’ai tenté de le démontrer, autoritaire, a le désavantage

de plans et de cartes, allusions au fait de se perdre dans la ville, références explicites à la mythologie du labyrinthe (Thésée). Cependant, le labyrinthe le plus évident, le plus voyant, est celui que construit le narrateur J. Revel, dans lequel se perd le personnage J. Revel, et avec lui le lecteur : le labyrinthe est habituellement une notion référée à l'espace ; dans L'emploi du temps, on a affaire à la construction d'un labyrinthe fondé sur le temps, sur l'épaisseur temporelle. Le labyrinthe