Le Roi S Ennui

Les Plaisirs de l’Île enchantée. Il était un grand succès avec le roi et les nobles mais pas avec l’église. L’archevêque de Paris demanda Louis XIV pour l'interdiction de cet pièce du théâtre. En réponse, Molière écrivit un premier placet au roi et entreprit de la remanier de son pièce afin qu'il fût acceptable à l'église. Cependant la deuxième version, jouée en 1667, fut encore interdite. Molière écrivit encore un placet au roi mais ce n'est qu'en 1669 que Le Tartuffe ou L'imposteur fut autorisée

Contexte : Rome, 1857, Roi Alfonso Del Plazo, Reine Catia, Acte II scène 1 Roi Alfonso : (en mangeant des biscuits en forme de gidouille) Je m’ennuis ! (se tourne vers un soldat) Toi, divertis-moi. Soldat : je ne suis qu’un soldat votre majesté. Roi Alfonso : Alors je fais de toi un bouffon, maintenant tu n’es plus un soldat. Tu as l’autorisation de me divertir, maintenant. Reine Catia : Cela suffit ! Cette personne gardera son titre de chevalier

LA LEGENDE ŒDIPE Dans l’antiquité, chez les grecs, un roi et une reine eurent un fils. Le jour de la naissance du fils, le roi et la reine sont allés voir l’oracle. L’oracle ne leurs prédit que des ennuis avec cette enfant, l’oracle leurs dit qu’il assassinera son père et épousera sa mère. Juste après qu’ils soient partis de chez l’oracle, le roi prit son fils lui ligota les pieds et le donna à un berger pour qu’il mette l’enfant sur la colline, et qu’il se fasse dévoré par les loups. Mais un

consacre sa vie à Dieu est pleinement heureux. « Un roi sans divertissement est un homme plein de misères » La question du divertissement chez Pascal revient en permanence, la condition humaine, c’est un homme mortel et misérable, ce qui est du au péché originel. Un homme qui se retrouve face à face avec lui-même regarde son ennui de face, l’homme est incapable de rester au repos, idée évoquée dans le fragment 126 ; « J’ai souvent dis que

inspirée par la situation de la seconde guerre mondiale et de l'Occupation allemande, et n'a jamais cessé d'être reprise depuis. II-Résumé : Antigone est la fille d'Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes. Après le suicide de Jocaste et l'exil d'Œdipe, roi de Thèbes, le royaume est gouverné par ses deux fils, Polynice et Étéocle. Les deux frères avaient d’abord décidé de partager le pouvoir et de régner une année sur deux. Mais après un an, Étéocle ne veut pas céder le pouvoir à son frère. Polynice veut

son inquiétude face à Don Salluste même s'il est pour lors en exil : p84 « Je sentis sur ma main sa bouche de serpent !» / « L'enfer est dans cette âme » ■ sa solitude, son ennui et son désespoir profonds (c'est une épouse délaissée par le roi parti chassé et prisonnière de l'étiquette inflexible de la cour) : « Ah ! Quel ennui ! » (p87) ; « Mais on m'enferme donc ! Mais on veut que je meure. » (p88) ; « Ne pouvoir [...] / Ni sortir, ni jouer, ni manger à mon gré ! / Vraiment, je meurs depuis un an

double comparaison Le poème L'Albatros est fondé sur une double comparaison. L'albatros est personnifié étant donné que le poète est comparé à l'oiseau. Grâce à un réseau de personnification, les trois premières strophes comparent l'albatros à un roi déchu (" roi " vers 6), à un voyageur ailé tombé du ciel. La quatrième strophe explicite le symbole en faisant du poète, par une comparaison et une métaphore hyperbolique, un " prince des nuées " (vers 13) aux " ailes de géant " (vers 16). Exilé parmi les

plaisirs. - Le roi est environné de gens qui ne pensent qu'à divertir le roi et à l'empêcher de penser à lui. Car il est malheureux, tout roi qu'il est, s'il y pense. A [...] B. Ainsi l'homme est si malheureux qu'il s'ennuierait même sans aucune cause d'ennui par l'état de sa complexion. Et il est si vain qu'étant de mille causes essentielles d'ennui, la moindre chose comme un billard et une balle qu'il pousse suffisent pour le divertir. C [...] Tel homme passe sa vie sans ennui en jouant tous

8). b) Les figures d’opposition. ● Antithèse : « Je vis » (v. 1) / « je meurs » (v. 1) ; « je me brûle » (v. 1) / « me noie » (v. 1) ; « chaud extrême » (v. 2) / « froidure » (v. 2) ; « trop molle » (v. 3) / « trop dure » (v. 3) ; « grands ennuis » (v. 4) / « joie » (v. 4) ; « je ris » (v. 5) / « je larmoie (v. 5) ; « plaisir » (v. 6) / « tourment » (v. 6) / « s’en va » (v. 7) / « à jamais il dure » (v. 7) ; « jesèche » (v. 8) / « je verdoie (v. 8) ; « plus de douleur » (v. 10) / « hors

Œdipe-roi de Sophocle Sophocle a écrit en 430 avant J.C une pièce de théâtre, qui raconte l’histoire d’Oedipe qui est le roi de Thèbes, devant le palais de celui-ci, des citoyens sont venus lui demander de l’aide face à la peste qui règne sur le royaume et qui rend stériles aussi bien l’agriculture que les animaux et les femmes. Oedipe veux y remédier pour cela il va pour consulter l’oracle à ce propos. Il apprend que selon l’oracle, la peste viendrait du meurtre non élucidé de