Le Rire Vulgaire

car il représente bien la France avec ses gags et ses clichés du club-med au alpes et des touristes français, ainsi rire des bronzés c'est un peu rire de soi, c'est peut être pourquoi certains n'aiment pas la saga des bronzés, car la vérité est souvent sans concessions; avec des personnages qui sont ringards, vulgaire, attachants, drôles, et sans gêne plein de gaieté et qui incite a rire a travers leur attitudes et c'est sans doute sa qui fait le sucés des bronzés, a savoir des personnages dans lesquelles

cherche à faire rire, ou du moins à faire sourire le spectateur. Cette définition englobe donc les formes les plus comiques (farce, commedia dell'arte) et les plus fines (comédie romantique, comédie absurde, etc.) En résumé: Le rire est associé à la surprise. C'est un réflexe nerveux et non contrôlé. Il peut être déclenché par des éléments d'une grande subtilité intellectuelle comme par le renversement des tabous les plus vulgaires (liés au sexe, au pouvoir, etc.) Le rire provoque et

comédie est de faire rire, à tel point que nous verrons qu’il existe beaucoup de procédés comiques utilisés dans ce but. Mais nous pourrons nous demander si parfois derrière ce comique n’apparaît pas une volonté de l’auteur de dénoncer telle ou telle pratique, classe sociale, etc. Alors, faire rire est-il le seul but d’une pièce comique ? Nous verrons donc en premier lieu, que la comédie repose avant tout sur une histoire et sur une technique, qu’elle est conçue pour faire rire. Puis nous examinerons

vocation traditionnelle de la comédie est de " corriger les mœurs par le rire ". Nous verrons tout d’abord que le but premier de la comédie est de provoquer le rire et ensuite nous étudierons en quoi la comédie peut avoir une portée morale . Pbt : La relation entre maître et valet ne vise-t-elle qu’à faire rire le spectateur ? I : La visée comique 1)Les différents comiques *le comique de mot par exemple celui, vulgaire, d’Arlequin : -avec ses Fautes de syntaxe : " à cause que je suis le maître

introduction d'une oeuvre comique. Le rire est le propre de l'homme" comme le rappelle l'auteur dans son avis aux lecteurs, l' oeuvre de l'humaniste sera donc comique et son prologue aussi. Les effets combinés sont nombreux et donnent le ton dès les 1ere lignes. Il s'agit pour Rabelais de : 1. Jouer avec le lecteur : le comique de contraste les surprend d'entrée de jeu 2. Leur faire tourner la tête : comique de répétition 3. Se moquer de l'homme vulgaire (comique de satire) et de leur agitation

|Dissertation : Peut-on rire de tout ? | Reprenons une scène cinématographique assez connue: un Namurois vient d'abattre un homme de couleur. Une camera complice filme la scène et enregistre les commentaires du criminel : « C'est le moment ou jamais de voir si c'est vrai cette légende sur leurs proportions. Il procède aussi sec à un examen corporel de la victime avant de conclure face caméra « Allé, remballe moi ça, c'est écœurant à la fin ! Tu t'imagines

RabelaisSUJET: “la verve comique de Rabelais s’empare ainsi des données de la réalité sociale, des problèmes de l’actualité politique et religieuse, de toutes les formes de la sottise ou de la folie humaine pour les exorciser par le rire” PLAN: Partie 1: Omniprésence du rire/ œuvre grotesque I- exagération (présence du géant permettant d’utiliser des exagération : relevé les nombreuses hyperboles) II- actions inimaginables pour un

• Evolution historique du recit : Le nom roman vient de l'adjectif roman, romane : au moyen age est appellé roman toute oeuvre ecrite en langue vulgaire ; par opposition au latin. Les premiers romans sont en vers. Mais avec l'inspiration celtique le roman entre dans la prose. Du XIII au XVIII, le roman seras considéré comme negligeable et vulgaire. Il faudras attendre le XIXeme pour le voir conquerir un veritable legitimité littéraire. • Regisres : Registres | Themes privilégiés

qui renchérit de façon artificielle, indique le besoin médiocre d'éblouir. Mais c'est la prétention de Mascarille qui, en atteignant des sommets, prête le plus à rire. Il se compare implicitement au roi Louis XIV, inversant la hiérarchie sociale. La précision de l'expression "une demi-douzaine de beaux esprits" révèle une fatuité vulgaire, indigne de l'honnête homme. Les insuffisances du paraître Outre ses excès, Mascarille commet quelques fautes de jeu. Il ne réussit pas toujours à faire oublier

nous oppose la vulgarité à la politesse et la maladresse à la franchise Comme on a pu le voir, Silvia est une paysanne, elle n’a donc pas vraiment de manières dans son expression. Elle parle comme elle pense « crac » (l. 32), en mêlant le vulgaire à l’ironie. Elle se moque ouvertement d’un officier de la cour en se jouant de ses propos. Elle se moque de lui en lui reprochant ses « cependant », avec ses nombreuses répétitions, et critiques déplacées « ne voila t’il pas encore un cependant