Le Gosier

d'en dessus s'affaissent sur les cieux d'en dessous, pour ne plus former qu'une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l'odeur et à la vue, frangé d'une dentelle noirâtre sur les bords. Parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à s'orner. L'huître est un poème en prose écrit par Francis Ponge en 1942. Francis Ponge est un poète du 20ème siècle. Le parti pris des choses est le parti que Francis Ponge prend pour les choses ( = objet

qu'un coin du comptoir fût libre. Il avait un rire de poulie mal graissée, hochant la tête, les yeux attendris, fixés sur la machine à soûler. Tonnerre de Dieu ! elle était bien gentille ! Il y avait, dans ce gros bedon de cuivre, de quoi se tenir le gosier au frais pendant huit jours. Lui, aurait voulu qu'on lui soudât le bout du serpentin entre les dents, pour sentir le vitriol encore chaud, l'emplir, lui descendre jusqu'aux talons, toujours, toujours, comme un petit ruisseau. Dame ! il ne se serait

d'en dessus s'affaissent sur les cieux d'en dessous, pour ne plus former qu'une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l'odeur et à la vue, frangé d'une dentelle noirâtre sur les bords. Parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à s'orner. F. Ponge, Le Parti pris des choses, 1942 14 juillet   Tout un peuple accourut écrire cette journée sur l’album de l’histoire, sur le ciel de Paris. D’abord c’est une pique, puis un drapeau tendu

dans le rire. Les personnages ❖ Gargantua Géant bon vivant, personnage populaire que Rabelais a emprunté à de vieilles légendes celtiques. On lui a donné le nom de Gargantua, qui signifie « Que grand tu as ! » (sous entendu le gosier), car son premier cri, en venant au monde, a été : « A boire ! A boire ! ». Grâce à son 2ème précepteur, Ponocratès, il reçoit une éducation complète. Il fonde pour frère Jean l’abbaye, dans laquelle s’exprime l’idéal de la Renaissance

la notion du fatalisme. Lapersonnification de la mine est l’une des choses les plus marquante de ce texte. En effet, la mine est ici décrite comme un monstre affamé « avalait des hommes par bouchées de vingt et de trente hommes,et d’un coup de gosier si facile, qu’il semblait ne pas les sentir passer ». La métaphore filée et la personnification permettent donc de métamorphoser le monde de la mine, en animal, en monstre. Nousretrouvons en plus de la description de la mine, une description de l’animal

Il aimait ses boys et était respecté par tous. Il aimait également son métier. Il donnait souvent des conseils à Toundi et fut le deuxième et le dernier maître de Toundi.   Gosier d’oiseau : Il est le commissaire de police et semait la terreur à Dangan.Les nègres ne l’aimaient pas c’est pour cela qu’ils l’ont surnommé Gosier d’oiseau à cause de son cou interminable et souple comme un pique-bœuf.   Suzy : C’est la femme du commandant.C’est une belle femme blanche aux cheveux de couleur d’ébène,

répétition du prénom de la femme aimée (sera de nouveau répété ligne 6) + exclamation + injonction > parole rapportée au style direct qui manifeste une violente émotion > agitation de Raphaël face à l’objet de son désir. - Un cri terrible sortit du gosier de la jeune fille, ses yeux se dilatèrent, ses sourcils violemment tirés par une douleur inouïe, s’écartèrent avec horreur, Nombreux verbes d’action au passé simple + CL des caractéristiques physiques, du corps + CL de la violence, de l’effroi

on peut remarquer un travail sur les analogies. Les métaphores ou comparaisons lui permettent de créer des images poétiques et ainsi donner une image à une réalité difficile à expliciter. "Chaque instant te dévore un morceau du délice" ou encore “gosier de métal"s ici, dans le

restreint à sa seule personne. Il admet donc quand il dit : le vin des Canaries est agréable, qu'un autre corrige l'expression et lui rappelle qu'il doit dire : il m'est agréable ; il en est ainsi non seulement pour le goût de la langue, du palais et du gosier, mais aussi pour ce qui plaît aux yeux et aux oreilles de chacun. L'un trouve la couleur violette douce et aimable, un autre la trouve morte et terne ; l'un préfère le son des instruments à vent, l'autre celui des instruments cordes. Discuter à ce

le passé, avalé par Cronos. Cela donne le vertige. La phrase déclarative et le présent « Mon gosier de métal parle toutes les langues » (14)Il n’y a pas moyen d’échapper au temps : peu importe le pays, la langue, le peuple : le dieu Cronos est tout-puissant.La métaphore et personnification de l’horloge « mon gosier de métal » (14)L’horloge est à nouveau personnifiée par l’image du « gosier », ce qui réactive la prosopopée et centre toute la personnification sur les paroles menaçantes. La métaphore