Le Portrait De Deux Personnages Opposés

Madame de la Fayette, 1678 -Problématique : Comment Madame de la fayette nous fait-elle comprendre la place de la femme dans la société arisctocratique du XVII éme siécle à travers le portrait de Mlle de Chartres? Plan proposé : I - L'art du portrait a) Un portrait classique b) Une beauté physique idealisé c) Un portrait moral d'exeption II - La vision du narrateur sur son époque a) La vision de la femme du XVII éme siècle b) La vision sur l'homme du XVII éme siècle c) Une vison pesimiste de l'amour

employé six fois.  On remarque que cette société est fondée sur le regard car c'est une société de cour : la beauté et la richesse sont les deux choses primordiales. C'est l'apparence qui révèle les privilèges. Les valeurs sont celles du physique : · la beauté pour les femmes,  · la force physique pour les hommes.  b) l'intérêt de la préparation Les deux personnages principaux se sont parés : " Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer ", " le soin qu'il avait pris de se parer ".

 Lecture analytique n°1 La Princesse de Clèves, Madame de la Fayette Introduction : contexte historique et littéraire de la parution du roman. A partir de 1661, Louis XIV rassemble des personnages de la noblesse pour pouvoir les dominer. Avant Versailles elles étaient aux palais du Louvre. Il mène des conquêtes militaires pour que l’art de la France soit reconnu, il révolutionne la monarchie. Il a pour ambition de faire de la France une grande puissance et fait donc une cour brillante. Mme

de Septembre aux vacances de Toussaint OBJET D ETUDE NO1 : PARCOURS DE PERSONNAGES OBJECTIFS GENERAUX : LS - Etudier l’évolution du personnage de Félicité (une femme qui consacre sa vie aux autres avec un amour immense sans abnégation). GT - Comprendre comment se construit la notion de personnage de roman. E E - Etre capable de rédiger un portrait de personnage et de raconter une rencontre entre deux personnages de BD. |SEMAINES |LECTURE

Commentaire de Français. QUESTION SUR LE CORPUS : Ces quatre extraits de texte décrivent tous un personnage spécifique dans une manière parfois réelle parfois tellement profonde et subjective qu’elle atteignait inévitablement le contexte de l’iréel .Dans le premier texte on a la description physique d’un viellard a travers les yeux de Nicolas Poussin de la ligne 7 à la ligne 15.Au début c’est une decription realiste prenant en compte les éléments réels du corps come par exemple « front

féodale (un Baron, seigneur» et maître, un château, un gouverneur, une gouvernante). Les archaïsmes nous renvoient même au Moyen Âge et à la Renaissance: écuelle, nonnain, manants, parchemins, écritoire, écuyer, ma mie. Les noms et les titres des personnages (« maître » Blazius, « Dame » Pluche) renvoient également au temps de l'Ancien Régime. Manifestement, l'époque représentée ne semble pas être contemporaine de celle de Musset et ne correspond pas au temps de l'écriture de la pièce (1834). Néanmoins

sereine, comme nous le montrent les dialogues, ainsi que la narration ; alors dans quelle mesure le huis clos que constitue la barque permet-il au narrateur de présenter ses occupants avec réalisme ? Nous allons répondre à cette problématique selon deux axes ; la vision harmonieuse qui se dégage de la famille puis nous analyserons la figure centrale du père Roland . Axe 1 : Vision harmonieuse de la famille _ Rythme du récit : scène . Narration détaillée qui donne une vision

où dominent également les passions amoureuses et l'hypocrisie. Le personnage principal, Mlle de Chartres, la future Princesse de Clèves, n'a pas encore été décrite. C'est donc dans ce passage qu'elle apparaît sous les yeux de la cour qui la découvre, comme le lecteur, pour la première fois. Problématique : En quoi Mlle de Chartres est-elle une héroïne classique ? Commentaire : I. Une incarnation de la perfection 1. Le portrait physique de Mlle de Chartres Le narrateur reprend au début de la

Dans cette scène, qui ouvre la pièce, Madame Pernelle, la mère d'Orgon, dresse un portrait de chaque personnage de la pièce dans un premier temps, puis un portrait débat de Tartuffe va occuper le centre de la scène. Nous allons donc étudier les différents portraits faits par Madame Pernelle, puis nous nous intéresserons aux différents points de vue des personnages de la scène concernant Tartuffe (...) Molière a eu du mal à faire représenter Tartuffe à cause de la censure. En effet, on pensait

Bruyère s’est inscrit en adversaire de ces dérives, que ce soit avec le portrait d’Arias, ou celui d’Ascagne. Le livre V des Caractères, intitulé De la société et de la conversation, n’y échappe naturellement pas, et la remarque 76 résume bien l’opinion du moraliste : « C’est la profonde ignorance qui inspire le ton dogmatique (…) » peut-on lire. Celle-ci semble faire écho, d’une certaine manière, à la remarque 74, qui fait le portrait satirique d’un certain Hermagoras, qui, loin d’être inculte, fait néanmoins