Le Poète Est Celui Qui Inspire Bien Plus Que Celui Qui Est Inspiré

les œuvres • Bibliographie Présentation 1. Charles Baudelaire (1821-1867), poète des Fleurs du Mal, mais aussi traducteur d’Edgar Poe, est l’un des plus grands critiques d’art français de son siècle. Il tient de son père une véritable passion pour la peinture, et publie en 1845 un premier compte-rendu du Salon. Le Salon de 1846, celui de 1859 et Le Peintre de la vie moderne (1863) sont ses œuvres critiques les plus importantes. Publiées dans de petites revues, elles sont peu lues de son vivant

Le XVIème siècle Dans le domaine religieux : malaise au sein de l'église à la fin du XVème siècle : recherche d'une religion plus personnelle, d'un culte plus simple et moins magnifique ; l'autorité du pape est remise en cause : seul Dieu mérite obéissance et peut accorder son pardon. Dans le domaine artistique : début de la renaissance artistique ; quattrocento italien : les écrivains Boccace (le Decameron, 1350) et Pétrarque (1304-1374) ; les frères Van Eyck (retable de la cathédrale de Gand)

conventionnelle des derniers classiques, on fut surpris et charmé d'entendre un poète qui osait être ému et sincère, dont la mélancolie, doucement élégiaque, n'en était pas moins forte et profonde. La forme des Méditations, souvent molle et fluide, atteint, quand elle est soutenue par un sentiment profond, la plus forte et la plus suave harmonie. Ce recueil contient des poèmes composés entre 1815 et 1820, dont les plus fameux sont : Le Lac, l'Isolement, le Soir, le Vallon, le Golfe de Baïa et l'Automne

Nuit rhénane Mon verre est plein d'un vin trembleur comme une flamme Écoutez la chanson lente d'un batelier Qui raconte avoir vu sous la lune sept femmes Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu'à leurs pieds Debout chantez plus haut en dansant une ronde Que je n'entende plus le chant du batelier Et mettez près de moi toutes les filles blondes Au regard immobile aux nattes repliées Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent Tout l'or des nuits tombe en tremblant s'y refléter La voix chante

Baudelaire est un poète Français. Il est né à Paris le 9 avril 1821 et est mort le 31 août 1867. Il est né de Caroline Archenbaut-Defayis et de Joseph-François Baudelaire lui-même du coté de la philosophie des Lumières et amateur de peinture mais il meurt lorsque Charles à 6 ans. Sa mère se remarie un an après avec le général Aupick. Notre poète refusera toujours cette nouvelle union et sera toujours contre cet homme qui à aussi des désirs très différents des siens. Il entre plus tard au lycée Louis

Bouchelouche Indicatif : 8 741 12 0473 1 Devoir 1 : Culture général et expression  1. Étude des para- textes Question 1.1 : Avant le commencement du poème , on retrouve deux texte bien distinct . Dans un premier temps , il s'agit d'un rappel de faits divers , s'agissant d'un incident qu'avait provoquer des jeunes pensionnaires de la maison de redressement de Belle -îles- en Mer , à cause du mauvais traitement que leur infligé les

et injuste. C'est un texte imprégné d'admiration et d’apitoiement ce qui a toujours inspiré Victor Hugo. C'est un texte qui parle de la mort d'un enfant, ces 48 premiers vers décrivent les lieux. L'auteur raconte que deux personnages préparent le corps de cette enfant qui s'était fais tiré deux balles dans la tête et accuse indirectement Napoléon Bonaparte ironiquement. Problématique : Comment le poète parvient-il à faire partager ses convictions ? Il raconte une histoire :

beauté périssable f) un amour parfois destructeur mais nécessaire au poète g) « je te donne ces vers… » 5. Conclusion Introduction Dans le cadre du programme scolaire de seconde, nous étudions la séquence intitulée « un certain rapport du monde », la poésie au XIX et au XXe s : du Romantisme au Surréalisme. Or un poète est lié à cette séquence, Baudelaire (il est lié aux trois mouvements littéraires du XIXe s). Nous

LE « MOI » INTERIEUR : UNE SORTE DE DOUBLE PERSONNALITÉ DU POETE Dans les moments de tristesse et de douleur, nous avons tendance à nous couper du monde extérieur, des autres, afin de pouvoir appréhender et analyser ce que l'on ressent. On imagine alors souvent, sans pouvoir lui donner un visage, un être à l'intérieur de nous même, dans notre tête, qui nous parle pour nous réconforter, nous conseiller, nous aider à trouver une solution à nos problèmes du moment. On peut l'appeler le « moi »

semble que l'artiste lui aussi mette en œuvre des techniques. Lesquelles ? Exemple de la perspective : en sculpture (Grèce archaïque) notamment pour que les parties du corps ne paraissent pas disproportionnées, la règle veut que l'on représente comme plus petites les parties qui se trouvent proches des yeux du spectateur (exemple : les pieds). On peut donc reconnaître que l'art est le fruit d'un certain travail, d'un savoir-faire. Pour autant, on peut se demander s'il peut s'y réduire (ce qu'indique