Le Reboisement

d’épuration des eaux usées, de filtres à manches pour limiter les émissions de gaz et de poussières et d’une protection des locaux de production pour éviter les poussières diffuses. Parallèlement à cela, Lafarge Maroc s’est engagé dans un plan de reboisement sur 4 ans, afin de mieux insérer l’unité dans son environnement. En tout, le volet environnement aura absorbé, en 2005, pas moins de 150 MDH, soit 12,5% de l’investissement total de 1,2 milliard de DH. Lafarge Maroc a signé, en 2006, un accord

100 ans pour régénérer 1 cm d’épaisseur de sol fertile dans les meilleures conditions des zones tempérées. Pour lutter efficacement contre la désertification des mesures de prévention des dégradations, de réhabilitation des terres abîmées, de reboisement, de développement d’une agriculture écologique durable, et d’une meilleure irrigation, doivent être mises en place. Par exemple, au Sénégal , pour stopper ou ralentir l’avancée du Sahara , le replantage d’une « ceinture verte » est envisagée

vigueur. 2. Dans les domaines de l’agriculture et de l’industrie. La politique agricole commune vise à l’arrêt de la désertification et la promotion de l’autosuffisance alimentaire. C’est ainsi que la Communauté contribue au programme de reboisement dans les pays menacés par le désert (Mauritanie, Mali, Niger). La coopération industrielle porte sur la formation, l’assistance technique et les échanges d’informations. Par ailleurs une cimenterie contrôlée par la Côte d’Ivoire, le Ghana et le

restaurer la confiance. Progressivement, la dépression recule, mais c'est l'entrée en guerre des États-Unis, en 1941, qui permet de la supprimer totalement. Politique de grand travaux WPA ( Work Programm Admin) donner du travail aux chômeurs. Dans le reboisement, entretien des forêts, de grand aménagement aux publics. Politique d’aide aux entreprise : agricoles/ banques politique d’aides aux plus démunis : Allocation chômages ( Social Security Act ( 1939) Les objectifs sociales : lutter contre

services nécessite la mobilisation de facteurs de production qui se traduisent en partie par l’utilisation de ressources naturelles et de sources d’énergie. Les ressources naturelles sont partiellement renouvelables grâce à l’agriculture ou au reboisement des forêts, mais la surexploitation de ces ressources conduit aujourd’hui à s’inquiéter quant à la diminution des zones boisées et à la raréfaction des réserves d’eau douce. Or, l’espèce humaine ne peut survivre durablement sans accès à ces ressources

reboiser les espaces avec les essences appropriées tant dans les massifs forestiers que dans des petites zones qui seront supports à la biodiversité. Le plan forêt cherche à : -Reboiser autant que possible les abords des routes et des canaux. Reboisement des bords d'autoroutes par deux personnes. Développer. Le plan forêt cherche à : -Développer la forêt urbaine et périurbaine -Renaturer les espaces agricoles sans enlever leur vocation de production et ainsi freiner l'étalement

28 000 hectares. La particularité des forêts communautaires est l’apport d’une source de revenus directs pour le paysan, or ces projets ne peuvent pas fournir de gros volumes de bois. Le projet d’extension de la certification forestière et de reboisement compte à ce jour 600 paysans et près de 2000 hectares sont labélisés par l’écolabel indonésien LEI. Un memorendum of understanding a été signé fin mai 2010 entre FSC International et LEI, et les deux systèmes se donnent 18 mois pour s’observer mutuellement

au moment de l’achat du bois par les commerçants. Le montant de la taxe de transport est reversé en partie à l’État pour que celui-ci puisse assumer ses tâches de contrôle et ait les moyens de financer des programmes de développement rural et de reboisement. En effet, entre 40 et 60 % des recettes fiscales doivent être affectés à des travaux d’aménagement forestier tels que plantations agroforestières, pépinières, pare-feu, lutte contre l’érosion, afin d’assurer une exploitation durable de la forêt

d’épuration des eaux usées, de filtres à manches pour limiter les émissions de gaz et de poussières et d’une protection des locaux de production pour éviter les poussières diffuses. Parallèlement à cela, Lafarge Maroc s’est engagé dans un plan de reboisement sur 4 ans, afin de mieux insérer l’unité dans son environnement. En tout, le volet environnement aura absorbé, en 2005, pas moins de 150 MDH, soit 12,5% de l’investissement total de 1,2 milliard de DH. Lafarge Maroc a signé, en 2006, un accord

l'exploiration du gaz de schiste peut contribuer à lutter contre la désertification, économique et populaire, de certaines régions. Elle peut laisser derrière elle, à condition que cela soit exigé au départ, des aménagements plus durables tels que des reboisements, des forages d'eau, ou des systèmes de captage (forages, retenues) de l'eau, qui a été nécessaire à la fracturation et qui pourra être utilisée pour l'irrigation par exemple. Tout est une question d'accords et de contrats préalables entre les collectivités