Le Roi S Ennui

« je ne suis pas fou, et je suis assez avise pour reconnaitre qui me veut du bien » en montrant son angoisse et sa déception parce qu’il ne comprendre ce qui se passe, peut-être il croit qu’il est fou. Puis, le juge affirme que « c’est ennui sur ennui que de faire un procès à des fous ou à des folles ! ». Finalement Pathelin cherchant à montré au drapier qu’il se trompé, il lui dit ironiquement « cher monsieur, contrôlez-vous. Je vais vous dire, sans plus attendre, pour qui vous vous imaginez

prince de Montpensier. Son ancien amour, le duc de Guise, l’aime encore –bien qu’il ait la possibilité d’épouser Marguerite, sœur du roi Charles IX. Le duc d’Anjou, frère du roi et de Marguerite, est également tombé amoureux de la princesse de Montpensier. Le mariage du roi avec la fille de l’empereur Maximilien remplit la cour de fêtes et de réjouissances. Le roi fit un ballet où dansaient Madame et toutes les princesses. La princesse de Montpensier pouvait seule lui disputer le prix de la beauté

du monde qu’elle sous-entend. Calogrenant a raconté à la cour du roi Arthur son combat dans la forêt de Brocéliande avec Esclados, chevalier de la Fontaine et châtelain de l’endroit. Arthur, informé par Guenièvre, décide alors de se rendre à Brocéliande pour affronter et vaincre Esclados. Mais Yvain veut accomplir cet exploit seul pour venger l’honneur de Calogrenant et pour répondre aux moqueries de Keu. Il part avant le roi et après une première nuit, trouve la fontaine... Puis il alla jusqu’à

pré dont Louise Labé possédait quelques parcelles et où elle s’exerçait à l’équitation) et les jeux d’armes alors plutôt réservés aux hommes, l’escrime par exemple. Comme Christine de Pisan et de manière contemporaine à Marguerite de Navarre (sœur du roi François Ier, qui écrivit l’Heptaméron sur le modèle de Boccace), elle revendiquera le droit au statut d’écrivain et le droit à l’édition, ainsi que la légitimité de la vie amoureuse des femmes. Son œuvre entière est traversée par l’amour, elle qui

« gauche et veule »(vers 9) ainsi que « comique et laid » (vers 10). De plus, Baudelaire compare le poète avec l'albatros : « Le Poète est semblable au prince des nuées » (vers 17). Or, on nous montre ici un albatros et donc un poète qui est gracieux et roi dans son monde aérien, au dessus du sol et du réel : «vastes oiseaux des mers »(vers 2), «  rois de l'azur »(vers 6). Hors, l'albatros est sujet à l'agressivité des marins : Ici, la chute de l'albatros qui se retrouve « maladroit et honteux ». De cette

   ‘’bonté’’ ‘’haine’’ ‘’santé’’ ‘’Fièvres’’. De plus, le champ lexical de la peur se déploie ‘’terreurs’’, ‘’affreuses’’, ‘’nuits’’, ‘’horreurs’’,  ainsi que des accumulations qui viennent à développer ce qu’est l’angoisse  ‘’honte, remords, sanglots, ennuis’’. Les antithèses traduisent la douleur perceptible de Baudelaire, qui ne peut pas s’empêcher de comparer sa vie à une qui l’échappe. Ensuite, Baudelaire s’en sert de jeux de sonorités qui renvoient à sa souffrance. Il s’agit d’une allitération en

plus joués , même de nos jours. A 21 ans , il fonde avec Madeleine et Joseph Béjart « l'illustre théâtre » , troupe qui fera faillite quelques années plus tard. Il obtint la protection du frère du roi à son retour à Paris en 1658 , c'est d'ailleurs le début du succès pour Molière , qui sera soutenu par le roi Louis XIV et qui se mariera avec Armande Béjart , bénéficiant d'une santé solide durant longtemps , sauf peu avant sa mort où elle se dégrada très rapidement. Il dirigea sa troupe jusqu'à sa dernière

Virgile : Andes le 15 octobre en l'an 70 av J.C Naples le 22 septembre 19 av J.C 1) Contexte historique Fondation de Carthage : C’est vers – 860 que se situe la fondation de Carthage, sous le règne de la reine Didon, qui, fuyant son frère roi de Tyr, en Phénicie, accosta sur les côtes de l’Afrique, là où se tiendrait plus tard l’Algérie.
La reine, à son arrivée, fit une singulière requête aux indigènes : elle voulait un territoire pouvant être enceint par la peau d’un bœuf, La peau, découpée

régime autoritaire qui use abondamment de la censure. Des auteurs tel Jean de La Fontaine l'avaient parfaitement compris et c'est pourquoi il peignit dans ses fables un monde fictif peuplé d'animaux personnifiés pour critiquer la Cour et le Roi, afin d'éviter les ennuis. De plus, l'auteur peut choisir entre de nombreux procédés pour convaincre ou persuader le lecteur. Ainsi, Voltaire et Jean Giono dénoncent les horreurs de la guerre mais différemment : Voltaire fait preuve de beaucoup d'ironie, de cynisme

Berry * 1824 Nouvelles Odes * 1826 Odes et Ballades * 1827 Cromwell * 1829 Les Orientales , Le dernier jour d'un condamné, * Marion De Lorme * 1830 Hernani * 1831 Notre-Dame de Paris, * Feuilles d'Automne * 1832 Le Roi s'amuse * 1833 Lucrèce Borgia, Marie Tudor * 1835 Le Chants du Crépuscule * 1837 Voix intérieures * 1838 Ruy Blas * 1843 Les Burgraves * 1852 Napoléon le Petit * 1853 Les Châtiments * 1856 Les Contemplations *