Le Portrait De Irène Les Caractères La Bruyere

La Bruyère, Les Caractères, XI, De l'Homme, 35 : le portrait d'Irène Ce caractère se situe dans le chapitre XI des Caractères de La Bruyère, un chapitre plus général qui nous met face à la nature humaine. Ce caractère nous présente le personnage d'Irène, une femme qui se croit malade, mais qui souffre en fait des maux inévitables de la vieillesse. Cette femme semble, en fait, souffrir de son propre aveuglement. Il semble que La Bruyère ait voulu représenter au travers de ce portrait Mme de

Jean de La Bruyère, moraliste du XVIIe siècle, est le fils d'un contrôleur des rentes de la ville de Paris. Il serait né en 1645. Après avoir obtenu une licence en droit, il achète une charge très modeste de trésorier général de France à Caen. Il est remarqué par la maison de Condé, qui lui propose en 1686 un poste de sous-précepteur auprès du duc de Bourbon. Il se mêle à la haute société de l'époque, qu'il peut observer tout à loisir. En 1688, il fait paraître Les caractères, qui obtient aussitôt

Texte 3 : La Bruyère, Les Caractères , « Irène » , « De l’homme » , lib XI, 35 Intro : (biographie). Le fragment Irène (livre XI), dresse un portrait hypocondriaque sous la forme d’un récit fictif et de dialogue dont les contemporains comprennent rapidement que c’est le portrait de Mme de Montespan (maîtresse de Louis XIV pendant 14 ans). Toujours préoccupé de sa santé tout le temps, elle craint la mort comme la peste. Comment La Bruyère ridiculise-t-il les

L.A. n°2. « Irène » Un portrait fait par un Ancien mise en scène de deux personnages tirés d’une Grèce de convention : o Irène : - étymologiquement, eirênê signifie la « paix » (antiphrase, cette femme étant au contraire inquiète) - nom d’une ancienne impératrice byzantine, usurpatrice quoique sainte (élément qui a pu aider les contemporains à reconnaître dans ce personnage une clef pour Mme de Montespan, maîtresse officielle du roi. o Esculape : - dieu de la médecine : « le dieu » répété

La Bruyère est un auteur moraliste du 17ème siècle, il appartient au mouvement des classiques. Il livre dans « Les Caractères » sa vision de la société de son siècle. L’écrivain est un fin observateur, membre de la cour de Versailles, il est un témoin bien placé pour la décrire. La bruyère, grâce à de nombreuses qualités dont l’art du portrait, décrit le courtisan. Une réflexion morale en découle : La Bruyère fait un tableau satirique de ce petit théâtre du monde dont il montre les vices. Nous verrons

Saint Raymond 1ere 09 Commentaire linéaire de Jean de la Bruyère, Les Caractères , « De l’Homme », XI, 1688 Jean de la Bruyère est un célèbre écrivain moraliste français du XVIIe siècle. En 1688, il publie son seul et unique œuvre Les caractères connue aussi sous le nom de Les Mœurs de ce siècle . Les caractères est un ensemble de petits portraits caricaturaux dénonçant la société de

La Bruyère, Caractères, XI, « De l’homme » 1688 Jean de La Bruyère (1645-1696) est un moraliste et écrivain français du XVIIème siècle. Issu de la bourgeoisie, il fait des études de droit et devient précepteur du duc de Bourbon, ce qui lui permet de côtoyer la Cour d'assez près. Protégé par les grands, élu à l'Académie Française, il est aussi souvent humilié et déçu par ce milieu assez artificiel où les valeurs morales ne triomphent pas toujours. Il est connu pour une œuvre unique : Les Caractères

Les caractères de l’homme : La Bruyère Problématique : 1- PRESENTER L’AUTEUR ET L’ŒUVRE Jean de La Bruyère (1645-1696) Ecrivain du XVIIème siècle, représentatif du classicisme. publie en 1688 Les Caractères et mœurs de ce siècle. Cette œuvre est un mélange de genres : pensées, maximes, tableaux et bien sûr portraits. La Bruyère écrivit au fil de ses idées, traitant des sujets très différents. La Bruyère livre dans Les Caractères sa vision de la société du XVIIe siècle. L’écrivain est

rationnel. La Rochefoucauld Page 355 Les maximes appartiennent a des jeux de société mondains qui ont lieu dans les salons des précieux. Dans ces salons, c’est le genre bref qui est l’idéal et qui est utilisé. Autres genres brefs : -le portrait -le sonnet / épigramme On abhorre les genres pédants, c’est l’humour qui est très important. Les maximes sont un genre bref dans la rhétorique : Pour terminer une partie, La Rochefoucauld condense sa dernière partie en une seule phrase. Les

Louis XIII de faire entrer au Conseil le cardinal de Richelieu, qui jouit d’une grande réputation malgré ses liens passés avec Concini. Louis XIII, éprouvant d’abord peu de sympathie pour le personnage, se laisse peu à peu convaincre par sa force de caractère et par sa volonté inlassablement réaffirmée de s’opposer à la maison d’Autriche ; il ne tarde pas à en faire son principal ministre. Les deux hommes partagent une même conception de la grandeur de la France et des priorités qui s’imposent dans le