Le Logement Des Jeunes

(addictions/soins)· Prévention/insertion (les jeunes et la rue/entreprise d’insertion)· Enfance famille· Accueil hébergement logement (ASILE/maison relais)Les différents hébergements mis à disposition :· Dispositifs : CHRS avec des hébergements d’urgence et une mise à l’abri· Appartements « regroupés » : Site / « collectif »· Appartements « diffus » : sur un territoire donnée qui concernent les grandes familles et/ou les collocations entre femmesL’accueil de l’hébergement au logement se fait ou le public travail

nationaux qui garantit leur respect par les Etats parties. Elle a récemment été revue, et la Charte sociale européenne révisée de 1996 remplace progressivement le traité initial de 1961. La Charte garantit un large éventail de droits, qui touchent au logement, à la santé, à l'éducation, à l'emploi, à la protection sociale, à la circulation des personnes et à la non-discrimination. La Charte (qu'il s'agisse de celle de 1961 ou de sa version révisée de 1996) a été signée par la totalité des 47 Etats membres

économies. Les jeunes de 18 à 35 ans ne sont pas des paniers percés. Epargner paraît ainsi très important pour 60% d'entre eux et moyennement important pour 32% selon l'étude menée par l'institut Gaultier & Associés. Seuls 6% considérèrent l'épargne peu importante et 2% pas du tout importante. D'ailleurs, 86% des jeunes affirment vouloir mettre de l'argent de côté ou continuer à le faire à l'avenir. Leurs objectifs premiers résident dans la capacité à pouvoir acheter un logement, à faire face

certains étudiants. Mais la problématique du logement se détache. Les assistantes sociales du CROUS que j’ai pu rencontrer s’accordaient à dire que le logement est actuellement une des premières difficultés pour ces étudiants précaires avec des loyers parfois trop élevés surtout dans la région parisienne (en moyenne 19 euros le mètre carré). J’ai donc choisi de centrer mon sujet sur : les étudiants en situation de précarité et la difficulté d’accès au logement. Comme le souligne l’Observatoire de

CULTURE GÉNÉRALE Depuis 30 ans, les comportements sociaux ont beaucoup évolué et plus particulièrement chez les jeunes. La période de passage entre l’adolescence et l’age adulte est devenue incertaine si bien que les sociologues la qualifient de « post-adolescence ». Nous allons construire notre étude autour du passage à la vie adulte en essayant de le situer. Pour cela, nous nous appuierons sur l’étude d’André Béjin, Le sursis de la post-adolescence, « de l’adolescence à la post-adolescence »

sortie du domicile familiale des jeunes adultes qui sont, en période de transition faite d’expérimentations, d’allers-retours et de situation intermédiaires. C’est donc la place et le rôle des hébergements chez un tiers dans ces situations intermédiaires que les auteurs cherchent à explorer ici. Dans cette optique, les auteurs ont sélectionné 4 trajectoires différentes de jeunes adultes hébergés : 1- Christian, 26 ans qui n’arrivai pas à trouver un logement pour faire un stage à Paris mais

km de Montauban. Le Tarn partage la ville en deux parties. Elle s'étend sur 48,5 km2 et compte 5205 habitants. La densité de la population est de 105 habitants au km² (2007). La tranche d'âge 15-24 ans représente 10,22 % de la population soit 523 jeunes, selon les statistiques INSEE (2007). Villemur sur Tarn est composé de hameaux qui s'étendent à environ 5 km du centre ville : Sainte rafine; Les filhols; Le terme; Magnanac; Entourettes; Sayrac; Les millets et Pechnauquié. Villemur sur tarn est

ouvrières. De plus les conditions de logement. La transformation des conditions de logement peut éviter les révoltes, l’accès à des logements salubres est perçue comme une garantie comme une solidité de la famille et donc de la sauvegarde de la paix sociale. Dès le 19ème il y avait comme projet de calmer les révoltes et trouver le meilleur moyen d’éviter une révolution. L’accès à la propriété garantit l’ordre public, les propriétaires vont vouloir conserver leur logement en évitant des révoltes. Cela passe

que les autres Français. On parle de " réinsertion " (" une réinsertion ") pour les personnes qui sont sorties du système social, et qui retournent dans la société pour travailler, avoir un logement etc. (par exemple les anciens prisonniers). " L'intégration " est l’insertion dans la culture française des jeunes d’origine étrangère. " La discrimination " : dans une société, quand un groupe de personnes n'a pas les mêmes droits que les autres à cause de ses origines, de sa religion, etc. ce groupe

Saint-Denis est frappée par la crise économique : entre 1948 et 1973, on y construit ainsi plus de 10 000 logements HLM. B) Quelles sont les personnes concernées ? Dans ces cités s’accumulent des familles, françaises ou immigrées, qui, ne bénéficiant que de bas revenus (SMIC [Salaire minimum interprofessionnel de croissance] pour beaucoup), sont attirées par le faible coût de ces logements. II - Les zones sensibles : éducation et emploi