Le Roi Lear Acte 1 Scène 4

William Shakespeare, né probablement le 23 avril 1564 à Stratford-upon-Avon et mort le 23 avril 1616N 1 dans la même ville, est considéré comme l'un des plus grands poètes, dramaturges et écrivains de la culture anglaise1. Il est réputé pour sa maîtrise des formes poétiques et littéraires, ainsi que sa capacité à représenter les aspects de la nature humaine. Figure éminente de la culture occidentale, Shakespeare continue d’influencer les artistes d’aujourd’hui. Il est traduit dans un grand nombre

Madame Dupont Martine 4 rue du Taur 31000 Toulouse Toulouse le 4 Decembre 2006 Madame, monsieur, Veuillez trouver ci joint la première partie d’un exemplaire concernant mla vie d’Hector Berlioz ainsi que les différentes ouevres de celui ci. Cet exemplaire est le premier d’une série de 12 numéros diffusés régulièrement tous les mois pendant un an. Si vous désirez recevoir chacun de ces exemplaires, il vous sera adressé par courrier au prix mensuel de

       1) Rappelez les grandes lignes de la vie de Shakespeare, sa formation, sa carrière et son œuvre.   William Shakespeare, 1564-1616, est né à Stratford Upon Avon, non loin de Londres. Sa vie correspond au règne de la reine Elisabeth 1ière, il est le plus grand dramaturge de la période. Elevé dans une famille sûrement catholique, il reçoit une éducation soignée à la Grammar School (enseignement humaniste à base de littérature latine et de rhétorique), mais pas d'élite (il n'ira pas à l'université

luttes acharnées pour le pouvoir, les crimes des rois (Henri VIII) et les rivalités féroces, tant au sein de l'aristocratie que de la bourgeoisie. Les actions se déroulent sur de très longues durées, des lieux multiples . La présence de femme sur scène est interdite ; les rôles féminins sont tenus par des jeunes gens . il n’y a pas de costumes ni de décors ; Le théâtre élisabéthain est un théâtre rhétorique, il repose pour l'essentiel sur le texte. A ce titre, il n'y avait pas de décor : le public

d'étude Le théâtre : texte et représentation Le sujet comprend : Texte A - Jean Rotrou, Le véritable Saint Genest (1647), Acte II, scène 4 Texte B - Molière, L’Impromptu de Versailles (1682), Acte I, scène 1 (fin) Texte C - Jean Anouilh, La Répétition ou L’Amour puni (1950), Acte II (extrait) Texte D - Jean-Paul Sartre, Kean (1954), acte IV, cinquième tableau, scène 2 (fin), adaptation de la pièce d’Alexandre Dumas TEXTE A – Jean Rotrou, Le véritable Saint Genest Genest est un acteur

Objet d'étude : le théâtre, texte et représentation. Textes : Texte A - Jean ROTROU, Le véritable Saint Genest (1647), acte II, scène 4. Texte B - MOLIERE, L'Impromptu de Versailles (1662), acte I scène 1 (fin) . Texte C - Jean ANOUILH, La Répétition ou l'Amour puni (1950), Acte I (extrait). Texte D - Jean-Paul SARTRE, Kean (1954), acte IV, cinquième tableau, scène 2 (fin), adaptation de la pièce d'Alexandre Dumas. TEXTE A - Jean Rotrou, Le véritable Saint Genest. [Genest est

auparavant. Le développement cinématographique et télévisuel s’est fait en sa défaveur. Le public a déserté les salles de théâtre pour les salles obscures ou les salons particuliers. Il ne fait plus rêver. Trop limité dans sa proposition (mise en scène du texte), la puissance du théâtre réside dans le hors champs. L’imagination du spectateur joue beaucoup dans son adhésion à l’histoire racontée. Or dans notre contexte, surchargé voir harcelé de propositions visuelles et conceptuelles, il semble que

Liste des fragments p.11 Ouverture p.13 Fragment 2 p.16 Notule → Description de l'ourson (Magnus) p.17 Fragment 3 p.22 Séquence → « Nachtgesang im Walde » œuvre chorale de Schubert sur un poème de Johann Gabriel Seidl p.25 Fragment 4 p.30 Notule → Information sur FRIEDRICHSHAFEN p.31 Fragment 5 p.36 Notule → Information sur Helmut SCHWALBENKOPF p.37 Fragment 6 p.43 Notule → Information sur Clemens Dunkeltal p.45 Fragment 7 p.51 Notule → Information sur la famille SCHMALKER

moralités. Ce théâtre s’adressait à un public turbulent et parfois naïf, un public composite issu de toutes les classes sociales, mais passionné de poésie et d’une intense richesse d’imagination, acceptant spontanément toutes les conventions de la scène, l’absence de décor, les écriteaux indiquant les changements de lieu, les éphèbes interprétant les rôles féminins, la médiocrité. de la figuration, pour la beauté d’un vers, la vigueur d’une image, la splendeur d’un verbe sans cesse renouvelé. On

la démesure — Aaron, le maure lubrique de Titus Andronicus ; Edmond, amant des deux filles du Roi Lear ; Claudius, qui usurpe le lit du père d’Hamlet aussi bien que son trône —, notre personnage ne prononce pas un seul mot de volupté ou de désir, et même dans la complicité qui le lie à sa femme aucune sensualité ne transparaît. Du sommeil, enfin, ce festin des festins, « chief nourisher in life’s feast »1. L’incarnation du mal que propose ici Shakespeare ne coïncide pas avec celle du tyran habituel