Le Lit 29

| |Comment sont organisés les éléments de l'œuvre? (espace, composition, formes, couleurs, etc.) | |- Description : L'objet dominant de la chambre est le lit : solide et simple, il suggère la chaleur, le confort et la sécurité. La plupart des | |autres objets (les chaises, les coussins et les tableaux) sont représentés par paire. Cette représentation contribue à donner une impression de| |tranquillité

28 : Mishima est malade, il doit rester au lit. La famille change le magasin en « restaurant » : ils servent des crêpes, du gigot et il y a de la musique. D’après Mishima, tout est de la faute d’Alan. Chapitre 29 : Mishima met la télévision pour oublier tout ce qu’il se passe et avoir des mauvaises nouvelles. Marilyn et Ernest arrivent, respirant l’amour, pour lui dire de dormir car Lucrèce se couchera tard, ce soit, c’est la bamboula. Chapitre 30 : Mishima sort du lit et découvre le nouveau magasin qui

personne avec des idées marginales, anti-bourgeoises et libertaires. II) Contexte historique de l'oeuvre: Ce poème est sans doute inspiré du jeune Rimbaud, 16ans à l'époque, par la guerre franco-prusseienne de 1870, elle oppose du 19 juillet 1870 au 29 janvier 1871. La France et les Etats Allemands coalisés sous l'égide de la Prusse. Arthur Rimbaud a particulièrement été inspiré par la bataille de Sedan scellant la défaite française le 3 septembre 1870 à moins de 20km de Charleville, la ville natale

Neurologie, à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre. Observations, étonnements : Je lui explique qu’au point de vue hygiène ce n’est pas possible et que je dois respecter certaines règles. C’est le rôle propre de l’infirmier : art. R.4311-5 décret 2004-802 du 29/07/2004. Toutefois, j’ai été surprise qu’elle mélange le propre et le sale, connaissant cette patiente très coquette. C’est en expliquant les raisons pour lesquelles je ne pouvais pas lui donner le gant sale que j’ai réussi à justifier et à faire accepter

avec Franz « Elle songeait à leur rencontre dans le wagon-lit du train d’Amsterdam » (l. 21-22), dans lequel elle avait déjà pris sa décision et enclenché la machine funeste du destin, avec l’emploi du plus-que-parfait et l’anaphore : « Elle avait eu envie » (l. 22-25-27). Une marque temporelle significative qui marque le balancement de Sabina entre imagination et réalité et qui symbolise son doute quant à son futur : « A présent » (l. 29). Le lecteur comprend combien ces alternances entre réflexion

(antalgique de palier 1) - Motilium 10 1 1 1 (motricité digestive, traitement de certains troubles de la digestion) CONSTIPATION - Lansoyl unidose 1 1 0 (laxatif) CONSTIPATION - Seroplex 5 0 0 1 (antidépresseur) - Bactrim forte 1 0 1 jusqu’au 29 => infection urinaire Histoire de la maladie : M. B a été retrouvée à terre à son domicile le 7/10/11 suite à un AVC. Elle était non douloureuse. Elle fut transférée en médecine à St Flour. Cet AVC ischémique avec hémorragie secondaire a été responsable

Le professeur Stangerson travaillait dans son laboratoire. Mme Stangerson a failli se faire  assassiner. Il ne trouva pas l’assassin. L’assassin avait tué Mme Stangerson avec le revolver  de pierre jak. Hypothèse que l’assassin saurait caché sous son lit mais on se demande  comment il est sorti de la pièce.     Chapitre 2  Rouletabille. Ami depuis 16 ans. journaliste. heureux, parent qui ne parlent jamais, avocat,  revolver na pas servi a mme standerson. porte fermer a clé. savait quelle avait quelque chose 

- 2) Résumé de l’œuvre page 22 - 3) Historique de la pièce page 24 - 4) Étude psychologique des personnages page 25 - 5) Choix d’un thème développé page 28 - 6) Choix d’un passage page 29 - 7) Opinion personnelle page 29 1) Présentation de l’auteur : Zola Émile (1840-1902) Biographie : 1795 7 août: naissance, à Venise, de François Zola. 1819 6 févr.: naissance d’Émilie Aubert, fille de petits artisans beaucerons. 1820 Le lieutenant

Jean-Jacques Rousseau naît à Genève le 28 juin 1712. Sa mère meurt à sa naissance et il est élevé par son père qui lit avec lui des romans et des œuvres de Plutarque. À dix ans, il est placé en pension chez un pasteur à la campagne où il passe deux années heureuses. Il entre ensuite en apprentissage chez un graveur. L'expérience est si pénible qu'il décide, en mars 1728, de quitter Genève. Il est recueilli par un curé qui l'envoie à une dame charitable, chargée de le convertir au catholicisme, Mme

: Infirmière de l’école. Elle est en réalité une sorcière. Gregor : Bossu avec un œil beaucoup plus décale que l'autre. Il a un accent, et est l'homme à tout faire de Groosham Grange. Edward et Eileen Eliot : Parents de David Eliot, mariés depuis 29 ans. M. Helliwell : couleur de peau noire, immense, larges épaules,crâne rond et chauve, enseigne les sciences sociales le jour et la science vaudou la nuit, est arrivé depuis peu à Groosham Grange Les lieux principaux : La cathédrale de