Le Poison Baudelaire

protégée, très attaché à sa mère et sa cousine Elisa = grande sœur adoptive car sa mère est morte.· Dès le lycée (où il avait lu Les Fleurs du Mal), il est intéressé par la littérature et commence à écrire. Au début donc en partie influencé par Baudelaire.· (Etudie le droit à Paris, pour ensuite travailler dans une compagnie d’assurances engagé par son père et comme expéditionnaire à l’Hôtel de Ville de Paris) -> · Courtise sa cousine Elisa en 1862 : 1er amour (déjà mariée), étés passés à Lécluse

Titre [modifier] Le recueil fut d'abord annoncé en 1845 et 1846 comme intitulé Les Lesbiennes. À partir de 1848, s'y substitua un nouveau titre : Les Limbes. Ce n'est qu'en 1855 que Baudelaire choisit Fleurs du Mal pour intituler dix-huit poèmes dans La Revue des Deux Mondes. Correspondances [modifier] Baudelaire tout au long de son œuvre joue sur les correspondances verticales et horizontales (ou synesthésies baudelairiennes) qui inspirent par la suite de nombreux poètes. Toute son œuvre est

le processus de la décomposition : « bataillons/De larves « des horreurs soulignées par le rejet, et l'enjambement matérialise bien l'action de « couler comme une épais liquide ».De plus, pour les odeurs soulignées par les expressions « suant les poisons » v.6, « plein d'exhalaisons » v.8, « ventre putride » v.17, « la puanteur était si forte » v.15. Mais l'imparfait prolonge aussi l'horreur de la vision accentuée par l'évocation des sentiments éprouvés par la femme, par des emplois de termes à connotation

Enjambement : La phrase, dans un poéme, ne s’arrête pas à la rime mais déborde jusqu’à la césure ou la fin du vers suivant ; l’enjambement cré un effet de continuité rythmique ou d’amplification. Ex : « Mon amour est comme un fiévreux que seul apaise Le poison qui nourrit son mal et dont il meurt. » (Appolinaire) Le rejet : Un élément court de la phrase (un ou deux mots) est rejeté au vers suivant et est ainsi mis en relief par cette rupture rythmique ; Ex : « Il est pris.-Oh ! quel nom sur ses lèvres

figures circulaires « cercle » L12, figure de clôture (L10 « toujours clos »). -( cela reflète l’enfermement qui est celui de son mariage. Une faune et une flore révélatrice. fleurs banales de la campagne de Rouen. - L8 ; la digitale : poison, cela rappelle la mort d’Emma à la fin du livre empoisonnée à l’arsenic. - Le lévrier ; animal noble offert à Emma pour la consoler de la frustration de son ennui. - L’araignée ; retour à la fin du roman ; folie d’Emma dépressive + enfermement

Charles Baudelaire - Né en 1821 , n'a que 6 ans lorsque son père meurt. Sa mère se remarie avec le général Aupick. Il refuse cette union et sera toujours en opposition avec ce militaire Il est mis en pension à Louis-le-Grand. Il se fait remarquer par son caractère rebelle. Il commence à fréquenter le Quartier latin. En 1839, renvoyé du lycée mais obtient son baccalauréat..Il choisit délibérément une vie de bohème. Sa famille, qui n'apprécie guère sa vie dissolue le pousse à embarquer

Charles Baudelaire L'albatros Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et

Français : Recueil sur Les fleurs du mal de Baudelaire Thème principal : LE VOYAGE * L’invitation au voyage (5 textes) * La comparaison des femmes aux voyages (3 textes) Poèmes ayant pour thème le voyage : * Bohémiens en voyage page 63 * L’Homme et la mer page 64 * L’invitation au voyage page 101 * Paysage page 133 * Le voyage page 187 Poèmes ayant pour thème l’amour : * Parfum exotique page 71 * Ciel brouillé page 97 * Le beau navire page 101 Les Fleurs

reine des adorées, Je croyais respirer le parfum de ton sang. Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées! La nuit s'épaississait ainsi qu'une cloison, Et mes yeux dans le noir devinaient tes prunelles, Et je buvais ton souffle, O douceur! O poison! Et tes pieds s'endormaient dans mes mains fraternelles. La nuit s'épaississait ainsi qu'une cloison, Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses, Et revis mon passé blotti dans tes genoux. Car à quoi bon chercher tes beautés langoureuses Ailleurs

incidence les paroles de la mere ont sur la crise familial Plan : ligne 1 à 24 : La mére adresse un reproche atténué mais tragique à Louis ligne 25 à 34: le procés de Louis et le plaidoyer d'Antoinne et Suzanne ligne 35 à 46: le sourir de Louis: un poison pour la famille Texte 2 : Jean-Luc Lagarce, Juste la fin du monde, Première partie, scène 8 (1990)...La Mère - (...) Ils voudront t’expliquer et il est probable qu’ils le feront et maladroitement ce que je veux dire, car ils auront peur du peu de