Le Passant La Passante Victor Hugo

Introduction : → « J'aime l'araignée », Victor Hugo, en 1856. → chef de file du romantisme (XIXe siècle) = mvt litt. en rupture avec les règles, le goût et le beau classiques : expression sentiments (poésies lyriques) + expression désenchantement par rapport à la société qui les déçoit(poèmes engagés, expression de leur révolte) → extrait des Contemplations (1856), recueil très connu constitué de deux partie : « Autrefois »/«Aujourd'hui » autour d'une date : le 4 septembre 184 → livre III, 1ere

Lecture linéaire n°12 : Victor Hugo, Les Contemplations (1856) « Il faut que le poëte… » poème n°XXVIII du livre 1 « Aurore », dans la première section du recueil, Autrefois . Travail sur le texte1) Chercher la définition de « art poétique » → 2) Préparer une introduction à ce texte → Contexte littéraire :→ Auteur :→ Oeuvre :→ situation du passage dans l'oeuvre LECTURE

Soleils couchants Victor Hugo Commentaire de texte : Le romantisme est un mouvement littéraire né au XVIIIème siècle en Allemagne et en Grande Bretagne puis se développe en France, Italie et Espagne au début du XIXème siècle. Ce mouvement est opposé au classicisme qui privilégie le sentiment à la raison et explore des thèmes comme le fantastique, le rêve, le mystère ou encore la mort. Le romantisme s’ébauche

salive, il annonçait un sang-froid imperturbable qui ne devait pas le faire reculer devant un crime pour sortir d’une position équivoque. Honoré de Balzac, Le Père Goriot (1835). TEXTE 2 Dans une peinture des bas-fonds de Paris en 1830, Victor Hugo présente quatre truands ; voici le portrait du plus jeune : Un être lugubre, c’était Montparnasse. Montparnasse était un enfant ; moins de vingt ans, un joli visage, des lèvres qui ressemblaient à des cerises, de charmants cheveux noirs, la clarté

s'adresser à un être aimer, partager sa vision du monde ou même ses rêves. Les poèmes lyrique sont donc des poèmes universelle, accessible à tout hommes qui peu se reconnaître dans les différentes émotions exprimer par l'auteur. A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé

Victor Hugo achève la dernière préface du Dernier Jour d'un condamné en 1832. Quand il découvre dans la Gazette des tribunaux du 19 mars 1832, le compte rendu du procès d'un certain Claude Gueux condamné à mort pour meurtre, il y découvre comme un écho de son plaidoyer contre la peine de mort et décide alors d'en faire un roman. Il retranscrit donc la vie de Claude Gueux dès son entrée dans la prison jusqu'à son exécution en passant par les motifs de son crime et son procès. Suit ensuite une longue

voyages pittoresques, les jardins ou bien l’art. Dans les œuvres de Victor Hugo, nous pouvons diviser l’espace en deux types : physique et symbolique. Dans Notre-Dame de Paris l’auteur reconstruit la réalité du quinzième siècle et en même temps, il montre une grande dimension historique et symbolique. L’espace vivant est figuré par la ville Paris et plus précisément, par sa cathédrale qui est un centre de ce lieu. Victor Hugo présente l’espace de Notre-Dame de Paris comme « une balade touristique »

habilement la censure. C’est ce que parvient à faire Hugo dans sa fable Fable ou histoire parue en 1853 dans le recueil Les Châtiments (livre 3). Fable ou histoire est librement inspiré de La Fontaine (Le loup devenu berger), dont l’histoire est similaire et la morale finale identique. Dans ce bref apologue qui met en scène une satire acerbe de Napoléon 3, Hugo voue une fureur vengeresse et un mépris sans borne à l’égard de ce dernier. Comment Victor Hugo parvient-il à concilier dénonciation politique

Et de mes pleurs sans tes yeux ! Victor-Marie Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris. Il est le plus important des auteurs romantiques français. Son œuvre est très diverse : romans, poésie lyrique, drames en vers et en prose, discours politiques à la Chambre des pairs, correspondance abondante. Le poème « Je respire où tu palpites » est extrait du recueil LES CONTEMPLATIONS de Victor HUGO. Dans celui-ci nous pouvons constater plusieurs marques

géographiquement mal délimité, historiquement, il a été marqué, comme le laisse entendre la caricature de Plantu, par des conflits incessants entre ses peuples : des guerres de l'Antiquité (la première vignette fait référence aux conquêtes romaines), en passant par les guerres napoléoniennes (seconde vignette), jusqu'aux puissances de l'axe dont la politique d'expansion a conduit à la Seconde Guerre mondiale (tout le monde aura reconnu Adolf Hitler, perché sur un char, dans la troisième vignette). Après