Le Peigne

et qui se nourrit de sang par piqûres. 2) Comment la transmission a-t-elle lieu ? La transmission des poux se fait par contact direct entre des cheveux ou des têtes ou par contact indirect par le biais du partage de certains objets comme les peignes, les écouteurs, les chapeaux, les draps, les taies d’oreillers... 3) Que devront faire les parents en prévention ? Les filles doivent faire une coiffure adaptée en attachant les cheveux. Pour prévenir les poux, les parents doivent à chaque fois

influent. Il s’est réfugié à Nyons et a laissé son fils en garde chez son beau-frère. 1722-1724 : Jean-Jacques Rousseau a vécu à Bossey chez un pasteur protestant. Enfant, il y a découvert l’injustice après avoir été accusé à tort d’avoir abimé un peigne. 1745-1751 : De retour à Paris, Rousseau a fréquenté le cercle des encyclopédistes et s’est lié d’amitié avec Diderot. C’est à cette époque que Thérèse Levasseur est devenue sa compagne. Les cinq enfants qu'ils ont eus à partir de 1747 ont tous

employé, un type de geste et une consistance de peinture. Ce polyptyque, composé de deux toiles de largeur différente réunies en une seule, joue sur le seul rythme généré par la variation des formats et les inclinaisons des coups de brosse. Soulages peigne la matière plus qu’il ne peint. De son pinceau, il a effectué de grands gestes horizontaux qu’il a arrêtés avec exactitude aux bords de la toile ou à la frontière de lignes verticales préalablement tracées au crayon. Les différentes profondeurs des

dressage, le polo, le rodéo, la corrida, les courses, le tiercé et les spectacles équestres . Le pansage Avant de monter sur les chevaux, il faut leur faire un pansage. Les brosses du cavaliers sont: le bouchon, l'étrille, la brosse douce, le peigne et le cure-pied. Après avoir brosser le cheval ,il faut lui mettre la selle et les rennes . La tenue du cavalier Pour faire de l'équitation , il faut être bien habillé pour ne pas se blesser .On doit porter sur nous : une bombe ,un pantalon

des grâces le fauteuil = les commodités de la conversation La périphrase et métaphore ex : les yeux = le miroir de l’âme la musique = le paradis des oreilles les dents = l'ameublement de la bouche Métaphore : ex : peigne = dédale épingle = sangsues Oxymore pour marquer la surprise : une douce cruauté Antithèse : Philis on désespère , alors qu'on espère toujours . L'hyperbole ; goût de l'outrance ; pour évoquer les charmes de la femme , pour la souffrance

opposées ainsi que leur relation. En effet, leur aspect vestimentaire est bien distinct : en premier lieu, on a la personnage de Bérenger représenté comme étant une personne désordonnée, bouillon, négligente → « Bérenger, tête nue, les cheveux mal peignés, pas rasé, les vêtements chiffonnés, fatigué, somnolent, arrive en retard à son rendez-vous. » Par ailleurs, Jean, qui lui est présenté comme quelqu'un de soigneux, méticuleux, maniaque. → « Jean qui, lui est soigneusement vêtu : costume marron

fourchette c'est la partie élastique sous le sabot du cheval,En forme de V )L'étrille : dans tous les sens, pour gratter et décoller le poil.Le bouchon : pour enlever le plus gros de la poussière.La brosse-douce : pour finir d'enlever la poussière.Le peigne : La crinière, la queue, le toupet.L'éponge : pour laver les yeux et les naseaux.L'époussette : sur tout le corps pour lisser et faire briller le poil.- BilanPendant une semaines je me suis totalement immergée dans la vie de ce centre équestre. J'ai

leur vie difficile, tentent de garder un peu de dignité « pas de laisser aller dans les petites choses ». On peut donc dire qu’ils restent forts malgré les malheureux aléas de la vie. Dans le texte C, à travers tous les accessoires « cravate », « peigne », « glace » que Jean sort de sa poche, on peut dire que c’est une personne soigneuse et méticuleuse. A contrario, Berenger est plein de poussière « en faire sortir la poussière blanche », il se néglige « Vous ne vous êtes pas rasé », « Votre chemise

précieuses encore… J’étais si émue que je n’osai point les détruire, et la seule idée du vol me faisait culpabiliser et rougir de honte. Je m’emparai alors de la pommade se trouvant sur la table de chevet et m’en servis allègrement, puis je saisis le peigne en nacre sur la coiffeuse et le passai dans les pointes de mes cheveux. Enfin, je redescendis du palais avant mes camarades et je marchai dans la rue me sentant libérée. J’avais l’impression qu’une nouvelle vie s’offrait désormais à moi. Jamais je

des flots de dentelle. Les plus légers détails de cette tête furent des amorces qui réveillèrent en moi des jouissances infinies: le brillant des cheveux lissés au-dessus d'un cou velouté comme celui d'une petite fille, les lignes blanches que le peigne y avait dessinées et où mon imagination courut comme en de frais sentiers, tout me fit perdre l'esprit. Après m'être assuré que personne ne me voyait, je me plongeai dans ce dos comme un enfant qui se jette dans le sein de sa mère, et je baisai toutes