Le Pénitencier

l'Australie il y a plus de 40 000 ans. L'Australie a été vue par des navires asiatiques et visitée par des étrangers avant l'arrivée des Britanniques. En 1788 la première colonie anglaise est établie à port Jackson (Sydney). Au début l'Australie est le pénitencier de l'Angleterre. Puis l'Australie se développe et s'enrichie, on découvre de l'or dans la région de Bathurst et de Victoria. Petit à petit, l'Australie devient autonome même si elle garde des liens spéciaux avec la couronne Britanique. En 1986,

colonies aux USA (révolution américaine) Trop de population en Angleterre -> rechercher; explorer terres. James Cook : explorateur anglais va découvrir l'Australie où va aller le surplus de population anglaise. Colonisation particulière : colonie pénitencier -> seuls les prisonniers allaient en Australie (Sidney). Aborigènes ont accueilli les Anglais à bras ouverts. Ils quittent Sydney et la laissent aux Anglais. 1903 : Indépendance Australie -> Etat fédéral. La colonisation française de l'Indochine

chirurgicale, ne pouvait pas être administrée pour prévenir la douleur. Il y a des enfants qui manquent de tout pendant que des meurtriers et des violeurs, dont les crimes ont été dûment confirmés par des tests d'ADN, font des poids et haltères. Les pénitenciers sont si surchargées qu'on les met rapidement à la porte, sans aucune garanti de non récidive,  Je défie quiconque de m'expliquer la logique du système actuel sans me parler des enfants pauvres, des adolescents laissés pour compte et des victimes

de droit public et privé. Exemple : Le meurtre est un fait qui relie 2 particuliers (meurtrier/victime), mais l’enquête, l’arrestation, le jugement, l’emprisonnement, ne peuvent être confié qu’à des autorités publiques (police, justice, service pénitencier). II . Les caractères de la règle de droit La règle de droit a de multiples facettes, mais elle est obligatoire, générale, permanente et a finalité sociale. A . Les différentes facettes de la règle de droit Les citoyens ont souvent tendance

systèmes de détention, comme les centres de semi-libertés (CSL) ou encore les centres pénitentiaires pour les mineurs (EPM). Le mercredi 18 Novembre 2009, nous avons été reçus à la maison d’arrêt de Digne Les Bains par les employés du service pénitencier. Ils ont ainsi pris un peu de leur temps pour nous faire visiter leur établissement. Lors de cette après-midi, nous avons pu nous rendre compte que la gestion d’une prison et la vie à l’intérieur de celle-ci sont très difficiles. Tout d’abord

et organismes intéressés au phénomène de la criminalité. L'accent est mis sur les techniques d'organisation et de gestion des institutions de défense sociale, comme les tribunaux (pour adultes et pour jeunes), la police, les prisons et les pénitenciers, les maisons de rééducation, les centres d'accueil, les services de libération conditionnelle et de probation, le bureau des statistiques criminelles, etc. Cette option forme également les spécialistes de la politique criminelle qui aideront

(EX du préservatif) Les deux doivent cohabiter en sachant que la logique sécuritaire prend le dessus , puisque les préservatifs sont interdits en prison , comment faire de la prévention  LOGIQUE INCONCILIABLE (bagarre entre soignants et pénitenciers) Surpopulation carcérale Pénalisation de populations les + précaires ( + la population est précarisée , + on va en prison) Allongement de la durée des peines ( le retour à la réalité , au principe de liberté à la sortie est difficile)

fortes répercussions négatives, autant économiques que sociales, dans sa situation de vie actuelle. Tout d’abord, la sortie du milieu carcéral est extrêmement difficile financièrement. Dès qu’un ex-détenu met les pieds hors d’une prison ou d’un pénitencier, il doit des dettes à tout le monde, soit au Trésor public, aux HLM, aux institutions de crédits prient avant l’incarcération, etc. Toutefois, n’ayant pas travaillé depuis parfois plusieurs années, il n’a pas suffisamment d’argent pour rembourser

rend cet exposé enrichissant. Ce thème a été au cour de chaque séance intéressant à traiter, car ils nous demandaient d’être curieux mais aussi car il a été facile pour moi d’obtenir des informations, grâce à mon père qui est lui-même surveillant pénitencier à la prison de St Pierre. Je me suis donc mise à la recherche d’informations afin de commencer à traiter le sujet. Dans un premier temps, pour ma partie, je pris la décision d’écrire une petite introduction sur la nécessité du poste de télévision

que la législation burundaise en matière de torture. L’entrée en vigueur de la Convention contre la torture n’ayant pas suffit à abolir définitivement les actes de torture, l’ACAT Burundi diffuse le plus largement possible auprès du personnel pénitencier, les instruments dont la terminologie traite des règles de comportements dans les centres de détention. C’est ainsi que l’ACAT Burundi tente d’encourager une politique de développement ciblée visant à défendre le droit des justiciables en renforçant