Le Peigne

douée en histoire, en encore moins en politique, je voyais défiler les scènes sans toujours les comprendre... Car j'ignorais quels en étaient les contextes. Toutefois, j'ai aimé les quelques (rares) moments comiques, quand souvent Giscard sort son peigne pour se recoiffer, ou réajuste son costume...

d’écrire une poésie personnelle et lyrique. I. La poésie refusée par Du Bellay. a. L’expression du refus : Anaphore : ‘je ne veux point’ dans les trois premiers vers met en relief le refus du poète. Le poète refus également : ‘dessiner ; tableaux ; peigner ; friser ; déguiser’. Au vers 12 ‘aussi ne veux-je’ on a une inversion pour mettre en relief la négation. On trouve aussi au vers 7 :’Mais’ une conjonction de coordination qui exprime l’opposition du poète entre ce qu’il veut et ce qu’il ne veut pas

de mener l'enquête. Tout comme le narrateur, le lecteur est réduit à des hypothèses. En effet, se brosse-t-elle les cheveux ? Est-elle entrain d'écrire comme à la page 14 ? L'objet de petite taille de la commode peut faire penser à un crayon ou un peigne. L'auteur ne donne pas de réponse.

mécaniques qui excluent toute ferveur religieuse, cette religion ci n'a aucune valeur pour cet homme. III. La place du corps A) Réellement Rabelais parle en medecin quand il décrit le corps. On peut reprocher a Gargantua son manque d'hygiène (il se peigne à la main) Pas de respect de la diététique : accumulation de mets riches : manger beaucoup et boire beaucoup L'exercice physique est réduit. B) Le comique Accumulation de verbes liées aux fonctions naturelles avec un registre famillier et

bonheur des Dames » film d’André Cayatte 1943 Denise Baudu n’était pas d’une beauté remarquable. Mais de ses vingt ans semblait se former une femme gracieuse que seul Mouret perçut (P88). Elle avait de longs cheveux blonds (et « sauvage ») , mal peignés, ce qui fut l’origine de son surnom. « A vingt ans, elle ne faisait même pas seize ans » (ceci était dû au fait qu’elle était chétive). Denise concevait le commerce de la même manière qu’Octave Mouret : le principal est le bonheur des clientes. Elle

verts pour la Saint Patrick ! Trousse de toilette ← 1 brosse à dents dans un étui ou avec cache de protection ← Dentifrice ← Gel douche ou savon dans une boîte en plastique ← Shampoing ← Brosse à cheveux ou peigne ← Coton-tiges ← Pansements ← (Pour les filles : serviettes hygiéniques) Accessoires divers ← Adaptateur(s) pour appareils électriques. ← Appareil photo (et son chargeur) ← Réveil (?) ← Sèche-cheveux

III – Commentaire du tableau : Les Repasseuses Le thème du travail dans la peinture n'était pas courant en France et a longtemps été jugé comme un sujet indigne. Degas montre un aspect assez comique de la situation, car il était rare qu'on peigne de tels gestes aussi expressifs ce qui suggère une impression d'instantanéité. On voit aussi combien ce travail est pénible. Les femmes se sont toujours vues confiées ce travail depuis des temps immémoriaux : c'est un travail répétitif à durée excessive

matériel ? pourquoi ?) Analyse des données (capiluve ou ? pourquoi ?) 1) Au lit SHA Bassine, seau Broc ou bouteille, poche Shampoing 2 serviettes 1 gant de toilette alèse en tissu ou en caoutchouc ou sac poubelle une pince de Kocher coton (oreille) peigne ou brosse sèche cheveux serpillière sac de linge sale 2) au fauteuil même matériel IV. TECHNIQUE 1) Au lit Prévenir le patient Mettre la présence Fermer la fenêtre Proposer le bassin Nettoyer le plan de travail ou adaptable Hygiène des mains

                      Pyramide à degré de Meïdoum - Egypte                                                                    Tombeau de Askia, Mali . A.3. L'artisanat qui offre au chercheur de multiples objets de la vie quotidienne : appuis-têtes, peignes, vêtements tissés, sandales, balais, calebasses décorées, ...                                   Egypte : récipient 4ème millénaire avant J.-C. (période de nagada)           Calebasse : Afrique subsaharienne actuelle                  Appuis-têtes

étudierons aujourd'hui est l'incipit de cette pièce, où les personnages et la mise en scène nous sont présentés. I - Le personnage de Jean A. Son besoin d'ordre. •Se note par sa tenue vestimentaire, l'attiraille don il dispose (2ème cravate, peigne). Son allure est rigide (intolérant envers Béranger). Son apparence extérieure traduit tout à fait son apparence intérieure. Son besoin d'ordre se note ici par la précision dans ses propos, ainsi que dans la langage utilisé. B. Un personnage agressif