Le Pessimisme De Pascal Sur La Condition Humaine

"Tous les hommes recherchent à être heureux. Cela est sans exception, quel que soit les différents moyens qu'ils emploient "(Pascal) Nous sommes tous dans une conquête permanente du bonheur. Ce dernier est souvent conçu comme étant une fin ultime de la vie humaine (appelée eudémonisme). Il est la fin la plus haute, que l’on recherche pour elle-même. Le bonheur est un état de plénitude continue. Au sens général, on peut penser que le bonheur est l’assouvissement intégral des besoins et des désirs

qui nous demande de « méditer sur les causes qui peuvent produire le bonheur, puisque, lorsqu’il est à nous, nous avons tout, et que quand il nous manque, nous faisons tout pour l’avoir2.» Epicure propose une méthode, mais invite à respecter une condition préalable : abolir le désir d’immortalité. Bien vivre et bien mourir ne font qu’un. Profiter de l’instant présent, car l’avenir ne nous appartient pas, mais n’est pas tout à fait hors de portée, ce qui permet donc l’espérance. Profiter de la vie

une connaissance intellectuelle ? En effet, celle-ci permet de détruire l’erreur. Mais ne suit-elle pas nécessairement la connaissance sensible ? Sur quoi repose réellement le « cogito » ? Si l’illusion trouve sa cause profonde dans la condition humaine, comment s’en libérer ? Pour Descartes (comme pour Platon), il faut suivre 3 pistes : - S’attaquer à la certitude de l’illusion, car la force de l’illusion majeure est de croire qu’on sait. - Trouver là où la Vérité n’est pas

mapparat pas directement (Pascal) PAGEREF _Toc185584886 h 2 3. Infrence et empathie (Descartes) PAGEREF _Toc185584887 h 3 4. Logique des concepts mentaux (Strawson) PAGEREF _Toc185584888 h 3 B. Autrui, mdiateur indispensable pour accder soi-mme PAGEREF _Toc185584889 h 4 1. La conscience de soi requiert la reconnaissance dautrui (Hegel) PAGEREF _Toc185584890 h 4 2. Autrui me permet de me connatre moi-mme (Sartre) PAGEREF _Toc185584891 h 4 3. Autrui est la condition de possibilit de la conscience

fer et le blé qui ont civilisé les hommes et perdu le genre humain ”. (p.101). Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755) http://www.webphilo.com/reponses/voir.php?numero=453058845&reponses=23&keyword=pascal&categorie=sujets Il n'y a rien qu'on ne rende naturel, il n'y a naturel qu'on ne fasse perde. " (Pascal) Thème : Nature et culture Extrait de la réponse : Cette citation de Pascal n'est pas immédiatement évidente... Dire qu'il n'y a rien

intellectuelle. C'est sans doute pour cette raison qu'il est difficile d'en trouver la critique en proportion de sa présence aux rayonnages des bibliothèques et des librairies. Dans L'Histoire de la philosophie, Bibliothèque de la Pléiade, 19731, Blaise Pascal qui osa manifester son opposition à la philosophie de Descartes et préconisa de "se moquer" de la philosophie en général n'eût droit, par exemple, qu'à “une seule page” contre 176 pour Marx. En l'absence d'une définition claire d'une discipline

dénouement du conte. I - Voltaire et le problème du mal La question du mal au XVIIIe est en partie (et en tout cas pour Voltaire) celle de l’ « optimisme », doctrine philosophique qui procède de Leibniz et consiste à dire que la faiblesse de l’esprit humain lui interdit de pénétrer le « plan divin », les « desseins de la Providence », c’est-à-dire de percevoir la totalité du réel et de l’Histoire, totalité au sein de laquelle ce qui semble un mal à l’homme contribue en fait à un bien global. Le débat

du bonheur. Schopenhauer dans cet extrait pose les problèmes suivants ; Le désir tend vers la satisfaction mais peut-il vraiment être satisfait ? Faut-il renoncer au bonheur ? Sommes-nous voués à souffrir du seul fait que nous sommes vivants, humains, mortels et de ce fait condamnés à désirer ? La thèse défendue dans ce court extrait peut- être qualifiée de pessimiste. Le philosophe ici tend à montrer que l’homme n’est pas caractérisé par son intellect mais bien par la volonté. Ce fait amène

Passe tel quel en latin : mélancolia puis en français au 12è siècle. Grèce Antique : apparaît dans les traités de médecine attribués à Hippocrate : Terme perçu comme concret isole 4 Humeurs (=éléments cosmiques qui contrôlent l’existence des êtres humains) : HUMEUR | TEMPERAMENT | ORGANE | NATURE | ELEMENT | Bile noire | Mélancolie | Rate | Froid (stupidité) et sec (violence) | Terre | Flegme | Phlegmatique | Poumon | Froid humide | Eau | Sang | Sanguin | Tête | Chaud et humide | Air |

de sagesse à laquelle certains philosophes sont parvenus dans l'histoire de la pensée humaine. Ainsi Platon dans le Phédon (Dialogue se déroulant quelques heures avant l'exécution de Socrate et nous présentant ce dernier prêt à affronter la mort avec la plus grande sérénité) nous dit que le philosophe recherche la mort et l'état qui la suit, non pas qu'il déprécie la vie et qu'il aspire à mourir par pessimisme, mais parce qu'il pense, à la différence d'Épicure, que l'âme est distincte du corps qui