Le Portrait De Lantier

appartient au cycle romanesque intitulé Les Rougons-Macquart. C'est un roman sur la condition de vie et de travail effroyables des mineurs au 19ème. L'extrait proposé à l'étude est le début du chapitre 1, avec pour incipit l'arrivée d'un homme, Étienne Lantier. Pour répondre à la question comment cet incipit annonce-t-il un cadre funeste et dévalorisé ?, nous étudierons d'une part le description d'un univers, particulièrement hostile, et d'autre part l'apparition d'un personnage. Le texte permet à l'auteur

pour la découverte du meurtrier. Ce dernier dit n’avoir rien vu hors mis une foule prendre le train à Rouen. Se trouvant dans une impasse, ils émettent alors l’hypothèse d’un étranger qui serait monté dans le train à cet arrêt. Finalement, Jacques Lantier affirme avoir été témoin de la scène mais n’a malheureusement aperçut que des silhouettes. Schéma d’intensité PICS D’INTENSITE 1) P.99 : Au début du chapitre 3, l’intensité est faible pour cause d’action banale. Roubaud reprend son service, en

poursuivre la grève et comment. Dans ce commentaire nous allons nous demander comment Zola nous présent le nouveau Etienne Lantier et de quoi va parler ce discours? Nous allons d'abord voir que le texte propose un portrait d’Etienne comme un meneur mais que celui-ci présente des propositions utopiques et insuffisantes dans son discours. Premièrement, nous allons vous présentez le portrait de Etienne. Zola remarque la conviction qu’Etienne a en lui-même lors de se dirigé face aux ouvriers. Toujours posait

éclatant de lumière, le second pâle et maladif. Le rouge, bien sûr, symbolise le feu et le sang, c'est-à-dire à la fois la vie et la violence. Antithèses Les personnages, les thèmes, les symboles s'opposent deux à deux dans le roman. Lantier et Chaval, Lantier et Souvarine (le socialisme et l'anarchisme), les Maheu et les Grégoire. La mort est omniprésente par la fatigue, la rudeté, le danger (ténèbres, galeries noires, on descendait, comme une masse, trou obscur, mélancolie). Le vocabulaire

est idéalisée car Frédéric est amoureux. La description des quais, les « boutiques qui défilaient » (l.15) ne sont-elles pas une métaphore des divagations de la conscience du personnage ? Quant à Gervaise, elle a peur (l.14) de retrouver son amant Lantier mort, elle se morfond dans sa tristesse et sa douleur. Elle broie du noir et tout ce qui l’entoure reflète sa tristesse. Le Paris n’est que « puanteur », muraille grise », « coins sombres »…ce champ lexical exprime toute la peur et la tristesse de

famille sous le second Empire, écrite entre 1871 et 1893. Il mourut dans sa ville natale le 29 Septembre 1902. Reconnu de tous comme étant un grand auteur il a été inhumé au Panthéon de Paris, le 4 Juin 1908. 2. Le récit Un jeune chômeur, Etienne Lantier se fait embaucher aux mines de Montsou, dans le nord de la France. Il fait la connaissance d’une famille de mineurs, les Maheu et tombe amoureux de leur fille Catherine. Mais celle-ci qui n’est pas insensible à Etienne, est la maîtresse d’un ouvrier

force sa femme à écrire à son tuteur le mot suivant : " Partez ce soir par l'express de six heures trente et ne vous montrez qu'à Rouen". Roubaud et Séverine quittent la chambre et montent dans le train en direction du Havre. CHAPITRE II Jacques Lantier, conducteur de train, rend visite à sa marraine, tante Phasie. Celle-ci a épousé en secondes noces un garde-barrière : elle vit avec une de ses deux filles (Flore,18 ans) et cet homme, Misard. Elle est heureuse de retrouver Jacques et très rapidement

naturalisme que l’on a souvent commenté la figure de Gervaise. Emule de Madame Bovary selon un registre bas et non moins ironique que celui de Flaubert, la blanchisseuse est amenée à vivre à Paris pour réaliser son idéal de bonheur avec son amant Auguste Lantier. Bien qu’elle essuie un premier échec, elle réussit à fonder une famille, à avoir une blanchisserie grâce à son courage et sa persévérance. Mais elle se laisse très vite vaincre par des rêves de petite bourgeoise qui conjugués à une forme de lâcheté

femme à écrire à son tuteur le mot suivant : " Partez ce soir par l'express de six heures trente et ne vous montrez qu'à Rouen". Roubaud et Séverine quittent la chambre et montent dans le train en direction du Havre. CHAPITRE II Jacques Lantier, conducteur de train, rend visite à sa marraine, tante Phasie. Celle-ci a épousé en secondes noces un garde-barrière : elle vit avec une de ses deux filles (Flore,18 ans) et cet homme, Misard. Elle est heureuse de retrouver Jacques et très rapidement

l’extérieur de la capitale. Ce sont les quartiers ouvriers de l’époque. Nous allons y découvrir la vie de plusieurs personnages qui gravitent autour de Gervaise, le personnage principal. Nous allons savoir qu’elle vit avec ses deux enfants et Lantier à l’Hôtel Boncoeur dans un appartement, rue de la Chapelle, proche d’un abattoir. Non loin de là se trouve la Barrière Poissonnière. C’est à cet endroit qu’est installé l’Assommoir du père Colombe et que se construit un hôpital. La blanchisserie