Le Fantôme noir

se déguiser et à se masquer. Certains personnages demeurent par ailleurs présents à chaque Carnaval. Ce sont généralement les personnages issus de la Comedia dell'Arte italienne. Polichinelle, avec son nez crochu et rouge, Arlequin, avec son masque noir, son glaive et son costume à pièces triangulaires multicolores, Pierrot, au visage enfariné, vêtu de blanc et coiffé d'une calotte noire,... sont de ceux-ci. Ces déguisements se retrouvent généralement davantage chez les adultes que chez les enfants

: Elle symbolise la liberté du peuple qui agonise. o Les humains : 4/ FEMME A L’ENFANT MORT : Tout son corps est déformé par sa douleur. C’est une référence à la Vierge à la Piéta. 5/ LA PORTEUSE DE LUMIERE : Est-ce un espoir ou vision d’un fantôme, d’une âme perdue ? 6/ FEMME FUYANTE : Son corps est déformé, elle cherche un refuge ou fuit les bombardements. 7/ LA FEMME AUX BRAS LEVÉES : C’est une référence au « Tres de Mayo » de Goya. 8/ LE GUERRIER DÉCAPITÉ : Il est mort, au sol, son corps

reliant le coin en bas à droite au milieu du côté gauche. Dans le fond du tableau, nous pouvons voir deux silhouettes noires dans le lointain, abandonnant le personnage principal sur le ponton qui surplombe un fjord, avec à droite, un précipice. Le visage du personnage principal est dessiné la tête dans les mains et la bouche ouverte .L’arrière-plan est occupé par des montagnes bleu-noir qui contrastent avec un ciel rouge et jaune. 3) Analyse A propos de son œuvre « le Cri », Edvard Munch écrit :

La « classe » du Barça messianique contre le « clash » du Real mourinhesque. Deux variations du même mot clasico après les quatre manches qui ont fini par orthographier en catalan le nom du vainqueur. Homme en noir contre Casa Blanca… C’est parti ! Après le premier Clasico (1-1 à Madrid), j’avais pronostiqué une victoire du Real en Coupe du Roi mais une qualif du Barça en finale de Champions League. Le lointain souvenir de la manita de novembre dernier ? Un peu, oui, ça a joué. Mais c’est surtout

façon que lui. Il réunit donc les personnes les plus importantes pour l’écouter. Pour chaque personne, il prévoit une chaise mais personne ne s’assied dessus car les personnes qu’il a invité n’existent pas : elles ne sont que des présences, des fantômes... A la fin de la pièce, les deux personnes se jettent de la fenêtre et laisse l’orateur s’exprimer à la foule invisible mais lorsqu’il parle, il n’émet que des sons incompréhensible. Donc, aucun message n’a été transmis car il n’y avait pas

ambiance apocalyptique allitération (cri, peur, tonnerre) harmonie imitative champs lexical de l'apocalypse : tremblement de terre, tonnerre, éclipse, astres qui tombent c) monde des morts « sang » référence à la mort « ombre » fait penser au fantôme, spectre et « esprit » connote l'au-delà « Charon » nous ramène au batelier des enfers, désignés par « le centre de la terre » 2) aucune loi physique ou naturelle a) confusion totale des lois naturelles antithèses : chaud/froid « feu brûle

espèce de fantôme empêchait l'inconnu de croire à des effets surnaturels ; néanmoins, pendant le rapide intervalle qui sépara sa vie somnambulique de sa vie réelle, il demeura dans le doute philosophique recommandé par Descartes, et fut alors, malgré lui, sous la puissance de ces inexplicables hallucinations dont les mystères sont condamnés par notre fierté ou que notre science impuissante tâche en vain d'analyser. Figurez-vous un petit vieillard sec et maigre, vêtu d'une robe eu velours noir, serrée

PARIS X �— NANTERRE 2007 55 La hantise, le fantôme et la crypte Pour pouvoir parler de la hantise, ne faut-il pas accepter de croire aux fantômes et les faire advenir dans le langage ? La hantise en effet, rend manifeste le retour du fantôme dans des paroles, des actes étranges ou des symptômes d�’un mal être. Croire aux fantômes s�’impose donc, ici, non comme un acte de foi, mais comme un défi théorique à relever. Certes, le fantôme comme trope hante la littérature depuis des siècles

Jeanne était au pain sec : Jeanne était au pain sec dans le cabinet noir, Pour un crime quelconque, et, manquant au devoir, J'allai voir la proscrite en pleine forfaiture, Et lui glissai dans l'ombre un pot de confiture Contraire aux lois. Tous ceux sur qui, dans ma cité, Repose le salut de la société, S'indignèrent, et Jeanne a dit d'une voix douce : - Je ne toucherai plus mon nez avec mon pouce ; Je ne me ferai plus griffer par le minet. Mais on s'est récrié : - Cette enfant vous connaît

recouverte de cendres et de pierres de lave au moment de l’éruption du Vésuve en 79.L'un des trois personnages, Octavien, tombe en arrêt devant une vitrine, plongé dans une admiration profonde pour un fragment de moule de statue, un morceau de cendre noir coagulé portant l'empreinte creuse du corps d'une jeune femme.Comme fréquemment dans l’incipit d'une nouvelle fantastique, nous remarquons que le cadre spatio-temporel est très précis : les personnages sont identifiés, nous savons où ils se trouvent