Le Portrait De Hans L Ami Retrouvé

: Paulus Jansz. Moreelse, Portrait de Philips Ram (1585-1632), Époux d’Anna Strick van Linschoten, 112,5×85,2 cm, 1625 et Portrait d’Anna Strick van Linschoten (1591-1637), Épouse de Philips Ram, 112,8× 8 cm, 1625. Reclaimed: Paintings from the Collection of Jacques Goudstikker, Jewish Museum, New York, du 15 mars au 2 août 2009. Courtoisie du Jewish Museum. (Source : http://www.flickr.com/photos/thejewishmuseum/sets/). Figure 13 : Jan Anthonisz van Revesteyn, Portrait d’un gentilhomme, 115×86 cm

constater qu'un rêve est reproduit plus fidèlement, lorsqu'on cherche à se le rappeler, au réveil; vers le soir nous n'en retrouvons plus que des bribes. D'un autre côté, il faut reconnaître que l'impression d'avoir rêvé bien plus que ce qu'on peut retrouver repose très souvent sur une illusion dont nous ex- L’expression du moi et la censure sociale : Sigmund Freud, L’interprétation des rêves 11 pliquerons plus tard l'origine. Le fait que nous pouvons oublier nos rêves ne contredit d’ailleurs

les fables européennes, Disney a effectué un ensemble de « déplacements sémantiques » que les plasticiens explorent avec jubilation pour mieux en dénoncer l’impérialisme idéologique. Les personnages de contes de fées (ou romans féeriques) que l’on retrouve le plus souvent dans l’art d’aujourd’hui sont Pinocchio, Blanche-Neige, le Petit Chaperon rouge et Alice. À côté des artistes dont le travail s’articule exclusivement autour d’un personnage, il y a ceux qui créent des mondes féeriques autonomes,

penchant au plaisir », l’envoyaient en un couvent où il lui déplaisait d’aller enfermer sa jeunesse, sa beauté et sa gaieté. Grâce à son « éloquence scolastique » et malgré les remontrances de Tiberge, son vertueux ami, il n'eut aucune peine à la convaincre de se laisser enlever, de s'enfuir avec lui qui lui offrait de la conduire à Paris où ils se divertiraient et se marieraient. À Paris, le couple s'installa rue Vivienne. Manon, prétendument

tait mont en ce village des hauteurs, en avait fait la patrie de son cur et de ses yeux, y avait construit, aid des habitants, le premier chalet pour touristes et y avait rassembl une colonie damis artistes), puis Lens (o le peintre Albert Muret, son ami, possdait un chalet). La dcouverte du Valais fut un grand enrichissement pour Ramuz qui cherchait une ralit brute, aussi peu modele que possible par le progrs. Du 10 au 15 octobre 1906, il fit un voyage Marseille, Aix-en-Provence, Arles et Avignon

ABSOLU, AUJOURD'HUI DEVENU UN CLASSIQUE, ET ANNA O. UNE MYSTIFICATION CENTENAIRE QUI A SUSCITÉ UNE VIVE POLÉMIQUE AU MOMENT DE SA SORTIE EN 1 9 9 5 . E n 1882, alors qu'il était encore étudiant, le jeune Sigmund Freud entendit parler par son ami et mentor Josef Breuer d'un grave cas d'hystérie que celui-ci avait réussi à guérir de façon tout à fait éton­ nante. « Mademoiselle Anna O. », comme Breuer devait l'appeler plus tard, souffrait de multiples symptômes extrêmement spectaculaires, mais

d’elle que ses parents, pour arrêter «son penchant au plaisir», l’envoyaient en un couvent où il lui déplaisait d’aller enfermer sa jeunesse, sa beauté et sa gaieté. Grâce à son «éloquence scolastique» et malgré les remontrances de Tiberge, son vertueux ami, il n'eut aucune peine à la convaincre de se laisser enlever, de s'enfuir avec lui qui lui offrait de la conduire à Paris où ils se divertiraient et se marieraient. À Paris, le couple s'installa rue Vivienne. Manon, prétendument du fait de son origine

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 214 Couverture : T.C.D. : Prod DB © 20th Century Fox/DR : Roméo et Juliette • Rue des Archives/PVDE : Georges Méliès • ArtComArt/V. Tonelli : Andromaque • Collection ChristopheL : L’ami retrouvé • Collection ChristopheL : Le cahier • Rue des Archives/PVDE : Colette • © Éditions Belin Toutes les références à des sites Internet présentés dans cet ouvrage ont été vérifiées attentivement à la date d’impression. Compte tenu de la volatilité

arrondissement, ou bien s’emparer de Paris tout entier. Vivent la création, le rêve, la beauté, vivent les artistes, vive Paris partagé et réinventé. Christophe Girard Adjoint au Maire de Paris, chargé de la Culture 3 SIX DIRECTEURS ARTISTIQUES ■ :: AMI BARAK :: Au commencement fut la nuit étoilée puis vinrent les villes, les étoiles pâlirent, mais les lumières se mirent à briller par compensation. On ne pourrait plus s’imaginer une métropole sans l’éclat de ses réverbères, ses panneaux lumineux, ses

  horreurs   commises   par   l'ennemi.   Il   appelle   encore   une   fois   le   peuple   à   se   révolter   et   à   se   battre   du   côté   de   sa   patrie.  On  retrouve  donc  des  similitudes  avec  le  mode  de  fonctionnement  précédent.           Nous  allons  à  présent  passer  au  culte  de  la  personnalité,  un  élément  extrêmement