Le pib est-il bien être heureux ?
La croissance économique peut soit creuser soit réduire les inégalités -> selon Joseph Stiglitz la croissance américaine entre 1990 et 2005 n’a profité qu’au 10% les + riches- depuis la fin des années 70, dans les pays de l’OCDE, on remarque une augmentation des inégalités ce qui a un fort impact sur la satisfaction à l’égard de la vie des habitants de ces pays.-ces indicateurs de richesses comme le PIB ou le PNB sont boostés par la production de biens marchands sans pour autant connaitre leur impact sur la population actuelle et future.- ce qui accroit le bien-être personnel comme l’activité domestique n’est pas comptabilisé dans la richesse annuelle du pays (représenterai entre 32 et 77% du PIB si elle était comptabilisée selon Chadeau et Fouquet).- le bénévolat qui a pour but d’accroitre le bien-être général n’est pas pris en compte car il n’a pas de valeur marchande et ne produit rien qui peut être porté sur un marché.II/ Croissance ne rime pas avec …afficher plus de contenu…
Le paradoxe d’Esterlin (1974) et l’existence d’un seuil de satiété- la croissance économique n’est pas corrélé avec le bonheur.- dans son analyse il démontre que pendant la période d’après-guerre le niveau de satisfaction des individus est resté constants alors que la richesse des pays dvlpés s’est fortement accru.- attention il faut prendre en compte dans ces résultats que les réponses sont par nature bornés, les individu doivent choisir entre des réponses comme « plutôt satisfait », « pas du tout satisfait » ou encore « plutôt insatisfait ». Alors que dans le même temps, le PIB peut augmenter à