Le Roi scorpion

irriguait toutes les parties du corps .». Il existait trois types de médecins en Égypte, soit le Saou , Sinou et le Ouabou . Les médecins et les magiciens étaient considérés identiques. Le peuple Égyptien les nommait « ceux qui maîtrise les scorpions ». Voici un extrait du papyrus Ebers , montrant la vision du médecin face à un problème cardiaque : « Si tu précèdes à l'examen d'un homme atteint à l'entrée du cardia (l'estomac) et qu'il est atteint dans le bras, à la poitrine et sur un côté

Hyksos, il va provoquer la quête de Tétiki. Antef : C'est le sbire du Prince Hyksos, exécutant le moindre de ses ordres pour parvenir aux fins des Hyksos, devenant ennemi numéro 1 de Tétiki. Ahmosis : Pharaon d'Égypte, il est le fils du dieu Amon, roi des dieux, il dirige Thèbes avec pour aide un grand prêtre et un grand vizir. Imhotep : C'est un vieillard aux connaissances médicales appréciables, très généreux et prêt à aider les autres. Nofret : C'est la fille d'Imhotep, elle pratique la

pistolets passés dans la ceinture, en criant à ses marins avec sa moue ironique : « Et maintenant, les enfants, allons récupérer notre monnaie!... » ANDRÉ NÈGRE, Antoine Fuët, corsaire d'Empire, © éditions du Scorpion, 1963. Texte 4 - Vie des marins Les équipages des vaisseaux du roi vivaient dans des conditions à peine moins affreuses que les galériens. La vie de mer a toujours été très rude au temps de la voile, et les conditions sociales étaient particulièrement insupportables. Les salaires

son instruction. On suppose qu’il parachève ses études à la très célèbre école d’Alexandrie. Du moins, on est sûr qu’il en connaissait des professeurs puisqu’on a retrouvé des lettres qu’il aurait échangées avec eux[2]. De la famille de Hiéron II, roi de Syracuse, (ici le terme de famille est à prendre au sens très large de quelqu’un de la maison de Hiéron), il entre à son service en qualité d’ingénieur et participe à la défense de la ville lors de la seconde guerre punique. Il meurt en 212 av. J

argile retrouvées lors de l'expédition de 1872 mené par l’archéologue George Smith à Ninive (ville située dans l’actuelle Irak, sur la rive gauche du Tigre). Ces tablettes furent retrouvées au sein d’une gigantesque bibliothèque attribuée au roi Assurbanipal, roi assyrien du 7ème siècle av n è. On retrouve au sein de cette bibliothèque un grand nombre de tablettes dont 11 tablettes constituant le récit de l’épopée de Gilgamesh, puis une 12eme tablette qui se distingue des autres, en effet on suppose

le poignard, l'incendie, N'ont pas encore brodé de leurs plaisants dessins Le canevas banal de nos piteux destins, C'est que notre âme, hélas ! N’est pas assez hardie. Mais parmi les chacals, les panthères, les lices, Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents, Les monstres glapissants, hurlants, grognant, rampants, Dans la ménagerie infâme de nos vices, Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde ! Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris, Il ferait

pires dans la pièces. Judas et son épouse Yochabeth. Judas s’est déjà présenté au prison. Il est l'un des douze apôtres de Jésus. C’est lui qui a vendu Jésus pour 30 pièces d'argent aux grands prêtres de Jérusalem. Dans la pièce, Barabbas l’a mépris: Scorpion! Tu as vendu? Sors de cette prison. Ici demeurent des assassins. Pas de traîtres! On tue son prochain, on ne le vend pas, nous. Il est plus mauvais même que Barabbas. Le prêtre l’attaque aussi avec des expressions comme: Ton âme n’est pas de celles

Ê  Annonce  du  prétendu  mariage  de  la  Grande  Mademoiselle  avec  Monsieur  de  Lauzun.     2.  COULANGES,  19  décembre   Ê  Pourquoi  finalement  le  mariage  n’a  pas  eu  lieu,  le  Roi  n’ayant  pas  donné  son  accord.       3.  BUSSY-­‐RABUTIN,  19  décembre     Ê Tristesse  qu’elle  ressent  à  cause  de  son  exil.  (Corneille,  Cid)     4.  De  BUSSY-­‐RABUTIN,  23  décembre

gréce et sa culture. Il attaque les philosophes qu'il qualifie de sophistes, les mots de prédiction nous renvoie aux texte de Pline. Nous voyons l'origine de sa théorie du complot grâce à des ots prétés à Hippocrate qui aurait refusé de soigner le roi perse car c'est un ennemi des grecs. Cela semble être une anecdote connu sans venu des lettres apocryphes d'Hippocrate, rappelé par galien à l'époque impériale sous marc auréle. Cet acte est considéré comme un acte de bravoure, mais d'autre médecin

Celui que l’on considère comme étant le 1er pharaon de l’histoire égyptienne, le fondateur de l’État pharaonique a le nom de Ménès qui est la forme grécisé d’un nom égyptien qui est Mény qui veut dire littéralement « fondé ». C’est le 1er pharaon, roi législateur qui est à l’origine de l’État pharaonique. On assimile Ménès à un personnage à propos duquel on a découverts des sources parlant et évocatrice nommé Nârmner. On a l’évocation dans ce nom de la force sauvage qui n’est pas domestiqué et