Le Jeu de la mort

successions d’événements qui est ici les joueurs de football, le jeu, le personnage d’allure athlétique… Et enfin la fin. Ce récit contient énormément de significations comme par exemple : la femme qui est l’intermédiaire, un ange qui emmène le rêveur à la prairie, la couleur verte qui représente la nature, le jardin d’éden qui nous pousse à pensée à l’accès du paradis, le métropolitain qui fait penser au « bas », à l’enfer et même à la mort, l’escalier qui est significatif de la hauteur, d’un passage

La Fontaine Le Curé et le mort | Le Curé et le mort Le Curé et le Mort |Un mort s'en allait tristement

« La mort de Gavroche », Les Misérables, Victor Hugo Passage étudié : de "Il rampait à plat ventre..." à "... venait de s'envoler". Introduction : La littérature de Victor Hugo a toujours été populaire au XIX° siècle car il est le défenseur des opprimés. Pour arriver à ses fins il a écrit différents styles d’ouvrages tels que du théâtre (Hernani), de la poésie (Les feuilles d’automne) ou des romans (Les Misérables). I – Le portrait de Gavroche 1°) Un être habile et courageux • Il va voler

de Peyrehorade. Il est présenté à la fiancée de Mr Alphonse puis se prépare pour le mariage de Mr Alphonse et Mlle de Puyggarig qui a lieu le lendemain. Le troisième jour, le matin de son mariage, le fils de Mr de Peyrehorade joue un match de jeu de paume* contre des joueurs espagnols et remporte le match. Au cours de la partie, voyant que la bague destinée à sa fiancée le gênait, il la retire de son doigt et la met à un doigt de la statue de Vénus. Mais après la partie, il oublie malencontreusement

présence des acteurs et le travail minutieux de la lumière, des projections et du son, il crée pour la scène des images neuves et troublantes, désoriente l'oreille pas l'apparente simplicité d'une langue tenue à l'essentiel, émeut par l'étrangeté d'un jeu dénué des théâtralités convenues. Le Résumé : Oublié Walt Disney, oublié la pantoufle de vair, la citrouille, le carrosse. Restent le conte de Pérault et celui de Grimm, réécrits et réinventés sous la plume insolente de Joël Pommerat. Tout

auguste) Maître / valet (comédie) [Don Juan, Figaro, .. ] * Mise en abyme, théâtre dans le théâtre -> Clov s'adresse au public : p.43 "J'ai fait exprès" "une foule en délire" -> avec les objets il veut faire rire,lunette + escabeau = jeu clownesque = comique de gestes * Petits passages qui ressemblent à des sketches : puce, scène du chien. 2) Le langage * Beckett utilise beaucoup de jeux de mots : paronomases ("sans Hamm pas de home", "coite / coîte", "le fanal est dans le

riche oncle chez qui il habite. L’oncle lui donne tout de suite l'argent pour le chauffeur, mais celui-ci a déjà disparu quand le garçon redescend. Gérard garde alors l'argent pour lui. Paul et Elisabeth sont des enfants qui vivent seuls depuis la mort de leur père (alcoolique) et la maladie de leur mère. Ils sont soutenus par le médecin et une cuisinière. Ils partagent une même chambre où ils collectionnent toutes sortes d'objets- insignifiants pour les autres, mais importants pour eux (le trésor)

d’être mort dès sa jeunesse à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ! (I,2) On voit déjà ici que la phrase débute par une antiphrase. Don Juan commence par dire << La belle chose >> mais ce n’est pas ce qu’il insinue car il poursuit avec des évènements à caractère péjoratif. Ce que nous en comprenons est qu’il n’est vraiment par d’accord avec la fidélité et ne voit pas pourquoi on devrait l’être. Il continue de parler de «renoncer au monde», «s’ensevelir » et être «mort» qui sont

BAUDELAIRE – Le jeu * Plaisir addictif / mortifère (cf 2 parties du poème) * Comparaison à 1 peinture funèbre = incertitude. * Jeu = pouvoir d’attraction très fort * Sentiment du poète : lucide mais envieux * Salle de jeu : théoriquement plaisant mais plaisir qui amène à la mort * Décrépitude des êtres physique &amp; morale : personnages immondes et prêt à tout pour gagner * Plaisir mélangé à de la douleur * Plaisir recherché : car il donne le sentiment de vivre 

ces histoires qui compte. Il s'agit de la mise en scène de la scène (narrative) ellemême, bien avant que le spectateur ne sache à quoi s'en tenir. Ce qu'on nous montre ici est présupposé par chaque film, mais rarement démontré en tant que tel : le jeu théâtral, qui déploie un lieu, une scène, qui n'existe que par rapport aux autres (personnes, lieux, temps), et donc par rapport à un certain « ailleurs ». La bande des quatre montre cet « ailleurs » par rapport à Y acteur jouant. U acteur jouant