Le Lys des champs

exclamative qui insiste sur la colère de l’auteur, qui peut même se traduire par un ton quelque peu agressif et accusateur. Le temps employé majeur est le présent, le lecteur peut donc avoir l’impression de vivre cette scène de dispute. On peut retrouver le champ lexical faisant référence à l’enfance : « agnelet » v.16, « votre mère » v.15, « peur de l’orage » v.13 (comme un enfant), « héros méchant » v.10, « gesticulez » v.9, etc… L’auteur insiste sur cet amour manqué grâce à l’antithèse « Joyeux dans le

27 ans, est déjà un écrivain à succès. Il fait partie du Cénacle romantique qu'animent Charles Nodier et le poète Sainte-Beuve, théoricien du mouvement. Le Cénacle romantique tient ses réunions chez Hugo, à Paris, rue Notre-Dame-des-Champs, dans la «chambre au lys d'or» (elle tient son nom de la fleur remportée par Hugo à l'âge de 19 ans aux Jeux Floraux de Toulouse). On y rencontre Balzac, Vigny, Musset, Dumas, le peintre Delacroix... La réunion du 30 septembre 1829 est consacrée à la lecture d'Hernani

mélasse pour la grogn... Et pour vous ? ZEHIR : un simple bol de cendres accompagnées de braises me siérait tout à fait… Aubergiste : Ah bah bon ? Ben… il fait si froid que ça dehors ?… ENORIEL : Et pour moi, ce sera une timbale de nectar relevé au lys blanc, au shaker, hein (?), pas à la cuillère ! Aubergiste : ... j’ai pas ! ENORIEL : … Ah ? Bon ben... Une chope d’ambroisie adoucie d’une gelée royale tiédie au feu de bois ? Aubergiste : … j’ai pas ! ENORIEL : Eh bien... un verre d’eau sucrée

cinéma Il ne faut pas confondre invention du cinématographe et invention de l’art cinématographique. Lumière aurait dû composer une œuvre repérable par des éléments stylistiques singuliers ou bien qu’ils développent un champ fictionnel qui devienne plus probant qu’un certain champ « réaliste ». L’art est une sorte de mensonge en ce qu’il est un concept qui détourne la fonction objective des choses. La part objective se déplace alors pour se situer dans la mise en forme de ce mensonge. Pour faire

Ariadné, qui jettes tes sanglots Sur la rive, en voyant fuir là-bas sur les flots, Blanche sous le soleil, la voile de Thésée, O douce vierge enfant qu'une nuit a brisée, Tais-toi! Sur son char d'or brodé de noirs raisins, Lysios, promené dans les champs Phrygiens Par les tigres lascifs et les panthères rousses, Le long des fleuves bleus rougit les sombres mousses. - Zeus, Taureau, sur son cou berce comme une enfant Le corps nu d'Europé, qui jette son bras blanc Au cou nerveux du Dieu frissonnant

Correspondances...................................................................................................... 12 L’homme et la mer.................................................................................................... 13 Aux champs............................................................................................................. 14 Clair de lune............................................................................................................. 15 Les Sapins

A Mme Lullin A Mme Lullin Hé quoi ! vous êtes étonnée Qu’au bout de quatre-vingts hivers, Ma Muse faible et surannée Puisse encor fredonner des vers ? Quelquefois un peu de verdure Rit sous les glaçons de nos champs ; Elle console la nature, Mais elle sèche en peu de temps. Un oiseau peut se faire entendre Après la saison des beaux jours ; Mais sa voix n’a plus rien de tendre, Il ne chante plus ses amours. Ainsi je touche encor ma lyre Qui n’obéit plus à mes doigts ; Ainsi j’essaie

l’instant, Messieurs, ou jamais, D’être audacieux, et je mets Mes deux mains partout désormais ! Le chevalier Atys, qui gratte Sa guitare, à Chloris l’ingrate Lance une oeillade scélérate. L’abbé confesse bas Eglé, Et ce vicomte déréglé Des champs donne à son coeur la clé. Cependant la lune se lève Et l’esquif en sa course brève File gaîment sur l’eau qui rêve. Paul Verlaine ------------------------------------------ L’Eternité Elle est retrouvée. Quoi ? - L’Eternité. C’est

Courbevoie, le postillon avait déjà quitté sa veste à boutons fleurdelisés. On avait tiré le matin sur une calèche qu’il conduisait à Paris par l’avenue des Champs-Elysées. ». Cette citation illustre bien le dégoût et l’indignation que ressent le peuple français à l’égard de la royauté et de ses partisans. L’emblème de la royauté, la fleur de lys, contenue sur les boutons de la veste du postillon, et donc l’attachement à la royauté sont systématiquement punis. Elle caractérise également la violence

de la médecine (décortiquer l’âme cô médecin dissèque le corps) -> Idéalisat° -> Documentat° !! -> Centré s/ bourgeois -> Poésie= artificiel, conventionnel, imaginaire. Balzac - Eugénie Grandet - Le père Goriot - Le Colonel Chabert - Le Lys dans la vallée Flaubert - Madame Bovary -L’éducation sentimentale Maupassant - Une vie - Boule de suif - Pierre et Jean Daudet Le Petit Chose Vallès - L’Enfant - L’insurgé 19es : Naturalisme 1870 : apparit° -> pousser le réalisme