Le Rire Sert à Critiquer Les Travers De La Societe

. Durant les années 50 un Camerounais, Ferdinand Oyono, s'engage dans la critique directe de l'occupation coloniale. En 1956, paraissent deux chefs d'oeuvre: Une vie de boy et Le Vieux Nègre et la Médaille. L'arme d'Oyono est la dérision, le pouvoir blanc est d'autant plus illégitime qu'il est ridicule. A la différence de Mongo Béti, Oyono utilise l'humour comme une arme offensive. Il met la pantomime coloniale au coeur de ses romans pour en montrer le caractère dérisoire. Entre les Africains

inventés, souvent destinées à forger leur vision de la vie ou à les édifier. L’âge adulte oublie un peu ce goût du récit, en tout cas considéré comme moins sérieux que les autres formes d’argumentation. Cependant des écrivains comme La Fontaine et Voltaire savent le parti que l’on peut tirer de la force argumentative de la fiction. Pour La Fontaine : « Une morale nue apporte de l’ennui Le conte fait passer le précepte avec lui » (« Le Pâtre et le Lion », VI, 1) • Sujet à traiter : pour emporter

Cependant cette description revêt ici plusieurs formes que nous allons analyser. III.1.1. Le portrait Etymologiquement, de l’ancien français portraire « dessiner ». A l’origine, le portrait est une notion rhétorique. Dans le genre démonstratif, il est un élément essentiel pour orienter le discours dans le sens de l’éloge ou du blâme. A partir du domaine de la rhétorique, le portrait s’est diffusé dans le domaine de la littérature, principalement dans le genre romanesque. III.1.1.1. Formes et fonction

Français Première S La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation Du xvième siècle à nos jours. Séquence 1 : Interrogations esthétiques (groupement de textes) * Texte 1 : extrait de Salons de 1761 de Diderot Passionné par la peinture, Diderot se rend tous les deux ans au grand salon de peinture organisé au château du Louvre. Il fait ensuite le compte-rendu et l’analyse des œuvres qu’il a découvertes, faisant partager au lecteur ses enthousiasmes et ses déceptions. « Enfin je

Florilège du latin CM Séance 1 Cours 1 I) La poésie 1) Le genre dramatique à Rome a) La comédie latine Les romains n’avaient pas cette conception de genre littéraires que nous avions. On y trouve le registre utilisé, le sujet... Dans la littérature antique, il est difficile de catégoriser et ce que l’on définit comme genre littéraire n’existe pas. Il y a dans la littérature latine un phénomène de transgression, d’emprunt, de parodies qui seront au cœur de la composition littéraire latine. Ce

Racine et de Corneille laissent place à ce nouveau genre qui permet aux auteurs de dépeindre des situations de la société actuelle et de faire passer de nouvelles idées. Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais fut l’un des premiers à exploiter ce nouveau genre théâtral, c’était un écrivain, dramaturge, éditeur, inventeur révolutionnaire… Mais ce fut aussi une figure emblématique du siècle des lumières car il fut l’un des précurseurs de la révolution à travers ses idées et la remise en cause des privilèges

depuis une dizaine de siècles, ne peut envisager l'évolution de ses sociétés sans y inclure l'influence de la littérature. Parmi les fonctions de la littérature dans une société Aragon ne cite que celle qui semble essentielle à ses yeux, en affirmant : « notre plume doit être une épée ». Il pose ainsi le problème des différentes fonctions possibles de la littérature dans une société. À partir de là, on pourra considérer , à la suite d'Aragon, que la littérature doit s'engager ; cependant, on considère

joue sur les calembours , les sonorités , les niveaux de langue * Le comique de caractère fit rire des ridicule d’un personnage Les formes de la comédie : * La commedia dell’arte : la commedia dell’arte apparaît en Italie sous la Renaissance . Elle repose avant tout sur le jeu scénique de l’acteur , qui se livre à toutes sortes d’acrobaties drolatiques , et sur l’improvisation . Elle a généralement recours aux masques , et met en scène plusieurs personnages conventionnels devenus célèbre :

« c'est très simple : cela consiste à être réel dans l'irréel ». Le théâtre n'a cessé d'évoluer depuis son apparition. De l'Antiquité à l'époque contemporaine en passant par le Moyen-Age, il a toujours été un moyen de divertissement populaire, un endroit d'où l'on voit, « teatrum », se dérouler une histoire. Jean Giraudoux, dramaturge germain inscrit dans le mouvement Surréaliste de l'entre-deux guerres, nous dit que le théâtre consiste très simplement « à être réel dans l'irréel ». Il lie ici

historique de la domesticité dont la figure centrale est le valet. D'après le Littré, le valet se définit comme "celui qui est au service d'une personne" ; le maître, quant à lui, est "la personne qui commande, soit de droit, soit de fait". La relation maître-valet est donc une relation de pouvoir, de domination. le maître a le sort de son valet entre ses mains et peut soit le favoriser, soit le maltraiter. la dépendance qu'il impose est d'ordre économique mais aussi sociale car le bonheur du valet