Le Rire Tartuffe Bergson

l’octosyllabe) rimé ou assonance. Bientôt le drame s’avance jusqu’au « Narthex » (vestibule « ouvert », porche de l’église), le public se groupant sur le parvis. Les prêtres interprètent les rôles féminins. Certains portent la barbe, mais personne ne songe à rire. Le public médiéval, comme les enfants qui jouent, fera toujours facilement abstraction de la réalité. Un pas de plus vers le théâtre véritable est franchi avec Le Drame d’Adam. (1165). Vivacité du dialogue (entièrement en langue vulgaire !) marche

Lisette et Arlequin se rencontrent donc dans le même dessein : révéler qu’ils ne sont pas des serviteurs, tout en gardant le cœur de l’autre. Ils ne s’y résolvent qu’au terme d’un dialogue riche de demi-aveux et d’effets comiques, et s'arrangent, dans le rire, de leur déconvenue. Malgré leur déception, ils se jurent un amour éternel. Scène 7 : Dorante survenant, Arlequin ne lui révèle pas le secret du déguisement des jeunes femmes : il peut ainsi continuer à se jouer de son maître qui s’étonne, pour

écrivant ce livre, Rabelais poursuit deux buts principaux : faire rire et instruire le lecteur. Rabelais écrit pour des malades, et il veut les amuser ; en bon médecin il sait qu’un malade en riant oublie sa Pg No.12 maladie, devient optimiste et peut ainsi guérir plus facilement. Par ailleurs, Rabelais pense que la gaieté, l’optimisme, est un trait dominant de la nature humaine : il faut faire rire, dit-il, ‘‘….parce que le rire est le propre de l’homme’’. Cependant, toute une philosophie traverse

|comique (comédie de mœurs ou de |rire, complicité. | | | | |vaudeville, sketches. |règles de structure (cf. les |caractères) : importance des jeux de |peur, pitié, indignation. | | | | |Comédie et tragédie classiques |trois unités des classiques). |scène, des registres de langue. |rire et larmes, tension | |

Ensemble des principes de nature non juridique admis et respectés dans les relations internationales. (Dict. XXe s.). [pic]PHILOS. [Chez Bergson] Morale close ou statique (p.oppos. à morale ouverte ou dynamique). La morale close, fondée sur une idée toute mercantile de l'équilibre et de la réciprocité, cette morale tournoie sur place éperdument (JANKÉL., Henri Bergson, Paris, P.U.F., 1959, p.191): [pic]3. Il y a une morale statique, qui existe en fait et à un moment donné, dans une société donnée, elle

Losey H. de Montherlant, La Mort qui fait le trottoir 26 26 28 28 29 30 31 32 34 Le mythe de Don Juan, du théâtre au cinéma 4 S O M M A I R E Lecture de La Leçon E. Ionesco, Rhinocéros Exercices d’approfondissement 1 Molière, Le Tartuffe 2 E. Labiche, Un chapeau de paille d’Italie 3 Beaumarchais, préface du Mariage de Figaro 4 E. Ionesco, Notes et contre-notes Prolongements 34 34 35 35 36 J. Racine, Bérénice A. Cabanel, Phèdre Mise en scène de Phèdre Extrait du film Œdipe Roi

sa troupe au Palais-Royal, futur sige de la Comdie franaise. partir de cette date, Molire enchane les succs comme auteur de pices comiques, succs qui saccompagne parfois de scandale, comme la cabale qui est monte par le parti bigot contre sa pice Tartuffe. Toutefois, en dpit de toutes les pressions, Molire parvient conserver la faveur du roi jusquau bout.Homme de thtre jusqu la fin, cest le 17 fvrier 1673 que Molire steint chez lui, quelques heures aprs avoir jou la quatrime reprsentation du Malade

séduction, adoptent un discours faussement religieux dont le détachement contraste avec la vitalité et la crudité des instincts (désir, faim). 4. Le conteur emploie le registre satirique pour se moquer du milieu des dévots dans la tradition du Tartuffe de Molière. 5. Jacob endosse avec une grande facilité le rôle de Baptiste qui est mort (l. 31-42). Cette substitution des identités (qui a été étudiée par René Démoris dans Le Roman à la première personne, Droz) montre l’avidité du personnage

séduction, adoptent un discours faussement religieux dont le détachement contraste avec la vitalité et la crudité des instincts (désir, faim). 4. Le conteur emploie le registre satirique pour se moquer du milieu des dévots dans la tradition du Tartuffe de Molière. 5. Jacob endosse avec une grande facilité le rôle de Baptiste qui est mort (l. 31-42). Cette substitution des identités (qui a été étudiée par René Démoris dans Le Roman à la première personne, Droz) montre l’avidité du personnage

Mais Louis le Grand, XIVe du nom, va bientôt imposer sa vision de l’art d’écrire : économie des moyens, rigueur dans la composition, efficacité dans la transmission du message ! Ainsi s’impose finalement le genre classique, avec un Molière qui fait rire dans ses comédies, un Racine qui émeut dans ses tragédies ou un Boileau qui théorise à longueur d’alexandrins. Dans leur sillage : Madame de Sévigné et ses adorables lettres en petits potins, La Rochefoucauld et ses maximes, Perrault et ses contes