Le Fief De Reprise

le respect des droits des citoyens. Hérodote est le premier a avoir présenté les mérites et les défauts des trois grands type de formes politiques qu’il appelle au Vème siècle, la tyrannie, l’oligarchie et la démocratie. Cette présentation a été reprise par Platon dans son ouvrage la République au début du 4ème siècle. Et Platon affine la description d’Hérodote. Le pouvoir d’un seul, la monarchie dans ses termes, a deux formes. Une forme moralement positive qui est la sophocratie qui est la pouvoir

de la droite conservatrice et l’affaiblissement du pouvoir des prêtres sont ressentis comme autant d’atteintes aux idées traditionnelles. UNE SOCIETE AGONISANTE Les structures sociales, que la lutte des classes avait secouées à plusieurs reprises au cours du XIXème siècle, ne sont qu’ébranlées. Dans l’Europe entière, où les derniers empires s’affaissent et où les unités nationales se consolident, les romanciers perçoivent la mutation de la société, victime de sa propre civilisation. Marcel

l'autorité du chef de la chapelle que l'on appelle chapelier ou chancelier. → L'église participe à tous les niveaux au royaume. Durant les mérovingiens, on a une montée en puissance des maires du palais, alors que sous les carolingiens, il y a une reprise en main du pouvoir et un premier embryon du gouvernement à travers cette aristocratie assemblée au champ de mars et l'aspect bureaucratique avec les copistes chargés de la rédaction des textes importants 2. L'administration locale Elle est dirigée

= féodalité). le roi => couronne, trone, grand, il surplombe les vassaux. vassal: seigneur ki jure fidélité à un seigneur + importan (ki é apelé suzerain). sa conserne la guerre, les problémes familliaux, la justice, en échange le vassal reçoit un fief. féodalité: ensemble des liens hiérarchisés ki existe entres lé seigneurs. le monde chrétien d'occident est trés divisé, en plusieurs royaumes, mais ossi à l'intérieur des royaumes, entres les seigneurs, ki n'hésite pas à faire la guerre. ce ki fé

2. La coutume source du droit privée Très peu de lois concernent le droit privé. Le droit privée est en faite régit par la coutume. Les concepts de droit fondamentaux du droit privé sont forgés par les coutumes. Ces coutumes sont reprises par des lois au 5é siècle. Période classique : 2é siècle à 284 ap JC 2§ La Période classique A. Les caractéristiques du droit classique Période d’extension de l’empire. Rome à conquit d’immenses territoires, les échanges

limiter l’imperium des consuls. Finalisées en 451-450 av .J.C., ces tables sont des panneaux, sur lesquels ont transcrit les nouvelles dispositions du droit (jus). Affichées sur le forum, tous les citoyens peuvent les lire. Détruites à plusieurs reprises, ces lois ne nous sont jamais réellement parvenues. On en connaît le contenu par les nombreuses citations qu’en fait la littérature postérieure. Le principal objet de la Loi des Douze Tables est de reconnaître certains droits et de donner aux citoyens

de la république anéanti]. Cette période correspond précisément à l’apogée de la science juridique romaine. Les juristes mettent leurs talents au service du pouvoir. C’est à ce moment la que sont formées des maximes de droit public qui vont être reprises par tous les absolutistes du Moyen Age et de l’Ancien régime. Les deux maximes les plus utilisées ont étés forgées par le juriste Ulpien : Ce qui plait au prince a force de loi (quod principi placuit legis habet vigorem) Le prince est au dessus

avec la reprise d'une expression récurrente dans la Bible qu'on trouve par exemple chez Matthieu : «exceptis mulieribus et parvulis », « sans compter les femmes et les petits enfants ».2 Satire des rescapésLe narrateur oppose le nombre de victimes à celui des rescapés lesquels se distinguent par leur lâcheté comme le mettent en valeur le lexique de la fuite et le langage très imagé : « Un certain nombre d'entre eux,,,légèreté de leurs pieds »La scène se passant au sein du quartier latin, fief de la

Roi est souverain dans son propre domaine c'est-à-dire que les autres seigneurs de son royaume ne sont que des vassaux (un vassal est un homme au moyen- âge lié personnellement à un seigneur, un suzerain qui lui concédait la possession effective d’un fief). Le Roi n’est donc pas leur souverain dans leurs fiefs ; il n’est pas que leur suzerain. Il n’y a pas eu un passage brusque de l’état féodal à l’état royal. L’évolution, à l’inverse, est le résultat d’une lutte entre le Roi et ses propres vassaux

contre le conseiller du roi, Jacques Auguste de Thou devant défendre la cause catholique et limité les faveurs envers les protestants. On remarque que l'edit de Nantes s'appuie quand même sur l'édit de 1577 ( 3 premiers articles sont identiques et reprise de certains theme egalité devant les charges d'etat/liberté de culte pour les haut seigneurs et nobles... Une « tolérance » envers les protestants 1) la fin définitif du conflit Le roi ,par l'article 1, veut faire oublier