Le Poète Est Un Homme Comme Les Autres

| A propos de la création littéraire A George Sand : Lettre de Flaubert (1876) " un roman doit être humain avant tout. " Proust : Le temps retrouvé‚ "Une œuvre où il y a des théories est comme un objet sur lequel on laisse la marque du prix. » Balzac : La cousine Bette , "L'Inspiration, c'est l'occasion du génie. » Proust : A la Recherche du temps perdu, "Les grands littérateurs n'ont jamais fait qu'une seule œuvre » A propos de

Pasternak répondit : « Quelle drôle d’idée : Le poète est comme un arbre dont les feuilles bruissent dans le vent mais n’a le pouvoir de conduire personne » ; dans ce travail nous allons vous présenter l’opinion de Pasternak sous toutes les formes de la littérature, et en discuter. Quel est le rôle de l’écrivain, doit-il nous conduire ou nous éloigner de la vérité, Quel est le rôle du livre, pourquoi lisons-nous ? Tout d’abord, nous allons montrer que le poète doit être à l’écoute du monde, puis nous essayerons

pas certain que l'éditeur, Thomas Thorpe ait utilisé le manuscrit de Shakespeare avec sa permission. Par ailleurs, le recueil est dédié à un certain « Mr. W.H. », décrit par l'éditeur comme « le seul qui engendra » les poèmes (the only begetter), mais on ne sait pas qui est cet homme. La dédicace mentionne le poète comme « vivant à jamais » (ever-living), une expression qui alimente la controverse autour de la paternité des œuvres de Shakespeare, parce que cet adjectif est utilisé pour les défunts.

Le Mendiant Un pauvre homme passait dans le givre et le vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts. C'était le vieux qui vit dans une niche au bas De la montée, et rêve, attendant, solitaire, Un rayon du ciel triste, un liard de la terre, Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu. Je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu. Comment vous nommez-vous

XXème siècle, fort de ses certitudes scientifiques, semble pourtant bien éloigné de la pensée magique qui a présidé à la naissance des mythes. Tout au plus les convoque-t-il encore pour illustrer les mécanismes à l’œuvre dans un psychisme malade. Cet homme moderne oublieux de ses racines, Roland de Réneville s’en fait le porte-parole quand il déclare, en 1950 : « Saint-John Perse réinfuse à nos mythes, enfouis mais toujours présents dans nos profondeurs, un sang neuf en les situant dans un courant de

LES ORIGINES : En Grèce, le poète (« l’aède » ou chanteur) : artiste qui reçoit et chante les exploits des dieux, ou héros. Idem pour le poète latin : inspiré des dieux. Se distingue du reste des humains par ce « don ». LE POETE, UN ÊTRE À PART : Terme « poète » ; formé à partir de la racine grecque « poieïn » qui signifie « faire, créer ». Le poète est un créateur. Il se distingue des autres créateurs pour plusieurs raisons. - En partie lié au sacré. - Une manière enchantée, spirituelle

était la source de leur inspiration. En réalité, il s'agissait de déterminer le rôle du poète en tant que tel qu'il soit social ou spirituel. Nous pouvons dès lors nous demander, si le poète est le guide du peuple ou s'il a d'autres fonctions. Nous verrons dans une première partie les poètes et les différentes formes qu'ils peuvent prendre en tant que guide du peuple, puis dans une seconde partie que le poète est un guide mais jusqu' à certaines limites. La plupart des poètes ont recherché une

de première. Le réalisme sincère de l’expression des sentiments et la dimension narrative de certains poèmes faciliteront l’accès à un genre réputé difficile. La beauté simple et poignante de certains vers, la puissance énigmatique de certains autres ne manqueront pas de toucher les élèves. La mort symbolique et la renaissance du père après la perte de sa fille, qui est le cœur et la raison d’être de ces poèmes, font de cette lecture un parcours autobiographique, métaphysique et poétique, entre

point de vue du poète. En regardant en détail ces trois aspects qui se trouvent dans le poème, on va conclure que ce poème est une réflexion de la souffrance interne du poète. Ce poème-ci se compose d'une grande métaphore, au premier vers du premier strophe le poète nous dit qu’il est une cage d'oiseau, il continue à expliquer au deuxième et troisième vers que la cage est composée d'os et contient un oiseau. La métaphore s'éclaircît un peu à la deuxième strophe lorsque le poète nous force à comprendre

rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit Introduction