Le Paradoxe du temps

_Intro:La plainte des poètes ne cesse de résonner à travers les siècles : le temps s'écoule et précipite l'instant présent dans un passé qui n'est plus. Jeunesse , amis , amants ... les passions et les projets ne sont bientôt plus qu'un lointain souvenir , vague et effacé . Pourtant , l'absence est pesante .Le passé, irréversible,marque les coeurs et excite les désespoirs.Son silence semble toujours se faire entendre.La paradoxe est donc entier : ce passé qui semblait définitivement perdu n'est pourtant

joue tous en même temps ou est-ce qu’il y en a un qui joue avant l’autre ? Plusieurs cas de duopoles : SIMULTANÉ (les deux jouent en même temps) SÉQUENTIEL (un qui joue avant l’autre) CAPACITÉS (Q) 1. COURNOT 2. COURNOT avec différenciation. STACKELBERG : modèle leader – suiveur PRIX 3. BERTRAND 4. BERTRAND avec différenciation Leadership en prix I/ COURNOT et BERTRAND dans le cas de 2 firmes Le modèle de BERTRAND : le paradoxe de BERTRAND On parle de paradoxe parce qu’on va

l’inscription d’une activité dans une totalité dynamique au sein de laquelle se meuvent les objets et les autres. Imbrication entre l’objet et l’homme. Le sport est un fait social total. Toute la société le connaît, en parle, consomme du sport… > Paradoxe, ce phénomène concerne toute la société mais très peu étudié. > Retard des études sur le phénomène sportif et sur les pratiques (les techniques). > La science autour des APSA est développée mais pas trop sur les techniques. > Pourquoi les techniques

du texte. Jeux des temps. B. Le lexique. Affirmation de son refus de faire la guerre > reprise du verbe " haïr " (l. 1, 19, 23). Idée confirmée par exemple " battre ". Tournure restrictive l. 3 > sens particulier de la relation avec la vie : bat avec manifestations de la nature > vie Rapprochement entre battre et combattre : attire l'attention sur évolution de la situation. Mise en relief par jeux des temps et termes exprimant le constat. C. Les temps verbaux. Temps verbaux visibles par

suite des Trente Glorieuses, la richesse nationale des pays développés a continué de s’accroitre. Malgré le choc pétrolier de 1971, ces richesses calculées par le PIB et la croissance économique se sont accumulés dans ces pays riches. Dans le même temps, la croissance démographique a continué à toucher fortement ces pays (+ 100 millions d’habitants dans l’UE depuis 1970).On peut donc essayer de faire un parallèle entre ces deux « mécanismes » et se demander si cette augmentation de la richesse s’est

en demandant avant le temps ce qui ne peut venir qu'avec le temps." C'est à la lumière de cette citation que le sens de temps perdu peut paraître paradoxal. En effet, le temps est dit perdu quand il n'est pas utilisé pour améliorer le futur. Cependant, comment peut-on savoir que l'instant présent est perdu, alors que nous n'en connaissons pas les effets dans le futur. De plus, le temps n'est pas une matière, il ne semble donc pas possible de le perdre. Ces deux paradoxes nous amènent à nous poser

civilisations. Nous montrerons comment Paul VALERY utilise les leçons de l'histoire pour amener son lecteur à réfléchir aux menaces qui pèsent sur le présent. Nous verrons dans un premier temps que VALERY propose un parallèle entre les civilisations disparus et le désastre de la 1ère guerre mondial. Pour aboutir dans un second temps à une remise en question des fondements de la civilisation et du progrès. > sa réflexion s'enracine dans une lecture de l'actualité : L.16 : « France,Angleterre,Russie »

CHAPITRE 5, QUESTION 2 : CONSOMMER NOUS REND-IL FORCEMENT PLUS HEUREUX ? I- LE CONSTAT Document 1 : Le paradoxe d’Easterlin Source : « Portrait social de la France », Insee, 2008 1) Quelle information principale peut-on tirer de ce document ? 2) Pourquoi peut-on parler de « paradoxe » ? Document 2 « L'argent ne fait pas le bonheur, dit-on souvent. L'institut Gallup a réalisé une étude mondiale dont les résultats semblent confirmer l'adage. D'après cette étude, les Etats-Unis sont

toutes faites, bien au contraire. * Projet de l'Auteur Patrick Decklerck décrit lui-même son ouvrage comme un « pot pourri d'images jetées en désordre sur la table ». Il explique s'être éloigné de sa démarche initiale, souhaitant dans un premier temps en faire un livre académique, ethnographique, et donc rester dans l'objectivité. Au cours de ses recherches et observations, marquées par les scènes auxquelles il s'est confronté, P. Decklerck a garni son discours de plus de subjectivité, ne

Nous sommes morts, âme ne nous harie, Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! La pluie nous a débués et lavés, Et le soleil desséchés et noircis. Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés, Et arraché la barbe et les sourcils. Jamais nul temps nous ne sommes assis Puis çà, puis là, comme le vent varie, A son plaisir sans cesser nous charrie, Plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre. Ne soyez donc de notre confrérie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Prince Jésus, qui