Le Passé Est Il à Jamais Révolu

           Suis-je ce que mon passé a fait de moi ?   Lorsque nous considérons la vie des hommes illustres ou même de plus simples mortels , nous avons le sentiment qu’en définitive leur vie s’est déroulée à la façon d’un film dont toutes les scènes avait déjà été écrites . Bref,  leur existence semble s’être déroulée comme un destin dont on ne peut plus modifier le cours   . D’ailleurs , ne faisons pas nous même l’expérience dans nos vies actuelles que les « choses » s’enchaînent , se succèdent

mourir Comble du romantisme par amour la mort elle a choisi Epoque révolue, le romantisme n'existe plus D'ailleurs elle-même ne sait pas ce que c'est Elle n'a pas été longtemps à l'école Elle a soigné sa mère et désenivrer son père Torcher son petit frère alors le siècle des lumières Elle pense que c'est l'époque ou l'on a inventé l'électricité Elle a décidé de mourir par amour pour un voyou Le caïd du quartier, que l'on retrouve en tôle a toutes les saisons Qui ne respecte rien ni sa mère

l’enfant qui se rappelle de son grand-père et de ses moindres gestes ) Il conserve aussi notre passé qu’il soit fait de bonheur (rencontre, amour..) Ou de malheur (séparation), décès [ mort]. - Il embellit le passé en garder les traits les plus émouvants • Le souvenir commande le présent il nous permet d’apprécier le présent ou de le fuir • Il nous procure le sentiment d’exister intellectuellement Ä il permet l’explication et la connaissance du ‘ moi ‘ : connaître et apprécier sa propre personnalité

Alphonse de Lamartine est un écrivain romantique et un homme politique français du début du XIX° siècle. Lors d’un séjour à Aix-les-Bains, il rencontre Julie Charles dont il s’éprend et qu’il idéalisera sous le nom d’Elvire dans les poèmes de son oeuvre, Les Méditations Poétiques. La jeune femme est malade et rentre à Paris où elle revoit Lamartine. Ils se promettent de se retrouver à Aix-les-Bains, l’été suivant. Mais, Julie, trop affaiblie par la maladie ne peut se rendre au rendez-vous. Dans le poème

se plaisait à sentir le savon lui glisser sur le corps, dévalant son dos, ses fesses et ses cuisses avant de rejoindre l'eau. Les caresses des vagues lui donnaient quelques frissons, la source de celles ci étant une petite cascade se situant à quelques mètres d'elle. Debout, au cœur du bassin, elle restait immobile, les yeux clos, se laissant laver en douceur. Ses pensées vagabondaient, repensant à son passé. Tout son corps se figea à la simple idée qu'elle ne reverrait plus jamais sa sœur. Elle

auteur de plusieurs roman dont L'origine de la violence, qui raconte l'histoire d'un jeune professeur qui, lors d'une excursion au camp de concentration de Buchenwald en Allemagne, découvre une photographie où figure un homme a la ressemblance troublante avec son père, c'est a partir de là qu'il enquête pour retrouver l'identité de cet homme, et, sans le vouloir, va découvre plus de choses qu'il ne l'espérait... C'est un extrait de cet œuvre que nous allons étudier. Cet extrait porte sur le médecin

Année scolaire 2010-2011 •Grands modèles littéraires - Modèles antiques Œuvre: L’Odyssée d’Homère (Chants V à XIII), traduction Philippe Jaccottet, édition FM/La Découverte. •Langage verbal et images - Littérature et cinéma Œuvre: Tous les matins du monde de Pascal Quignard. Film: Tous les matins du monde d’Alain Corneau. •Littérature et débats d’idées - Littérature et histoire Œuvre: Mémoires de guerre, tome III, «Le Salut, 1944-1946», Charles de Gaulle. •Littérature contemporaine - Œuvres contemporaines

notre tempsLE MONDE | 20.07.2011 à 13h29 • Mis à jour le 25.07.2011 à 14h39Par Bruno Le Maire, ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoireBas du formulaireUne famine dramatique frappe la Corne de l'Afrique. Elle provoque des milliers de morts. Elle pousse des familles à l'exode. Elle laisse des millions de femmes et d'enfants dans le dénuement le plus total. Depuis des années, nous connaissons ces crises à répétition.Pourtant nous devons

semblait ne devoir jamais finir. A un moment donné, cependant, je l'ai écouté parce qu'il disait: «Il est vrai que j'ai tué.» Puis il a continué sur ce ton, disant «je» chaque fois qu'il parlait de moi. J'étais très étonné. Je me suis penché vers un gendarme et je lui ai demandé pourquoi. Il m'a dit de me taire et, après un moment, il a ajouté: «Tous les avocats font ça.» Moi, j'ai pensé que c'était m'écarter encore de l'affaire, me réduire à zéro et, en un certain sens, se substituer à moi. Mais je crois

une utopie est une chimère, une construction purement imaginaire dont la réalisation est, a priori, hors de notre portée. Or, les auteurs qui ont créé le mot, puis illustré le genre littéraire inventé par Thomas More en 1516, avaient plutôt pour ambition d'élargir le champ du possible, et d'abord de l'explorer. Certes, l'utopie se caractérise par un recours à la fiction, par un artifice littéraire qui consiste à décrire une société idéale dans une géographie imaginaire, souvent dans le cadre d'un récit