Le Reboisement

des activités sylvicoles sur les peuplements spontanés, que ce soient des coupes pour le bois de chauffe dans les taillis de chêne, la récolte du liège dans les suberaies ou l’exploitation du pin maritime pour le sciage ; - des efforts énormes de reboisement et de restauration de terrains de montagne plus ou moins dégradés auxquels ont succédé, sur des terres agricoles marginales abandonnées, des accrus spontanés de résineux créant de vastes espaces forestiers non gérés ; - le renforcement de la chasse

d’énergie, énergies renouvelables, ri sélectif, récupération des biogaz émis par les décharges. Des actions concrètes ont déjà été entreprises : - dans l’agriculture, les nouvelles techniques d’irrigation et de culture, dans la sylviculture, le reboisement et l’exploitation raisonnée des forêts ; - dans l’industrie, des techniques de production et des produits réalisés réduisant les émissions de GES ; - dans l’habitat, l’isolation, la réglementation thermique, le chauffage au bois ; - dans les

importer : Les récoltes annuelles demeurent inférieures aux possibilités annuelles de coupe. Le déséquilibre est réel et provient d’une forte sollicitation des résineux et d’une moindre exploitation des feuillus. L’inventaire forestier révèle un reboisement insuffisant pour maintenir le niveau d’exploitation en vigueur sur les peuplements de conifères parvenus à maturité, alors que la demande industrielle reste forte notamment dans l’industrie du papier. 4 B. La surcoupe des lots boisés privé

thématiques, le nouveau tramway sera « l’épine dorsale de régénération du tissu urbain ». Les nœuds sont traduits architecturalement par des « landmarks », topographies bâties représentant le domaine universitaire traversé. Enfin, la densification et le reboisement du cœur de campus est programmé. PLP : « la rambla Montpelliéraine », tel est la description du parti pris. Cette rambla est l’axe fort (Route de Ganges) qui relie les différents sites universitaires du nord de la ville de Montpellier. Il permettra

la protection et le développement de l’environnement de l’homme sur le plan naturel, social et économique et enfin l’aide et l’assistance aux démunis. Son antenne de Dapaong créée depuis mars 2000 envisage de sensibiliser sur les thèmes du reboisement, de collecter les ordures ménagères et d’améliorer la salubrité urbaine. Jusqu’à présent les activités se sont limitées à sensibiliser une quarantaine d’élèves avec le concours de l’ATBEF et des scouts de Dapaong. L’environnement économique

qu’agrégeant toutes les formes d’érosion : érosion aréolaire, érosion ravinaire, mouvements de masse etc.. .). Sa variation dans le temps permettant en outre d’estimer l’impact des modifications de pratiques agricoles ou des aménagements (agro-foresterie, reboisement, lutte anti-érosive) sur la séquestration du carbone à l’échelle d’une unité hydrologique (La1 et a1 1995, 1997). 469 Le dispositif expérimental, classiquement mis en œuvre pour évaluer les pertes de carbone a cette échelle, est le bassin versant

résoudre techniquement les questions environnementales- d'autres prônent la décroissance, c'est à dire l'abandon de l'idée de croissance économique.b) L'évolution de la forêt française reflète ce changement du rapport Homme/nature. On observe ainsi un reboisement spectaculaire dont les raisons sont multiples:- les pressions sur le milieu forestier diminuent du fait d'un fort exode rural. Le charbon puis le pétrole remplacent par ailleurs le bois comme le principal combustible- un nouveau rapport esthétisé

crédibilité, etc.) 3) Coumba Responsable de l’Environnement Demandez aux participants : - D’après vous, quel sera le rôle de Coumba ? (Elle est chargée de la protection et de la gestion des activités liées à l’environnement tel que : le reboisement, la protection contre l´abus a l’exploitation, l’assainissement, la lutte contre la pollution et instaurer des relations avec les responsables chargés de l’environnement (agents forestiers). - D’après vous, sur quels critères le CGC doit

ceux qui se disent inquiets de voir la popularité toujours croissante de l'huile d'argan conduire à une surexploitation, Dr Zoubida Charrouf, professeur à l'Université Mohamed V de Rabat réplique que les expériences des autres pays montrent que le reboisement augmente avec la demande du produit. "C'est la valeur économique d'un arbre qui fait qu'on est motivé pour le replanter … Notre production nationale est de 4 000 tonnes par an [au Maroc. Il nous faudrait 400 coopératives pour produire cette quantité

du sol il faut : Eviter les cultures sur brûlis qui détériore le sol ainsi que la monoculture Pratiquer les cultures en terrasse et en courbe de niveau Ne pas abuser des engrais chimiques L’amendement étant tout de même nécessaire Faire du reboisement pour lutter contre l’érosion Eviter le surpâturage La gestion des ressources naturelles est un bon atout pour la protection du sol Remarque : La gestion des déchets est un atout essentiel à la protection de l’environnement ; il faut d’abord