Le Journal d'une femme de chambre

mort de Henri IV jettent également des soupçons sur les ennemis de ce bon roi, sur les courtisans, sur les jésuites, sur sa maîtresse, sur sa femme même. Ces accusations durent encore, et on ne parle jamais de cet assassinat sans former un jugement téméraire. J’ai toujours été étonné de cette facilité malheureuse avec laquelle les hommes les plus incapables d’une méchante action aiment à imputer les crimes les plus affreux aux hommes d’État, aux hommes en place. On veut se venger de leur grandeur en

politesse. Réponses froides et brutales d'Inès. Scène IV Estelle entre et se fait expliquer la situation par Garcin, même si elle ne fait pas face à la réalité et préfère s'inquiéter de la couleur des canapés. Scène V Estelle prétend être morte d'une pneumonie et ignore la raison de sa présence en enfer. Elle s'interroge par ailleurs quant à la raison pour laquelle les trois personnages ont été réunis. Si Garcin pense à cet égard qu'il n'y a d'autre explication que le hasard, Inès déclare que chacun

il met son éloquence au service de cette cause, à travers romans, poèmes, témoignages devant les tribunaux, plaidoiries, discours et votes à la Chambre des pairs, à l’Assemblée puis au Sénat, articles dans la presse européenne et lettres d’intervention en faveur de condamnés. En écrivant, à vingt-sept ans, Le Dernier Jour d’un condamné comme un journal, à la première personne, Hugo interpelle le lecteur en exposant les sentiments d’un homme à partir du verdict : "Condamné à mort ! Voilà cinq semaines

Michel de Montaigne est issu d'une famille de négociants bordelais anoblie deux générations auparavant. Il semble que l'origine juive de la mère de Montaigne, aujourd'hui reprise par de nombreux auteurs, ne soit qu'une invention du 19e siècle. D'éminents spécialistes tel que Roger Trinquet se sont fait un devoir de contester cette filiation douteuse1. Son arrière grand-père, Ramon Eyquem, avait fait l'acquisition en 1477 d'une maison forte du XIVe siècle, à Saint-Michel-de-Montaigne, dans le Périgord

Gouges et la lutte pour le droit des femmes VAN CAUTEREN ELISA AEI L1 C1 « La femme naît libre et demeure égale à l’homme en droit » déclarait l’article 1 de la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne rédigé en 1791 par Olympe de Gouges. Un demi-siècle avant l’écriture de « Deuxième Sexe » par Simone de Beauvoir, Olympe de Gouges, de son vrai nom Marie Gouze était bien en

certain nombre de chambres à grain individuelles, nombre très variable. »[3] G. Marcy le définit, pour sa part, comme un « grenier collectif de canton, sorte de maison forte, généralement bâtie en nid d'aigle »[4]. Nous imaginons que, dès les premières observations de De Foucauld, on soupçonnait déjà le rôle central des igoudar dans la vie des marocains. Ceux-ci ne peuvent être réduits juste à de simples constructions de pierres, mais représentent la projection d’une culture et d’une vie sociale complexe

penser comme le résultat d'une ligne mais plutôt comme un groupe autonome. Confession d'un enfant du siècle significatif. Comme si quelque chose de nouveau s'inscrivait, comme si le passage en 1800 marquait un tournant, la révolution vient de prouver qu'il pouvait y avoir des cassures historiques. LE siècle c'est accentuer le point pivot (avant/après) d'un entrée dans l'historicité. Histoire pas statique mais en mouvement, histoire peut se faire ou se défaire à l'échelle d'une vie. Balzac : « le 18eme

Le journal d'un fouLe journal d'un fou Nikolai Gogol Publication: 1835 Catégorie(s): Non-Fiction, Psychologie, Fiction, Nouvelles Source: http://www.ebooksgratuits.comA Propos Gogol: Nikolai Vasilievich Gogol (April 1, 1809 — March 4, 1852) was a Russian-language writer of Ukrainian origin. Although his early works were heavily influenced by his Ukrainian heritage and upbringing, he wrote in Russian and his works belong to the tradition of Russian literature. The novel Dead Souls (1842), the play

ANALYSE D'UNE ŒUVRE D'ART Le saut dans le vide d'Yves Klein, 1960 LA FORME : COMMENT L'ARTISTE A-T-IL RÉALISÉ CETTE ŒUVRE ? 1) IDENTIFICATION : la carte d'identité de l’œuvre Concernant la photographie Le saut dans le vide d'Yves Klein nous pouvons nous poser la question de savoir si l’œuvre est la photographie ou si la photographie est la trace de la performance artistique de l'artiste ? Nous pouvons également nous demander s'il s'agit d'un autoportrait, l'homme sautant étant Yves Klein lui-même

sou, mais il possède quelques atouts maîtres qui vont lui permettre de réussir. 1. Portrait physique G. Duroy est un homme de grande taille, bien fait, aux cheveux frisés blond châtain, à la moustache retroussée, "aux yeux bleus, clairs, troués d’une pupille toute petite". Ce portrait que nous fait Maupassant au début du roman nous laisse entrevoir la manière dont il va réussir dans »r » la vie. 2. Portrait Moral Bel-ami est un homme qui sait se servir de tous ses atouts pour arriver à ses fins