Le Logement Des Jeunes

 Mémento DC4 logement question 1 En ce qui concerne les aides au logement classiques, la loi du 1er septembre 1948 crée l'allocation de logement familiale. La loi du 16 juillet 1971 crée l'allocation de logement sociale (ALS) qui vise à apporter aux personnes âgées ou atteintes d’une infimité congéniale ou acquise et aux jeunes salariés de moins de 25 ans. La loi du 3 janvier 1977 institue l'aide personnalisée au logement (APL) La loi Quilliot du 22 juin 1982 relative aux droits et obligations

diplômé de niveau supérieur (26,2%). La lutte contre le fléau du chômage des jeunes est inscrite parmi les priorités du pays. D’ailleurs, la nouvelle Constitution cite l’emploi parmi les droits auxquels l’Etat, les établissements publics et les collectivités territoriales doivent faciliter l’égal accès aux citoyennes et aux citoyens. Après donc la santé, la protection sociale, l’éducation, la formation professionnelle, le logement décent, on trouve le travail et l’appui des pouvoirs publics en matière

plus de 1,5 million de places avec 900 000 professionnels du travail social 27 000 directeurs et cadres sociaux et éducatifs 136 000 assistants de service social, conseillers en économie sociale familiale, éducateurs spécialisés et éducateurs de jeunes enfants 39 000 moniteurs-éducateurs et techniciens de l'intervention sociale et familiale 350 000 aides médico-psychologiques, aides à domicile et assistants familiaux ;60 000 auxiliaires de puériculture ;377 000 assistantes maternelles agréées, dont

plan des idées La ville et ses nuisances Pôle d'attraction de plus en plus important, la ville offre de nombreux avantages aux citadins1: centres commerciaux, services administratifs, sociaux et médicaux, possibilités de travail et proximité de logements, écoles, vie culturelle, équipements sportifs... Ce développement intense explique la 5 concentration des populations dans les villes et les nuisances2 qui lui sont liées. La pollution3, les encombrements4 et l'insécurité sont parmi les principales

million d’érémistes et 4,7 millions de bénéficiaires de la CMU. • On dénombre entre 80 000 et 100 000 SDF. • 10 % des jeunes de 18 ans ne savent ni lire ni écrire. • Sur les 2,5 millions de chômeurs officiels, un sur deux n’est pas indemnisé. • Six millions de personnes sont frappées de surendettement. • Un million de personnes sont en attente d’un logement social et 3 millions d’entre elles sont mal logées. » « Etat des lieux, l'exclusion en chiffres »,L'Humanité, 27 mai 2005

problématiques du logement social en France. LE LOGEMENT SOCIAL, UNE CONCEPTION INCOMPREHENSIVE L’article journalistique de Stéphanie MAURICE tiré d’ASH Magazine datant de juillet/août 2006 traite du logement social en France. En effet, ceux-ci seraient construits en trop grand nombre alors qu’en contrepartie, pour les acteurs associatifs, ils seraient inaccessibles aux plus démunis pour plusieurs raisons alors que les élus locaux les laisseraient s’implanter dans leurs communes. En quoi le logement intermédiaire

l'institution qui m'a accueilli en stage, pour ensuite vous proposer quelques définitions des notions de partenariat, réseau et territoire en lien avec mon expérience. Je tenterai de vous expliquer mon choix de partenariat afin d'accompagner un des jeunes, puis je terminerai en vous présentant le déroulé de cette action partenariale ainsi que mon implication au sein de celle-ci. 1 I.Présentation de l’établissement a- établissement : La structure où j'ai effectué mon stage de deuxième année

veulent attendre le mariage pour avoir des relations sexuelles. Cela va entrainer le recul de la retenue sexuelle chez les jeunes. Le logement La question du logement est centrale à cette époque. Mais l'après guerre, entraine une crise du logement importante. Depuis le début des années 1950, un tiers de la population est mal logée car il n'y a pas assez de logements, et il y a peu de construction chaque année de 70 000 à 75 000, alors qu'il en faut 320 000 en plus. Dans la région

approche sociologique ) et difficultés accès à un panier de biens et services. L’INSEE retient 27 indicateurs répartis en 4 catégories (consommation, insuffisance de ressources, retards de paiement, difficultés de logement). · Pauvreté comme absence patrimoine  : impossibilité pour cette population accéder aux biens et services (éducation, soins santé…) qui

faisait dans le cadre des Centres de Loisirs Sans Hébergement (C.L.S.H).La mairie disposait de trois sites d’accueil sur les cités de Montanou, Barleté et Tapie. Les lissions confiées aux équipes d’animateurs étaient d’assurer les animations « jeunes », l’accompagnement scolaire, les fêtes de quartier et les animations liées aux familles. Ces animations se faisaient durant les vacances scolaires, les mercredis et exceptionnellement les week-ends. Elles comprenaient : - des activités ponctuelles