Le Journal d'une femme de chambre

Victor Hugo Choses vues « Le voleur de pain » 22 février 1846Hier, 22 février, j’allais à la Chambre des pairs. Il faisait beau et très froid, malgré le soleil et midi. Je vis venir rue de Tournon un homme que deux soldats emmenaient. Cet homme était blond, pâle, maigre, hagard ; trente ans à peu près, un pantalon de grosse toile, les pieds nus et écorchés dans des sabots avec des linges sanglants roulés autour des chevilles pour tenir lieu de bas ; une blouse courte et souillée de boue derrière

titre de son roman Madame Bovary, Flaubert a rejeté dans l’ombre celui qui avait pourtant donné son nom à la jeune Emma Rouault, le jour de son mariage : Charles Bovary, officier de santé à Tostes (Seine-Inférieure). Les célèbres états d’âme de sa femme, ses frasques adultères ont fait du malheureux le type même du faible, du cocu, de l’imbécile. La postérité ne lui passe rien, pas même son dernier mot, adressé à Rodolphe Boulanger après la mort tragique de celle-ci : « Je ne vous en veux pas. » Nul

Bel-ami ou Pierre et Jean; mais il est surtout prolixe avec ses contes et nouvelles réalistes (Boule de Suif, La Maison Tellier, etc...) ou fantastiques ( La main d'écorché ou le Horla). A ce titre, il les publie dans les journaux comme le quotidien Gil Blas d'Auguste Dumont. Le passage qui est proposé à notre étude, est extrait de "Première neiges", nouvelle publiée dans Le Gaulois en 1883. L'extrait est constitué d'un passage plutôt descriptif de la campagne

rapporter le courrier à Mr Chapatis, il lu l'imprimé qui venait de Paris où était raconté en détail un crime qui s'y était passé. Boniface eu peur et voyait tout le crime défiler dans sa tête. Il rentra dans la demeure de Mr Chapatis pour lui poser son journal quand tout à coup il entendit des cris, il courut à la gendarmerie pour aller chercher de l'aide à Mr Chapatis qui, selon lui se faisait tuer. Mais, lorsque le gendarme écouta à la porte, il se rendit bien vite compte que ce n'était pas des cris d'un

jeudis, entre deux consultations, je cours au musée du Louvre, c’est devenu une habitude, mais dont je ne me lasserai jamais. Aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres, nous sommes le 20 mars 1904 et il y a une semaine était indiqué dans le journal qu’une des plus belles œuvres que nous n’ayons jamais vu ait était acquise par ce musée. Je suis un vieux médecin (attendant le temps de la retraite avec grande impatience) avec des horaires précis et des permanences à ne pas manquer, je n’ai donc

il se promène sur les grands boulevards de Paris en enviant ceux qui se détendent aux terrasses et balcons des cafés. Un soir, sur la place de l’Opéra, Duroy rencontre un ancien ami de régiment, Charles Forestier, qui est devenu rédacteur dans le journal « La vie française ». Après avoir relaté ses médiocres conditions de vie à son ami, il reçoit une bonne leçon de vie. Forestier lui demande alors d’essayer le journalisme, et ce, malgré son inexpérience dans ce milieu. Il l’invite même à dîner dans

un collègue de Maigret qui vit dans la région de Bergerac. Leduc est fâché contre Maigret parce qu'il lui accuse mais il aide Maigret très bien. Germaine : Elle est la femme du docteur Rivaud. « Madame Rivaud attirait beaucoup moins le regard (que ça soeur) et ce n’était pas ce que l’on peut appeller une jolie femme. (...) Ce qui frappait le plus en elle, c’étaient ses yeux inquiets, doulereux. Inquiets et pourtant résignés. » Rosalie : Elle est la fille qui travaille à l'hôtel d'Angleterre

instituteurs de Sainte-Agathe, en Sologne. Il fréquente le Cours Supérieur qui prépare au brevet d’instituteur. Un mois après la rentrée, un nouveau compagnon de dix-sept ans vient habiter chez eux. "L’arrivée d’Augustin Meaulnes fut pour moi le commencement d’une vie nouvelle" écrit François. La personnalité mystérieuse d'Augustin , que les élèves appellent bientôt "le grand Meaulnes", va troubler le rythme monotone de l'établissement scolaire et fasciner tous les élèves. "Environ huit jours avant Noël"

instituteurs de Sainte-Agathe, en Sologne. Il fréquente le Cours Supérieur qui prépare au brevet d’instituteur. Un mois après la rentrée, un nouveau compagnon de dix-sept ans vient habiter chez eux. "L’arrivée d’Augustin Meaulnes fut pour moi le commencement d’une vie nouvelle" écrit François. La personnalité mystérieuse d'Augustin , que les élèves appellent bientôt "le grand Meaulnes", va troubler le rythme monotone de l'établissement scolaire et fasciner tous les élèves. Le départ de Meaulnes "Environ

pénétrait à peine dans la chambre du quatrième étage d’un vaste appartement de la rue Durantin. Une femme, devenue veuve quelques années auparavant, y menait une vie agréable : bien que d’un certain âge, elle aimait à aller à des dîners mondains. C’était une façon pour elle de ne pas rester seule dans le grand ventre de Paris. Ainsi, lorsqu’elle reçut ce matin-là l’invitation de Madame F…, elle éprouva une joie douce. Comme le dîner devait avoir lieu le soir même, la vieille femme décida de chercher