Le Philosophe Est Celui Qui Dit En Y Pensant

sape donc le seul fondement de la relation a l’autre (la confiance). Y-a-t-il des circonstances précises qui peuvent admettre le mensonge comme acceptable ? - Non (Kant) ; le mensonge sape la confiance - Oui (B.Constant). Si celui au quel on ment, par ses actes ou ses intentions, s’est déjà exclu de la communauté des hommes, on ne lui doit plus la confiance L’autre peut donc toujours mentir et on ne peut pas garantir sa sincérité • Quand bien même l’autre est sincère

rend-elle supérieurs aux autres animaux ? La conscience est le sentiment que chacun à de son existence et de ses actes. C’est cette même conscience qui à permit au philosophe Descartes d’établir son cogito, l’unique certitude dont il ne peut douter : l’existence de la substance pensante. En effet, l’Homme peut, de par sa conscience, et par extension, de par sa conscience de lui-même, être certain d’exister, puisqu’il pense. Mais peut-on certifier que cette aptitude à se

hommes : « Or ça, dit Candide à Martin, vous conviendrez que voilà le plus heureux de tous les hommes, car il est au-dessus de tout ce qu’il possède. » (p.140, ch. XXV, ligne 156) * Les six rois déchus (ch. XXVI) : Accompagnés par leurs valets, ils ont tous vécus des misères et se retrouvent démunis. Ils sont à Venise pour assister au carnaval. * Le Derviche (p.158, ch. XXX): Un derviche est un religieux musulman. Ce derviche est considéré comme le « meilleur philosophe de la Turquie »

établira le principe des choses matérielles. Concentrons-nous maintenant sur cet article 48 qui va poser une affirmation de portée conséquente. Toutes les choses que nous percevons relèvent soit de la substance corporelle, soit de la substance pensante, soit d’un certain rapport entre le corps et l’esprit. Dans ce texte et toute la deuxième partie du premier livre, Descartes va classer chaque qualité, chaque notion simple qui se montrerait à nous, dans l’une de ces trois catégories. Mais, c’est

notions, idées, concepts, ont permis de distinguer les humains des autres formes vivantes. Elle est propre à l’espèce humaine. La notion de culture gagne en consistance et est utilisée à des fins politiques, sociales. Elle se banalise. Même si les philosophes des Lumières en parle déjà à titre individuel, la notion de culture n’intervient qu’au milieu du 20 éme siècle et en devient une idée centrale. Notion qui s’est développée avec les sciences sociales sur la question des habitudes quotidiennes.

qualifier tel ou tel sentiment que l’on cherche à exprimer. Peut-on, alors, tout dire ? Est-il possible que le langage puisse faire part de toutes les pensées, de tous les sentiments des hommes dans leurs nuances les plus complexes ? Dans ce texte, le philosophe Sartre expose sa thèse sur la question, disant que tout peut être nommé, que le langage peut, « a priori », rendre compte de tout ressenti. Pourtant, n’y aurait-il pas une réalité qui échapperait à la nomination, celle des cinq sens ? De même pour

Philosophie Peut-on penser par soi-même ? L’homme est animal pensant, son essence même est la pensée. Le cogito établit par Descartes, (la pratique d’un doute radical pour parvenir à des vérités) renforce cette idée. En effet, le «  je pense donc je suis » fait apparaître l’idée de sujet, l’idée d’individu. L’individu se distingue des animaux de par sa faculté à penser, à faire un retour sur soi. Ce retour sur soi permet une réflexion, une possibilité de douter de tout ce qu’il

1ère Partie La vérité dépend-elle de nous ? La vérité est par définition la propriété d’un jugement, c’est-à-dire lorsqu’un être possédant une raison dit quelque chose au sujet de quelque chose. Bien entendu, un Homme énonce une vérité en pensant qu’elle est en adéquation avec la réalité, extérieure à l’esprit, indépendamment de l’esprit. Pour cela, l’être doué de raison, l’Homme, fait appel à sa sensibilité, lui donnant des informations sur la réalité (aussi appelé coté passif, à posteriori)

le pouvoir est centralisé et les français n'élisent personne, ils n’ont aucun droits politique. Les français ne sont pas considérés comme des citoyens mais comme des sujets. La noblessee, elle, est totalement domestiquée. Les limites de ce pouvoir dit absolue existent, comme le respect des « lois fondamentale du royaume ». Le roi, au XVIIIeme siècle est Louis XVI. B. Une société d'ordre Louis XVI est un roi d’ambition. Le roi a pour but d’agrandir le royaume c’est pourquoi les guerres

liasses « Vanité », « Misère », « Ennui ». La notion de grandeur définie pour l’essentiel dans la liasse n°6 semble, elle, plus simple. Imposer à l’homme de se regarder en vérité est le grand désir des moralistes du XVII° s. ; comme un La Bruyère qui dit dans la préface de ses Caractères : « Je rends au public ce qu’il m’a prêté ; j’ai emprunté de lui la matière de cet ouvrage […] Il peut regarder avec loisir ce portrait que j’ai fait de lui d’après nature, et s’il se connaît quelques uns des défauts