Le Jeu Chez Beckett

Boulogne par Jérome BRUNER. Jérome BRUNER est un psychologue Psychologue américain né en 1915 à New York, et ses travaux ont porté sur de nombreux domaines dont : la perception, la catégorisation, le récit, le développement cognitif, le langage chez l'enfant, l'éducation. Ce sont ces trois derniers domaines qui retiendront principalement notre attention. Il fonda en 1960 le Center for Cognitives Studies, premier centre de recherche au monde qui affiche le terme "cognitif". C’est un groupe

le dionysiaque au dramatique, et que, pour nous, intrigue, personnages, dialogue sont justement des caractéristiques du dramatique. Mais un tel glissement est peut-être moins une différence de pensée fortuite, qu'une véritable rupture historique : chez Nietzsche, le dramatique, c'est-à-dire l'action, le mouvement, c'est la prérogative de la pure parole poétique du dithyrambe. L'action véritable, le mouvement profond est dans la fluctuation et le devenir de la parole. Le dramatique, ce ne sont pas

Fabre - 2004 "Il y a un combat à mener, mais c’est un combat poétique pour défendre la vulnérabilité de la beauté et du genre humain." Sommaire Partie 1 : Le théâtre total de Jan Fabre p.3 Introduction p.4 I) Le spectacle d’art total chez les Grecs 1) Un hymne à la gloire de Dionysos 2) Des Dithyrambes à la tragédie p.5 II) Les spectacles d’art total aujourd’hui 1) Le théâtre total défini par Maurice Béjart 2) Le travail de Jan Fabre p.7 III) Les

mondiale également, en 1942, Jean Anouilh défend l'idée de résistance au pouvoir dans Antigone. Plus largement, le théâtre est une réflexion sur la vie. Ainsi les auteurs du « théâtre de l'absurde » au XXème siècle montrent que la vie n'a pas de sens : Beckett dans En attendant Godot souligne le manque de communication entre les hommes et l'absurdité du monde.   Donc le théâtre, selon Shakespeare, offre au spectateur le reflet du comportement humain et de la société. Pourtant ce n'est pas une simple reproduction

ce xviiie siècle : Marivaux, etBeaumarchais. Chez Marivaux, les personnages ne sont plus des types comiques ou des héros tragiques, mais des individus aux prises avec un questionnement sur leur identité. Ainsi, dans plusieurs comédies (par exemple La Double inconstance), les personnages cachent leur identité à leur promis(e), en prenant le costume de son valet (ou de sa suivante). Chacun veut en effet connaître son promis de façon masquée – mais c'est lui-même aussi qu'il découvre, dans ce jeu de masques. Le langage de

qu’il appelle « le voyage de la famine" , c'est-à-dire qu'il entreprend un voyage avec son père à Oran où il trouve des gens encore plus pauvres qu’eux. Son père part en le laissant à Oran avec sa famille et Choukri commence des travaux domestiques chez un couple d’espagnols. Il reste quelque temps avec cette famille mais il est forcé à prendre des jours de congé à cause de son comportement. En raison d'une grande nostalgie, surtout envers les femmes, le vin et le kif, Choukri revient à Oran. Il

Chaque lecteur, lui, trouve cette héroïne bien brutale, et comme son interlocuteur, il voit « La dureté de cette femme froide et tranchante ». Marcel Proust montre avec efficacité les souffrances que lui inflige la jalousie, ce sentiment est bien banal chez les amoureux. À la lecture du passage de La Prisonnière un lecteur jaloux s’aperçoit qu’il n’est pas isolé dans cette attitude d’inquiétude : la vision du cœur humain proposé s’inscrit dans la ressemblance entre l’être fictif et l’être réel. Dans la

complexité dont la volubilité et la retenue font les deux modalités contradictoires mais toujours associées. Tantôt participant à des cycles ou à des projets de livre, chaque poème est minutieusement organisé jusqu'à sa typographie en utilisant le jeu des pages tenant ainsi au plus fort du livre une oralité de l'écriture pleine de rythme. Son travail manifeste, depuis le début, une véritable obsession de la mort sous toutes ses formes tout en recherchant le plus vivant du langage jusque dans l'écriture

| | |Lectures cursives et |Lecture intégrale de En attendant Godot de Samuel Beckett | |Documents complémentaires |Extrait de Présent passé, passé présent de Ionesco, Gallimard, p. 116-117. | |

d’orchestrer les différences dans une ambiance à la fois pessimiste et jubilatoire. 17Parmi ses homologues, et sans prétendre être exhaustif, on pourrait citer Maguy Marin lorsqu’elle propose en 1988 « May B » en s’inspirant du théâtre de Samuel Beckett, ou encore Joseph Nadj en 1995 avec son spectacle de cirque dansé « Le cri du caméléon. », la chorégraphie sur le trouble du normal et de l’anormal de Mathilde Monnier « Arrêtez, Arrêtons, Arrête. », D V 8 Physical Theatre dont le chorégraphe Lloyd