Le Realisme De La Pension Vauquer

filles avant d’avoir aimé passionnément l’argent. Mais Balzac est aussi un auteur réaliste parce que il a pour objectif de décrire la société Française de la Restauration avec objectivité comme s’il était le « secrétaire » de cette société. Son réalisme est remarquable au niveau de ses descriptions très longues et très précises de la France et des Français au temps de la Restauration. Le Père Goriot d’Honoré de Balzac (1835) est un roman des Scènes de la vie privée. Il constitue une étape importante

existent encore, même au XXIe siècle « pension » de «Madame Vauquer » B. Précisions temporelles « 1819 », période de la Restauration où le règne de l'argent remplace les codes de l'honneur Accession au pouvoir d'une bourgeoisie triomphante « époque à laquelle ce drame commence », cette « époque » devient le théâtre d'évènements difficiles où se joue le destin d'une « pauvre jeune fille ». Références essentielles : remonte jusqu'aux origines de la « pension bourgeoise » ouverte « depuis quarante

3. Madame Vauquer, symbole de la pension, de la société, et de la méthode du romancier : a. Les correspondances entre madame V et la pension : Balzac estime que le milieu dans lequel l'individu vit agit sur l'individu, et inversement l'individu peut agir sur le milieu dans lequel il vit. Et il y a de nombreuses correspondances entre V. et la pension ; elle est à l'aide dans la pension , supporte l'air " chaudement fétide" , son apparence physique est " en harmonie avec cette salle où suinte

Père Goriot, Les Illusions perdues et Splendeurs et misères des Courtisanes, on arrive à retracer son itinéraire. Lorsqu'il est à la pension Vauquer, il est évadé du bagne dans lequel il devait purger une peine de 5 ans de prison pour avoir endossé des faux en écritures « d'un beau jeune homme qu'il aimait beaucoup ». Après son arrestation à la pension Vauquer, il s'évade à nouveau, il remplit auprès de Lucien de Rubempré une fonction semblable à celle qu'il remplit auprès de Rastignac dans le

-Extrait du 1er chapitre :-une pension bourgeoise-« Monsieur Poiret était une espèce mécanique…….la maison Vauquer est une de ces monstruosités curieuses. » =================================Portrait de Poiret=================================

1835 en librairie. Il fait partie des 95 romans de la comédie humaine. C’est un roman réaliste qui provient du mouvement littéraire du réalisme du XIXème siècle. Le roman se situe dans un contexte historique, l’époque de la monarchie de juillet (débuts de l'industrialisation française : 1830-1848). Honoré Balzac est né le 20 mai 1799. Très tôt il fut placé en pension, et l'indifférence de ses parents à son égard l'a beaucoup marqué. En 1818 il s'inscrit à la faculté de droit. Ses romans lui rapportent

catégories de personnes : Les riches : ils étalent leur richesse au monde entier et décident de l’importance des personnes. Dans ce milieu, il existe beaucoup de mensonges et de trahisons. Les pauvres : ils sont représentés par la pension médiocre qu’est la pension Vauquer. Le passe-temps préféré de ces personnes est de critiquer les personnes aisées. Afin de devenir quelqu’un de respectable dans cette société, il faut qu’une personne de haut rang serve d’intermédiaire pour l’y introduire. Les personnes

Balzac en 1835, à cette époque ou le réalisme était à son apogée. Ce mouvement littéraire apparu en Europe, au XIXe siècle, et cherche à représenter la réalité telle qu’elle est en choisissant ses personnages dans des classes moyennes ou populaires, et en abordant des sujets de la vie courante comme le travail, les relations amoureuses, les conflits sociaux etc. On situe cet extrait dans les trente premières pages de l’œuvre, qui décrit parfaitement la pension bourgeoise dans laquelle Balzac nous

écrit : « Ce sont les fameux « monomanes » de Balzac que nous revoyons, en effet, dans les grands passionnés de Proust .» Contexte littéraire: Début du réalisme et romantisme. Contexte historique: Lendemain des Trois Glorieuses,règne de Louis Philippe et de la bourgeoisie. Résumé: À Paris, à la fin de l’année 1819, dans une pension bourgeoise, lépreuse et nauséabonde, de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, vit un groupe de pensionnaires, où, à côté de figures banales et grotesques, s’entrevoient

liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. Pourquoi ce titre ? Le titre joue sur une ambiguïté. On dit «  le Père Goriot », c’est l’appellation campagnarde ou populaire de l’homme âgé, du bonhomme. Les pensionnaires de la maison Vauquer désigne ainsi celui dont-ils se moquent, faisant des jeux de mots sur son nom ( l’auteur y ajoute sa propre ironie en affectant le personnage d’un compère-loriot, maladie oculaire des vieillards que semble mérité le père aveuglé par l’amour). Cependant