Le Phénix Paul Eluard Je T Aime

rêvé de toi », Robert Desnos p.9-10 « Madrigal triste »,"Fleurs du mal", Charles Baudelaire p.11-12 « Secret du cœur », Albert Ferland p.13-14 « Je t'aime » , Paul Eluard p.15-16 « Amourette », Pierre de Ronsard p.17-18 Conclusion p.19

Prévost, Manon Lescaut, 1731 Parcours : Personnages en marge, plaisir romanesque. Oral blanc / janvier 2023 Classes 114 et 120 Poèmes étudiés 1. « La chanson du Mal-Aimé » (vers 1 à 25) (« Un soir de demi-brume à Londres…La fausseté de l’amour même ») 2. « Les cloches » 3. « Les femmes » Texte étudié dans le parcours Paul Eluard, Le temps déborde, 1947 (extrait) Lectures cursives proposées • Jacques Prévert, Paroles, 1945 • Joseph Pontus, A la ligne, 2019 Extraits étudiés 1. Première partie

très belle. Puis nous enchaînons avec un poème écrit par une femme : A La Femme Aimée. qui témoigne des sentiments que la poétesse éprouve pour la personne à qui le poème est dédié. Enfin le dernier poème de cette anthologie est : Air Vif de Paul Eluard, qui fait une promesse à la personne à qui le poème est destiné. J’ai choisi tous ces poèmes car ce sont des poèmes que j’aime beaucoup et qui m’ont touché en les lisant. Maintenant amis lecteurs à vous de découvrir la sélection de poèmes

partis ce poème. J'ai choisis ce poème comme introduction à cette anthologie car il est la description de l'amour pour Victor Hugo, l'amour est idéalisée par la femme elle-même, et par sa beauté. Mon rêve familier (1866) de Paul Verlaine "Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant  D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime  Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même  Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon

contemplation : de Victor Hugo (1802-1885) à Paul Verlaine (1844-1896) la poésie laisse toute liberté pour exprimer sa sensibilité et fait une part belle à l’irrationnel et à l’individualisme. Le 20ème siècle prolonge ce chemin vers la liberté qu’offre la poésie pour parler des drames de son époque - la guerre avec Guillaume Apollinaire (1880-1918)-, évoquer avec humour l’absurdité de l’existence –Robert Desnos (1900-1945) ou décrire décrire les sentiments amoureux - Paul Eluard (1895-1952). Poèmes du 16ème siècle

gaiement l’immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté.Il y a mille genres de poésies ! Cet art du « faire », autrement dit de la création pure, selon son étymologie, est non seulement phénix mais aussi Protée. Chacun se crée la forme de poésie qui lui convient, à partir des auteurs qu’il aime et dont il apprend les vers. Oui, il se les récite par cœur, parce que cette remémoration est suscitée par des circonstances qui sont Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse

Ils s’éteignaient dans un ravin, En proie aux angoisses dernières ; Leurs yeux suivaient de loin en vain La longue file des civières. Etrange réveil du passé, Qui précède l’adieu suprême, Evoquant pour chaque blessé La vision de ce qu’il aime ; Et ces deux âmes, à l’heure sacrée Où la mort, en passant, vous touche Jetaient l’appel désespéré ! Que les petits ont à la bouche Les yeux remplis de souvenirs Une main sur la plaie grande ouverte Comme s’ils sentaient le froid venir

Terminale L CORPUS TEXTES Le corpus étudié se compose de cinq textes en synchronie parus lors du XXème siècle, appartenant chacun au genre de la poésie, à l’exception de la préface de Poésie involontaire et Poésie intentionnelle (1942) de Paul Eluard, l’un des piliers du mouvement surréaliste, dans laquelle il tente de définir le procédé de création poétique, qui est non sans rappeler la conception surréaliste de ce dernier. Une autre création d’Eluard, le poème en vers libre « Leurs yeux toujours

afin de marquer cette vision de la poésie, de la femme, bref, de l'amour. J'ai choisit afin de compléter cette anthologie des poèmes de Paul Verlaine. En effet, outre le fait que ces écrits soit judicieusement composés, ils traitent de la facette charnelle que peut avoir l'amour et nous renvoient aussitôt à notre statut animal d'être humain. Paul Éluard marque de sa différence cette anthologie par son respect presque pervers du non lieu du corps et du désir, et s'attarde sur cet amour au sens

n'en est pas moins vrai que vous n'y pouvez rien.Il n'en est pas moins vrai que, sans qu'il y paraisse, Vous êtes mon idole et ma seule maîtresse ; Qu'on n'en aime pas moins pour devoir se cacher, Et que vous ne pouvez, Ninon, m'en empêcher.Il n'en est pas moins vrai qu'en dépit de vous-même, Quand vous dites un mot vous sentez qu'on vous aime, Que, malgré vos mépris, on n'en veut pas guérir, Et que d'amour de vous, il est doux de souffrir.Il n'en est pas moins vrai que, sitôt qu'on vous touche, Vous