Le monde ne suffit pas

MOTAMEDI Nima T°5 Dissertation Sujet : La conscience suffit-elle à faire de nous des sujets ? Dans l’état actuel des connaissances, les zoologues considèrent que les animaux n‘ont pas la perception de leur mort futur. Difficile, dans ces conditions, d’imaginer qu’un animal puisse exécuter sciemment une action précise en projetant dans l’avenir la conséquence néfaste de son acte. Le suicide des animaux relève de la pure légende, elle prit corps dans

toutes les heures qui suivront seront pareilles à celle-ci, emplies de ma voix, messagères de mon désir… Viens !…« Tu le sais, tu le sais que je puis me lamenter durant des nuits entières, que je ne boirai plus, que je ne mangerai plus, car mon désir suffit à ma vie et je me fortifie d’amour ! Viens !…« Tu ne connais pas mon visage et qu’importe ! Avec orgueil, je t’apprends qui je suis : je suis le long Matou déguenillé par dix étés, durci par dix hivers. Une de mes pattes boite en souvenir d’une vieille

conscience de sa condition, et conscience du monde qui l’entour. Les désirs de l’homme dont nous venons de parler, ne se ferait pas si l’homme n’était conscient. Il s’arrêterait aux désirs simplement vitaux, comme boire ou manger. Or, l’homme est bien un être intelligent et conscient. Ainsi, la souffrance du monde extérieur lui fait face. La solitude, la peur, l’inquiétude… tous ces sentiments sont propres à la nature de l’homme. Et comment être heureux dans un monde où le malheur est omniprésent ? Rappelons

- D'une pièce de théâtre. Voir plus loin. liv. XII, § 36. - De pouvoir embrasser le monde entier, c'est-à-dire, de se mettre en rapport avec l'infini, sons toutes ses formes, et de le comprendre dans une certaine mesure, soit comme espace, soit comme durée. - La régénération périodique de toutes choses. Voir plus haut, liv. V, § 13 et 22, et liv. X, § 7. - Rien de nouveau. Sur l'uniformité des choses de ce monde, voir plus haut, liv. VI, § 37, et liv. VII, § 1. Voir aussi les notes où cette pensée

fondamentale pour définir l’acte humain. On ne peut avoir une option fondamentale pour le bien indépendante d’actes concrets qui soient mauvais. Il suffit de poser certains actes une fois pour pervertir l’option fondamentale pour Dieu (ou pour le bien pour le non croyants). Par ex. un avortement suffit pour dire qu’on ne défend pas la vie. Un refus de pardon suffit pour dire que la miséricorde n’est pas l’option fondamentale de ma vie. L’option fondamentale est au service de la vérité et va lier la question

acquérir une identité contre ce poisson qui envenime les relations familiales et sociales de nos jours; qui est l'argent? Vous croyez que ma pension Napoléonienne en tant que veuve m'a-t-elle suffit à me reconstruire? Que votre fortune après votre mort m'a-t-elle suffit? Que ce poisson nommé l'argent m'a-t-il suffit? C'est cet amour et cette chaleur qui me manque par conséquent vous n'êtes plus le bienvenue dans mon salut. Pour en conclure, je tenais à vous dire que votre place dans la société

s'agisse d'argent, de reconnaissance publique ou de tout autre avantage précis.  La Renaissance marque à ce sujet le tournant historique du monde ancien et du monde moderne. La Franc-maçonnerie suit le mouvement mais ne le précède pas. Plutôt que de se mettre au service des monarques et des nobles, elle s'éloigne du monde actif, opératif, pour se retrancher dans un monde théorique, spéculatif. Les secrets de fabrication tombent en mains profanes et sont transmis par des modes devenus aujourd'hui conventionnels

« Internet détruit notre société plus qu’il ne la fait se développer » Trois milliards vingt-cinq millions, voici le nombre d’internautes dans le monde, soit 42 % de la population. Impressionnant n’est-ce pas ? Depuis son invention en 1989, la toile a beaucoup changé et nous offre à présent une multitude de possibilités. Il nous parait donc tout à fait naturel de nous poser la question du pour et du contre, du « bon et du mauvais » de cette nouvelle technologie mise à la disposition de tant d’individus :

voyant dans un premier temps l’œuvre d’art comme un apprentissage et une source d’informations, puis, comme une finalité sans fin, l’art sans aucune autre fonction. L’œuvre d’art peut être vue comme un apprentissage et une réflexion sur soi et le monde extérieur, elle pourrait donc nous instruire car l’instruction passe non seulement par l’enseignement, la formation, l’éducation qui permet de s’élever mais aussi par l’information. L’œuvre d’art peut nous apporter des connaissances car elles sont

seulement la santé mentale d’un individu, |Pourquoi l’être humain ne peut-il vivre seul ? En quoi la | | |roman. Naufragé sur un île déserte, Robinson se |solitude sur son propre psychisme ; il en tire les |mais la consistance même d’un monde qui nécessite la |présence physique d’autrui m’est-elle précieuse | | |retrouve seul et réfléchit au sens de ce qui lui |conséquences sur le rôle structurant de la présence |présence physique d’autres hommes : « Autrui, pièce