Le Prisonnier

l'inverse, si être libre ne signifie pas faire ce que l'on veut, qu'est-ce qu'être libre ? Une liberté qui serait limitée, qui ne serait donc pas totale, a t-elle encore un sens ? I. La liberté est absence de contrainte Par définition, un prisonnier n'est pas libre dans la mesure où il n'a pas la possibilité d'agir à sa guise. Son emprisonnement est une contrainte qui s'exerce sur sa liberté, notamment de mouvement. Être libre, ce serait donc pouvoir agir sans contrainte. Or, pour agir il faut

d'oiseau, la mort est plus douce. Après avoir expliquer ce que l'oiseau pouvait faire a l'intérieur de lui, l'auteur nous fait comprendre que l'oiseau est là depuis un certain temps: «C'est un oiseau tenu captif»(vers:13). Le mot captif synonyme de prisonnier nous fait en effet croire que l'oiseau est a l'intérieur de l'homme depuis déjà un petit moment, ce qui amène une certaine lenteur au poème et qui rend la mort plus douce. L'homme ce détériore en plusieurs jour, ce n'est qu'après un assez long moment

comment les thèmes de la liberté et de l’enfermement se retrouvent dans ces nouvelles. Dans la nouvelle « Le mur », le narrateur et deux autres hommes sont des prisonniers de la guerre d’Espagne. Ces trois hommes sont mis dans une cave où ils resteront jusqu'à leurs exécutions. Le narrateur, Pablo, décrit l’état d’être des prisonniers pendant les heures qui mènent à cet événement. On voit déjà le thème de l’enfermement apparaître. D’ailleurs, le titre même de la nouvelle souligne ce thème puisqu’un

au-dessus des têtes ces deux bras rouges, avec leur triangle noir au [...], le cœur [le] faillit. » (Lignes 7 à 9). En appliquant la périphrase désigne les descriptions de la guillotine à substituer l’expression épouvantable du condamné. Puis, le prisonnier révèle l’horreur en regard l’échafaud qui illustre le symbole horrible, effrayant et hideux en périphrase. En effet, le détenu présent cet image au mouvement dans la phrase d’ellipse qui supprime plus nettement les emblèmes de la guillotine évoquée

Messieurs les jurés, ce meurtre n’a été orchestré que pour une simple séparation entre deux hommes apparemment très proches. La mort de M. Delacelle ne serait justifiée que par cette séparation ! Bien sûr, vous avez entendu les dépositions des autres prisonniers : « Claude Gueux a eu raison, M. Delacelle l’avait provoqué ! ». Mais ne vous laissez pas influencer par ces témoignages qui discréditent la mémoire du défunt. Ces hommes, qui n’en sont pas à leurs premiers délits, à leurs premiers mensonges, n’agissent-ils

Plan détaillé de « Etre libre, est-ce ne rencontrer aucun obstacle ? » Comme on peut le voir dans la vie de tous les jours la liberté est définie par l’action de faire ce que nous voulons ou ce qui nous plait. Plusieurs prisonniers parle que la prison est un endroit où la liberté n’existe pas. Elle est donc définie par l’absence totale d’obstacle cependant au cours de notre vie, plusieurs obstacles apparaissent mais ce n’est pas pour autant que l’on ne n’est plus libre.

Alors que ce que je propose c'est de réformer le mode d'exécution des peines pour que les condamnations de 20 ans soit égale à 20 ans et pour que la perpétuité en soit véritablement une. Bien sûr certains diront qu'il est impossible de garder un prisonniers à vie mais alors comment font n'aux voisins eux y arrivent nos prisons serait-elle tant différentes. Cela ne m'empêche pas de penser qu'il faut développer les bracelets électroniques, donner de meilleurs conditions aux détenus et leurs permettrent

p.7 centre de détention (provisoire, longue durée)…………………………………….. p.8 Milieu ouvert………………………………………………………………………. p.9 II – Analyse du public 2-1 : Les conditions de vie en prison et impacts sur l'individu……………………………… p.9 2-2 : Définition du "prisonnier"…………………………………………………………….. p.12 2-3 : Les statistiques………………………………………………………………………… p.12 2-4 : Les caractéristiques du public……………… ………………………………………… p.13 II-c) La rupture de lien social - la rupture…………………………………………………………………………………… p.14 - l'exclusion…………………………………………………………………………………

connaissance des hommes qui ne serait, selon lui, qu’illusion. En effet, la caverne représente le monde sensible et qui dans notre monde serait la vie que nous connaissons actuellement. La réalité où le prisonnier de la caverne accède, serait le monde des idées. Dans la caverne, les prisonniers voient ce qui pense être la réalité, mais dans les faits ce ne sont que des ombres projeté par un feu en arrière d’eux. L’un d’eux sera amené de forces dans le vrai monde et va comprendre avec douleur la

Daniel « Les locaux y sont souvent surpeuplés et insalubres » Jean Daniel « Huit pieds carrés. Quatre murailles de pierre […] A droite de la porte en rentrant, un espacement qui fait la dérision d’une alcôve. On y jette une botte de paille où le prisonnier est censé reposer et dormir » Victor Hugo « Ces cachots » Victor Hugo, Corbeyran et Marc-Antoine Mathieu « L’introduction de la presse, […] considérer comme une menace pour l’ordre et la sécurité. […] elle s’accompagne pour cette raison d’un pouvoir