Le Journal d'une femme de chambre

les journaux. Sur les rues éclatent des balles d'obus, des bombes d'aviation. Quand le bombardement continu nous nous réfugions dans le sous-sol de la maison. J'ai l'habitude de descendre avec le livre de chimie pour continuer d'étudier, parce que il y a des projets de se terminer tôt et il y aura des examens en janvier. D'autres fois je prend un roman. Dans le sous-sol les filles des propriétaires sont là aussi Marie, notre bonne, et la femme d'un voisin, belle et mal enveloppée d'une robe

même temps, la cadre a donc annoncé le décès à la famille, ensuite la femme du défunt a été voir le corps dans la chambre. Pendant ce temps là, la cadre ma montré les papiers qu’il fallait remplir que sa soit pour elle ou pour le médecin ou la famille et a appelé la mairie pour prévenir du décès et déposera les papiers (acte de décès...) avec le livret de famille. La famille est sortie de la chambre et nous sommes allées dans une salle avec elle, afin de leur expliquer

la publication dans un journal d’un article intitulé « ils maltraitaient leur bébé »… « Le couple tortionnaire écroué », une personne s’estimant mise en cause dans les conditions attentatoires à la présomption d’innocence a assigné la société éditrice du journal et le directeur de la publication en réparation de son préjudice devant le tribunal de grande instance. L’affaire est ensuite portée devant la Cour d’appel d’Aix-en-Provence qui condamne la société éditrice du journal et le directeur de la

Sujet : Alors, Nana devint une femme chic, rentière de la bêtise et de l’ordure des mâles, marquise des hauts trottoirs. Ce fut un lançage brusque et définitif, une montée dans la célébrité de la galanterie, dans le plein jour des folies de l’argent et des audaces gâcheuses de la beauté. Elle régna tout de suite parmi les plus chères. Ses photographies s’étalaient aux vitrines, on la citait dans les journaux. Quand elle passait en voiture sur les boulevards, la foule se retournait et la nommait

mutations qui ont ébranlé l’institution familiale après la seconde guerre mondiale, notamment à partir de l’analyse des représentations données d’une scène-clef : le repas. La famille japonaise d’après-guerre 3Machiko Hasegawa est née en 1920 à Saga, dans le sud du Japon, où elle a vécu jusqu’ à douze ans, âge auquel elle a perdu son père, ingénieur, sa mère étant femme au foyer. Son père, très attaché à sa famille, nourrissait une tendresse particulière pour ses trois filles. Après sa mort, Hasegawa est

à 1890 employée en qualité de grand reporter au quotidien par des journaux tels que Le Gaulois, Le Figaro, ou encore le Gil Blas. C'est donc tout naturellement qu'en 1885 il publie Bel-Ami, son second roman qui décrit l'ascension sociale d'un jeune bellâtre, ambitieux dans le milieu parisien du journalisme et de la finance, au début du dix-neuvième siècle. Bel Ami sait que le journal est la force première d'un régime, et ce journal, dans le roman, c'est La Vie Française. *I. *Contexte Historique

rédacteur au " Matin ". En 1913, naissance à Paris de Colette, Renée de Jouvenel. En 1920, Colette est nommée chevalier de la Légion d'honneur. Colette et Henry de Jouvenel se séparent en 1923. Ouvrages évoquant ces années : L'Entrave, Mitsou, Chéri, La Chambre éclairée, Le Blé en herbe, La Fin de Chéri, Contes des mille et un matins, Duo, La Seconde, Julie de Carneilhan En 1926, Colette achète une maison dans le Midi, « la Treille muscate >>;. En 1928 Colette est promue officier de la Légion d'honneur.

  Introduction Le texte étudié provient du Roman Le nœud de vipéres, écrit par François Mauriac en 1932 . Ce roman épistolaire présente le journal d'un vieil homme qui s'approche de la mort, journal qu'il destine à ses proches , poir qu'ils le découvrent après sa disparition. Dans l'incipit de l'oeuvre, c'est à dire l'extrait que nous étudions , le lecteur se demande jusqu'à quel extrémité un homme peut aller par esprit de vengeance . On découvre la violence de la haine d'un homme

essentiellement son art à New York, où il avait son atelier, il est considéré comme l’un des représentants du naturalisme ou de la scène américaine, parce qu’il peignait la vie quotidienne des classes moyennes. Edward Hopper (1882-1967) est le peintre d'une Amérique profonde qui s'interroge sur les mutations du monde moderne et sur les angoisses profondes des hommes de son époque. Il nous représente les images de la solitude et de l'absence, du silence et l'attente, comme autant d'énigmes de l'existence

voiture. Il vivait avec sa mamita. Il évitait de prendre du poids. Il apprend déjà dans un jeune âge comment se débrouiller. Mamita a été stérilisé par les nazis(née en Roumanie). Maintenant il a 18 ans et s’imaginait toujours une annonce dans le journal pour ses parents(lesquels il n’a jamais connu) . Vasile lui avait sauvé la vie.Il vit à Marseille. L’argent qu’il gagne avec les autoradios sert à rembourser son enfance.Il s’appelle Aziz Kemal. La fille qu’il aime a 18 ans, s’appelle Lila et ils